Les tribulations d’Adolf Merz, reçu comme il se doit à la Maison Blanche…

Le 5 juin 2025 , à 1 heure du matin, heure de Washington,  l’avion de la BUNDESREPUBLIK DEUTSCHLAND, contenant sa précieuse cargaison, le chancelier nouvellement le plus mal élu depuis la fin de la seconde guerre mondiale, Adolf Merz, atterrit sur le tarmac de Washington pour visite d’état m’avait-il semblé. Première visite de Adolf Merz chez son homologue Américain, dont les origines sont allemandes. Important d’être rappelé.

Un tarmac vide. Pas d’accueil en fanfare et rangée militaire, comme c’est la coutume pour les invités de marque. Simplement quelques apparatchiks de l’ambassade d’Allemagne et peut-être un ou deux employés d’échelons inférieurs de la Maison Blanche. Pas de petites filles portant des bouquets de fleurs, ni d’officiels gouvernementaux. Rien. Le vide Abyssal !

 

 

Dans le bureau ovale, désormais célèbre pour tous les citoyens du monde, j’attendais avec impatience ce qui allait se passer. Les amabilités protocolaires passées, Merz, flagorneur, c’est sa nature, offre à Donald Trump le certificat de naissance de ses grands-parents de Karlstadt, petite bourgade de Bavière, en soulignant que le grand-père porte le prénom de Friedrich, comme lui. Les amabilités de circonstances passées, les journalistes, ignorant totalement Adolf, assaillent le Président Trump de questions, surtout sur sa relation avec Elon Musk. La caméra balayait parfois Merz, qui se tenait tendu, les mains agitées, le visage fermé, ne sachant quoi faire de sa grande carcasse de 198 cm, se demandant ce qu’il faisait là.

Si les journalistes ont autant ignoré la présence d’Adolf Merz, c’est qu’ils connaissaient les conditions infâmes dans lesquelles le coquin fut élu. Ajoutez que l’ex-ministre des Affaires Étrangères, la Calamity Jane, donneuse de leçons au monde entier, la sauteuse de trampoline du parti die Grünen,  doit en partie sa nomination scandaleuse, hier, comme Présidente de l’assemblée générale de l’ONU à Adolf Merz. Était-ce une coïncidence, l’élection de l’infame créature à l’ONU et la présence de son obligé à la Maison Blanche ?

En effet, ce sont les voix de die Grünen, qui ont contribué à l’élection de ce menteur patenté, escroc au peuple allemand, fossoyeur de la liberté d’expression et grand pourfendeur de Donald Trump durant la dernière campagne électorale US. Il n’avait pas de mots assez durs pour qualifier le vainqueur. Sans oublier le discours devenu historique de JD VANCE au Conseil de sécurité de Munich adressé aux politiques allemands sur la liberté d’expression qu’ils mettraient en danger, ce à quoi Adolf Merz lui a répondu de manière cinglante, d’aller s’occuper de ses oignons.

Enfin, Adolf Merz a eu le culot d’insulter violemment la Russie, de l’accuser de tous les maux, d’enlèvements d’enfants, de bombardements sur les civils « ce que ne font jamais les Ukrainiens » a-t-il souligné. Le Président Trump opinait distrait du chef en pensant « cause toujours, tu m’intéresses ». Bref, de l’arrivée sur le tarmac de Washington à la Maison Blanche, ce ne fut qu’humiliation bien méritée de ce dégénéré.

Voilà l’ambiance dans laquelle ce grand dadais dégénéré fut reçu, pour ensuite déclarer aux télés allemandes de grands chemins, que tout s’était bien passé et qu’il rentrait très satisfait de son voyage à la Maison Blanche. Comme je le disais, l’individu est un menteur patenté, je suppose que Trump a dû lui dire ses quatre vérités…

Sylvia Bourdon, 6 juin 2024

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2 Commentaires

  1. Il a un prénom très très connu ! Il ne lui manque qu’une petite moustache ! Pour le reste même envie d’en découdre avec la Russie, une raclée en 1945 n’a pas suffit à l’Allemagne ? Il faudra peut être le lui rappeler et lui en donner une bonne cette fois ci !

  2. Trump a eu une petite phrase railleuse :
    https://www.ladepeche.fr/2025/06/05/ce-netait-pas-un-grand-jour-pour-vous-donald-trump-parle-du-debarquement-allie-au-chancelier-allemand-en-lassimilant-aux-nazis-12743711.php
    Le débarquement n’était pas un grand jour pour l’Allemagne… jolie façon de renvoyer l’Allemagne à un peu plus d’humilité quant à sa prétention à faire la morale aux autres.
    Les médias français ont présenté cela comme une bourde… comme si cet animal de Trump était un perdreau de l’année capable d’autant de naïveté et maladresse…