Illustration. Au Soudan, les milices djihadistes massacrent depuis trois ans : cadavres dans les rues, torture, viols...
La petite Greta a navigué juste à côté d’un véritable génocide (les Africains ne comptent-ils pas ?)
Gaza jusqu’à la nausée.
Les caméras du monde entier ont été rivées cette semaine sur Rima Hassan et Greta Thunberg.
Pendant ce temps…
Il y a actuellement au Soudan un génocide qui fait selon les sources, entre 150 et 500 000 morts et 8 millions de personnes qui souffrent de la famine.
Le Soudan, le Yemen, la jeunesse d’Iran, le Burkina Faso… toujours ce silence assourdissant de l’extrême-gauche.
Il ne faut pas heurter son électorat islamiste.
Mais comme on ne peut pas accuser Israël, il n’y a pas de caméras sur place.
“ No Jews, no news” : pas de Juifs, pas de titres dans les médias…
►Alerte sur la Mer Rouge : ce nouveau centre du terrorisme islamique international qu’est en train de créer la guerre au Soudan…
Terrorisme
Alors que le conflit soudanais entre dans sa troisième année, il dépasse largement les frontières nationales. Les Forces armées soudanaises (FAS), infiltrées par les Frères musulmans et soutenues par l’Iran, offrent un terreau idéal à l’enracinement de groupes djihadistes internationaux.
Avec la montée en puissance de bataillons islamistes structurés et la réapparition d’acteurs liés à Al-Qaïda et à Daesh, le Soudan se transforme en véritable rampe de lancement terroriste.
Cette dynamique menace directement les routes commerciales en mer Rouge, artère vitale de l’économie mondiale. Port-Soudan devient un point névralgique dans la stratégie régionale de l’Iran, qui y déploie ses drones et contourne les sanctions. Pourtant, la communauté internationale persiste à voir dans les FAS une armée régulière, alors qu’elles servent de levier idéologique et militaire à un projet islamiste radical. Tant que ce brouillage persiste, les djihadistes continueront d’étendre leur emprise. Face à cette menace globale, un embargo sur les armes, une zone d’exclusion aérienne et un blocus maritime pourraient bien devenir incontournables.
Alors qu’elle entre dans sa troisième année, la guerre au Soudan se révèle non seulement dévastatrice pour la population de ce pays, mais favorise des activités de terrorisme internationales qui menacent toute la région au sens large, du fait de la proximité géographique du Soudan avec les routes du trafic maritime en mer Rouge. Les Forces armées soudanaises (FAS) entretiennent des liens étroits avec les groupes djihadistes internationaux, avec l’encouragement actif de l’Iran.
Un accès par le Soudan à la mer Rouge constituerait un atout maître pour les djihadistes. En prenant pied dans le pays, les organisations terroristes risqueraient de se renforcer dans toute la zone, exacerbant les conflits régionaux et menaçant le trafic maritime commercial en mer Rouge. Les dangers ont franchi une nouvelle étape : les États-Unis ont en effet confirmé récemment que les FAS avaient eu recours aux armes chimiques et leur ont imposé en conséquence des sanctions. La communauté internationale accorde-t-elle suffisamment d’attention à cette zone de conflit, en passe de se transformer en rampe de lancement d’attaques terroristes hors du Soudan ?
Ce sont peut-être les Frères musulmans qui exercent l’influence la plus inquiétante sur les FAS. Des personnalités telles qu’Ali Karti et Mohamed Ali al-Jazouli ont fait leur retour sur la scène politique soudanaise, utilisant les FAS comme vecteur pour rétablir l’influence des Frères musulmans dans la région.
L’analyste politique Salah Hassan Jumaa a expliqué comment les Frères musulmans ont infiltré les FAS, dont ils contrôlent désormais les finances, les entreprises et même la politique étrangère : « Les entreprises et les banques sont désormais sous la coupe des Frères musulmans. Ces derniers jouissent également d’une influence et d’un pouvoir décisionnel politique au sein de l’État, car ce sont eux qui régissent désormais les relations extérieures. Ils ont ainsi contraint la classe militaire à opter pour l’alliance iranienne et à nouer des liens avec Téhéran ».
►Australie : un religieux musulman poursuivi pour antisémitisme affirme que son cas est « une bataille entre l’islam et les kouffars »…
Wissam Haddad
Un religieux islamique de Sydney, poursuivi devant la cour fédérale pour discrimination raciale à l’encontre du peuple juif, a décrit son cas comme une bataille existentielle « entre l’islam et les incroyants ».
Wissam Haddad, également connu sous le nom d’Abu Ousayd, est poursuivi par le principal organisme juif d’Australie pour une série de conférences qu’il a données en novembre 2023, dans lesquelles il avait traité les Juifs de « vils », de « traîtres » et de lâches.
Les conférences citaient des ayat et des hadiths du Coran sur les Juifs à Médine au VIIe siècle et, selon la plainte déposée devant la Cour fédérale, faisaient des généralisations désobligeantes sur les Juifs, notamment qu’ils étaient « méchants et intrigants » et qu’ils « aimaient la richesse ».
La plainte, déposée par le Conseil exécutif des juifs australiens, allègue que M. Haddad a enfreint l’article 18C de la loi sur la discrimination raciale – qui interdit les comportements offensants fondés sur la race ou l’origine ethnique – lors des sermons prononcés au Centre Al Madina Dawah (AMDC) de Bankstown en novembre 2023, et des discours diffusés ensuite en ligne.
Mais, selon la défense de M. Haddad, ses sermons ont été prononcés de « bonne foi » en tant qu’enseignement religieux et historique. S’il s’avère que ses sermons enfreignent la loi 18C, alors, selon lui, la loi est inconstitutionnelle car elle restreint le libre exercice de la religion.
Mardi matin, le juge Angus Stewart de la Cour fédérale sera saisi de ce différend de longue date, qui n’a pu être résolu par la conciliation, dans une affaire qui devrait tester les limites de l’expression religieuse et du discours de haine en vertu de la législation australienne.
Il sera probablement demandé au tribunal de déterminer si les sermons de M. Haddad, dans lesquels il cite le Coran et en donne une interprétation, constituent une incitation ou une expression religieuse protégée.
Avant le procès, M. Haddad a affirmé sur Instagram que l’affaire était essentielle pour la pratique de l’islam en Australie.
« Ce à quoi je suis actuellement confronté devant le tribunal fédéral n’est pas une question d’Abu Ousayd ou du Centre Al Madina Dawah contre le lobby juif […] il s’agit plutôt d’une bataille entre l’islam et les kouffars », a-t-il déclaré, en utilisant un mot arabe, généralement traduit par « mécréants ».
Il a ajouté que la plainte déposée contre lui visait à criminaliser les écritures islamiques.
« Ils veulent prendre et rendre criminels les ayat, les hadiths et les récits historiques qui parlent des juifs : ce qu’ils considèrent comme une insulte ».
Ayat est le pluriel de aya, qui désigne un verset du Coran.
Les ayat sont des versets du Coran, le livre saint de l’islam, tandis que les hadiths sont des rapports attribués au prophète Mahomet….
►RDC : des musulmans font exploser une bombe sur un marché public, tuant quatre personnes et en blessant beaucoup d’autres…
International Christian Concern
Des membres des Forces démocratiques alliées (ADF) ont fait exploser une bombe le 17 mai dans le paisible village de Tenambo, situé à près de 20 miles de la ville de Beni dans le Nord-Kivu, en République démocratique du Congo (RDC). L’explosion, qui s’est produite vers 16h10 dans un marché public, a tué quatre personnes et en a blessé beaucoup d’autres.
Les habitants qui se trouvaient dans le marché au moment de l’explosion ont décrit la scène comme horrible.
« Les gens ont commencé à crier et à s’enfuir », raconte Esther Muhongasenge, une vendeuse qui a survécu à l’attentat. « Quand j’ai regardé autour de moi, j’ai vu du sang sur les vêtements de certaines personnes et sur le sol, et même des cadavres ».
Le personnel épuisé de l’hôpital général de référence d’Oicha a travaillé toute la nuit pour stabiliser les blessés, dont certains sont toujours dans un état critique. Le nombre de médecins, d’infirmières et d’autres membres du personnel de l’hôpital a diminué au fil du temps en raison de la violence qui sévit dans la région.
Les autorités ont confirmé que l’ADF était à l’origine de l’attaque. Le groupe terroriste, qui est actif dans la région majoritairement chrétienne de l’est de la RDC depuis des décennies, est allié au groupe État islamique et enlève et tue souvent des chrétiens et attaque des églises. L’ADF utilise de plus en plus d’explosifs dans ses attaques contre les communautés vulnérables.....
« Ce n’est pas seulement une tragédie locale, c’est une urgence mondiale », a déclaré le pasteur Jean Kalonda de la mission évangélique d’Oicha. « Notre peuple est massacré en silence. Où est le monde ? »
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merci jules pour ces infos journalière sur cette secte du diable 😁🙂
Allez y les cons faitent en venir d’autres. Messieurs les zélites on ferme les frontières quand.
A l’époque de george et Angelina au Soudan, tous les musulmans, les noirs et ceux d’origine arabe se donnaient la main pour massacrer les chértiens du sud, aujourd’hui ceux d’origine arabe tuent les noirs aussi muzz qu’eux pourtant. Quant au soudan du sud il n’aura peut-être pas beaucoup de répit avec tous les pauvres immigrés du soudan du nord qu’il récupère .
Cher Jules Ferry
Apparemment le génocide c’est comme le cholestérol, y a ke bon et le mauvais…
Aaaaah ! Bonjour @Jules Ferry
Bravo et merci pour dénoncer ce lièvre/chasseur de prime.
Oui ! C’est bizarre ; les africains (le plus souvent chrétiens) se font massacrer de façons sauvages et barbares (aucune limite dans la cruauté) de leurs concitoyns musulmans. Et ON N’ENTEND aucun cri, ni même d’amnistie internationale, ni même de l’ONU (peut-être étouffe-t-on ses cris).
Mais ça paie p-t’êt’ pas ; ou ça n’a aucun intérêt politique pour la politique mondiale du nouvel Ordre mondial qui se fait sa place peu à peu.
Et on le sait, dans ce domaine, la dictature écologique des kmers verts, armée puissante a toute sa place ; fait ses garnisons.
Gratouille préfère le climat aux humains. Rimouille , les islamistes aux autres. Leur combat est diamétralement opposé.