Oyez, oyez, braves gens, écoutez
Une complainte sur notre réalité 
Éclaircissons nos esprits embrumés 
Sans contrainte, pour que vive la clarté 
Le p’tit singe, jongleur des mots 
Vous offre sa mélodie des maux…
Sa complainte…
Des gamins égorgés sans motif 
Ça lui glace le sang 
Des sévices impunis sur des êtres chétifs 
Ça lui glace le sang 
Des p’tits con qui agressent nos aînés 
Ça lui glace le sang 
Ça viole nos gamines avant de les tuer
Ça lui glace le sang 
Ça agresse un rabbin ou un curé 
Ça lui glace le sang 
Des points de deal même plus cachés 
Ça lui glace le sang 
Prison pour des flics qui font leur métier 
Ça lui glace le sang 
Des politi-chiens jamais condamnés
Ça lui glace le sang 
Ça débarque chez nous sans papiers
Ça lui glace le sang 
Des cons se plient en 4 pour les loger 
Ça lui glace le sang 
Tout ce pognon magique déployé
Ça par contre, ça lui brouille l’écoute
Fric plus dépensé pour le bien des Français
Ça lui brouille l’écoute 
Mais, mais, mais… Tout ceci n’est rien 
Le plus grand de tous ses chagrins…
Le p’tit singe n’est plus animal au sang chaud 
La réalité de sa nature devient imbroglio 
Son avenir, notre avenir quel sera-t-il 
Sommes-nous gouvernés que par des imbéciles
Remplaçant l’action par un tsunami de paroles 
Politi-chiens aussi utiles que la grande vérole 
Ou pire, par des trous d’balle qui se moquent 
Que nos vies dépendent des MOLOCHS !!!
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Merci pour cette complainte, j’aime bien la répétition qui scande le texte sur le sang qui se glace, ça traduit exactement mon sentiment actuel
Bonjour Jeanne la pucelle
Des mots que ne nous disent jamais les politi-chiens, comment voulez-vous qu’ils agissent