Le p’tit singe ne vous a jamais parlé
De son filleul, il est tellement discret
Il est si différent de la nièce décérébrée.
Qu’est-ce qui peut bien les différencier ?
Ils ont le même âge à deux mois près
Des parents présents, à un détail nuancé
Pour la nièce une couple étrange, divorcé
Deux ex enfants rois pas très structurés
Pour son filleul, un couple aimant et uni
Une éducation simple: bonjour, merci.
Un gamin sportif, un esprit vif et curieux
Un gentil avançant dans les pas d’son vieux.
Alors que la nièce conteste sans savoir
Le filleul réfléchit , écoute son auditoire.
Nous ne sommes pas toujours d’accord
Mais jamais les mots ne deviennent forts
Par sa culture, le bougre sait argumenter
Immense différence avec l’autre déjantée
Qui pense qu’en criant elle accroît sa pensée
Alors qu’elle empile des sottises éhontées
Lui aussi a fêté plusieurs anniversaires
Car le p’tit singe lui a laissé son logis
Le primate lui a tendu les clés et est sorti
Car la confiance est établie depuis des lustres
Le singe avoue, quitte à passer pour un rustre
Qu’entre les deux jeunes son cœur, sa tête
Ne pencheront jamais vers l’andouillette
Comme quoi si les liens du sang sont un fait
L’amitié est quelque chose de sûr et de sacré.
Le singe ne supporte plus la dinguerie d’sa nièce
Elle n’aura jamais de tel cadeau vu sa rudesse
Sa jalousie, ses remarques acerbes et amères
Ses positions odieuses, son récit victimaire
Juste parce que sa mère est la sœur du primate
Il se retient… Et parfois une envie de coup d’latte…
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Le petit singe serait il patriarcal et anti-feministe! Pauvre guenon! 🤣🤣🤣
Merci ami Le Vilain.
LA FAMILLE
Dans toutes les familles,
C’est comme les lentilles,
Parfois c’est dur ou mou,
Ou bien t’as des cailloux.
Triées sur le volet
Ou pètent ton dentier.
Tu en as toujours une
Qui te casse les burnes
Pour un oui pour un non
Te casse les bonbons.
Ou guette ton trépas,
Il va crever ou pas?
MORALITÉ
Sachons dès aujourd’hui
Profiter de la vie.
Bouffons notre pognon,
Méfions-nous du poison.
Allons chez le notaire
Pour mettre tout au clair.
Déshéritons l’infâme,
Surtout si elle réclame.
Faisons goûter nos plats
Au voisin pas sympa,
Avant de les manger,
Au lieu de dégager
Pour cause de poison,
D’un petit plat maison.
Les crottes en chocolat
Ne les accepte pas,
Fourrées à l’arsenic
Ya rien de plus toxique.
Fuis ses invitations,
Ses sollicitations.
Et ne dors que d’un œil
Et ferme bien ton seuil.
Les ballades en bagnole,
Ya rien de plus mariole,
À la place du mort
Tu vas jouer ton sort.
CONCLUSION en prose
Si tu suis mes conseils
Tu as des chances de finir centenaire.