Si moi je disais « j’aime humilier les Noirs », je serais en prison, non ?

 

Le président d’Act Up Paris,élu en 2024 c’est un cas lourd. Mais il continue d’aller et venir, d’être invité dans la bonne société gauchiste parisienne, de pérorer, de dénoncer un racisme des Blancs inventé, en toute liberté.  Même pas une petite convocation à la 17ème Chambre ? Il y en a qui ont le cul bordé de nouilles…

Et sans doute même qu’il réclame et obtient des subventions de laMairie de Paris, donc du contribuable parisien, même blanc… pour continuer son oeuvre raciste et délétère… Je dis ça, moi je dis rien…

Propos racistes, cyberharcèlement, dérive idéologique : Act Up Paris, généreusement subventionnée par la ville de Paris et le ministère de la Santé, traverse une crise sans précédent depuis l’élection de son nouveau président

N’y a-t-il que F de souche et Résistance républicaine pour dénoncer ce scandale ?  Ils sont où tous les gauchos parisiens qui militent contre le racisme ? 

Act Up Paris, association mythique de la lutte contre le sida en France, connaît depuis plus d’un an une tourmente qui menace son héritage. Fondée en 1989 sur le modèle américain d’Act Up New York, l’organisation avait retrouvé une nouvelle jeunesse après le succès du film 120 Battements par minute de Robin Campillo en 2017. Mais aujourd’hui, ce n’est plus pour son combat contre le VIH qu’elle fait parler d’elle, mais pour les choix idéologiques de certains de ses membres, au premier rang desquels son nouveau président. (…)

En décembre 2024, dans des conditions dénoncées par plusieurs membres, Arlindo Constantino remporte l’élection à la présidence. Une victoire d’autant plus scrutée que l’association reçoit des subventions publiques substantielles : plusieurs dizaines de milliers d’euros annuels du ministère de la Santé et de la Mairie de Paris.

C’est sur un live Twitch, fin mai 2025, qu’Arlindo Constantino franchit une ligne rouge supplémentaire. Ses propos, largement relayés sur les réseaux sociaux, sont glaçants :

Source 

Mais ça ne suffit pas, avec Constantino, c’est la totale. Etrange, non, ce sentiment d’impunité ?  

Plutôt que de se concentrer sur ces défis sanitaires cruciaux, Arlindo Constantino consacre son énergie au soutien à La France insoumise et à la dénonciation d’Israël, qu’il accuse notamment de « pinkwashing » – c’est-à-dire, dans la vulgate militante, d’instrumentaliser les droits LGBT à des fins de communication.

Le Point

Son engagement politique ne date pas d’hier : en 2020, il figurait sur la liste « Bagnolet en commun », soutenue par la militante « indigéniste » Fatima Ouassak, ex-membre du Parti des Indigènes de la République.

Tout s’explique ! Mais ce qui ne s’explique pas, c’est que le gars soit toujours à son poste et pas au tribunal !

 

 

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2 Commentaires

  1. Si on remonte à Nick Conrad aux indigènes de la république et à tous les rappeurs et politiciens qui affichent leur racisme et leur haine des blancs sans jamais être inquiétés, on est obligé d’en conclure que c’est tout l’état y compris la classe politique et notamment l’institution judiciaire qui a basculé dans le racisme le plus décomplexé envers les blancs de souche du peuple autochtone, le pire étant que cela se passe dans le pays de leurs aïeux qui ont fait Verdun et que la génération actuelle semble incapable de bouger armes à la mains pour y mettre le holà et remigrer de gré ou de force y compris les lfistes qui n’ont plus rien à faire dans une France qu’ils haïssent. Vers quel seuil de fatigue les paroles de la Marseillaise seront-elles suivies au rasoir pour libérer le pays ? Je me le demande…

  2. Si si ça s’explique, entre gauchos haineux des juifs et vendus à l’islamisation de la France, on se serre les coudes. Même les juges sont vert pastèque. Le gus ne risque rien et il le sait et il en profite.