Y a-t-il une seule raison valable pour que nos enseignants -et nous et nous et nous- devions subir chez nous, dans la patrie de Molière, de Voltaire et de Pasteur le vide abyssal de coutumes moyenâgeuses ? Et les autres de faire les imbéciles en se demandant pourquoi l’abruti insulte son professeur… L’abruti est en master, il e donc eu largement le temps au cours de son cursus, de comprendre qu’on est en France !
L’étudiant, en master à la faculté de lettres d’Aix-en-Provence, promet notamment de retrouver l’«arbre généalogique» de son responsable pédagogique. Une enquête judiciaire a été ouverte.
«Envoyer un grand mail à Madame… où je lui insulte tous ses grands putain de morts de merde, je vais tous les insulter un par un, je vais chercher son arbre généalogique, chercher les blaze et ensuite je vais tous les insulter un par un jusqu’à j’arrive à elle (sic)», poursuit l’étudiant en master au sein de la faculté des arts, lettres, langues et sciences humaines d’Aix-en-Provence au cours d’une logorrhée sidérante.
Signalement en cours d’exploitation
Des propos captés et rapportés par un étudiant de la faculté auprès de l’UNI (Union nationale inter-universitaire) Aix-Marseille, qui en a avisé la présidence de l’université. «Ses réseaux sociaux indiquent qu’il est étudiant à la faculté de lettres. C’est sa responsable de master qu’il vise dans la vidéo. On ne comprend pas d’où vient ce différend avec cette enseignante», souligne Yann Soltermann, responsable UNI Aix-Marseille, auprès du Figaro.
«On a demandé la saisine du procureur de la République auprès de l’université, tout en lui demandant de saisir la section disciplinaire afin de prendre des sanctions d’exclusion contre cet étudiant. Il y a aussi la possibilité de prendre des mesures conservatoires pour l’empêcher de se rendre sur le site de la faculté», poursuit le syndicaliste. Une première demande suivie par la présidence de l’université, qui a saisi le procureur d’Aix-en-Provence, Jean-Luc Blachon, via l’article 40 du Code de procédure pénale.
Une source proche du dossier a confirmé vendredi au Figaro que le parquet avait reçu un signalement jeudi dans la soirée. Selon cette source, une enquête judiciaire a bien été ouverte et était bien en cours ce lundi. «Aix-Marseille Université a bien été informée de cette situation, qu’elle prend très au sérieux. Les mesures adaptées à ce type de signalement ont immédiatement été appliquées», indique l’université Aix-Marseille sans faire plus de commentaires.
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Dans un amphithéâtre, afin qu’il se cultive,
Un voyou formaté par l’univers-cités,
Par discrimination que l’on dit positive
Vient vomir tout son fiel sur l’Université !
Tirons la conclusion : pour sauver la culture
Il faut sauver d’abord la part du territoire
Qu’on laisse entre les mains de telles pourritures
Qui croient l’heure venue de clamer leur victoire
Dans leur jargon infect, quel que soit leur diplôme.
Ils peuvent plastronner, nous voyons qui ils sont
Présomptueux et cruels, bêtes à manger du son.
Le français, c’est le Style, et le style c’est l’homme.
C’est certain que la dame Agathe Rabier
Niveau jactance, c’est d’la qualité
Un peu de légèreté est la bienvenue
L’amour des mots sans déconvenues
Sa prose poétique vaut le détour
J’attends la suite un de ces jours…
Oignez vilain,il vous poindra
Poignez vilain, il vous oindra…
Sauf celui avec majuscule
Qui, d’une gentille formule,
Alors que je ne le poins point
A su m’encourager si bien !
Que de poètes et maîtres es octosyllabes et plus si affinités sur RR !
Madame…
Voici un bouquet de roses
Qu’à vos pieds je dépose
Préférez-vous des tulipes
Pour que vous… Pas top les tulipes
Préférez-vous une orchidée
Rappel d’un souvenir presque effacé
Ou alors quelques renoncules
Et je… Heu… Pouah, c’est pénible les fleurs !!
Pour changer du rap et autres tartignoleries .
LETTRE À MA MUSE (qui arrive encore à m’inspirer).
Te rappelles-tu les soirs bleus
Où nous devisions gravement,
Main dans la main, yeux dans les yeux,
Nous avancions si lentement.
Nous marchions dans le labyrinthe
En respirant l’odeur des fleurs,
Nous arrivions au térébinthe,
L’air était empreint de douceur.
Et nous parlions d’Audiberti,
De la légèreté du temps,
Votre cœur était un abri
Pour mes pensées et mes tourments.
Je vous raccompagnais chez vous,
Et je vous tenais votre ombrelle,
Ces soirs étaient pour moi si doux
Et moi je vois trouvais si belle.
Les années ont filé si vite,
Et le bonheur s’en est allé,
Je ne vous rendrai plus visite
Là-bas tout au bout de l’allée.
le temps emporte tout au loin,
Et les chagrins et les amours,
Le temps emporte tout au loin,
Les soirs d’été et les amours.
Ma muse, il faut que ce soir j’ose,
Sur ton cœur je jette une rose.
Ah je n’avais pas compris que cet étudiant modèle preparait un master en langue vernaculaire de la cité phoceenne! Dans ce cas ,il peut déjà se considérer comme reçu! Pitoyable, le niveau de l’éducation nationale.
Étudiant en master et galimatier de cette manière ? Diantre, le niveau s’est singulièrement abaissé, Monseigneur. Ah!oui, Ayoub, ça explique bien des choses. Il veut lui niquer sa race. Sur un site internet, un commentateur de cette tribu s’exprimait ainsi : il avait lu Molire. Pour me foutre de sa gueule, je lui ai demandé s’il parlait de Jean-Baptiste Sopalin. Ce con m’a répondu que oui. Je ne m’étonne plus de rien.
Et en plus il m’a remercié pour l’info. Un autre signalait qu’il regardait les films de Don Camiono.
je ne sais pas s’il faut en rire ou en pleurer !
J’sais pas pour vous mais… Dans le temps niveau jactance, un Master signifiait une certaine éloquence, un certain niveau… Bon sinon va falloir chausser godillots, bottes, Santiags ou rangers et aller botter des culs !!
Juste bien approvisionner mes deux amis intimes : Smith et Wesson…