Programmation psychologique par l’islam : un esprit sain peut-il en réchapper ?

Psychologie : L’étude de l’âme n’est pas l’objet du Coran ; on y trouve le mot « nafs » pour désigner l’âme humaine comme siège des sentiments. Elle y est décrite comme « incitatrice au mal » (12, 53), «en train de se blâmer» (75, 2) et ne devant se sentir « apaisée » qu’au moment où lui est ouvert le Paradis (89, 27-28). Ignorant les fonctions du cerveau, le Coran les situe dans le cœur (qalb), siège de la pensée et de la foi ( 7, 179). Ce qui est appelé un « cœur sain » (« qalbun salīm »), c’est la foi en Dieu :  (26, 88-89). Il n’est donc pas question de santé mentale, ni d’analyse des comportements en dehors de leur évaluation en fonction des exigences islamiques.
On peut tenter d’inverser la perspective en se demandant quel peut-être l’impact de l’islam sur l’équilibre mental et comportemental de ses adeptes.

L’«arabité» Pour les musulmans, y compris chez les peuples non-arabes convertis, la récitation du Coran, l’imitation du Prophète induisent une identification aux Arabes ou à l’idée qu’on s’en fait. Le texte du Coran revendique son « arabité » 13 fois, faisant de la langue arabe, la langue de Dieu : « Ce (Coran) ci, c’est le Seigneur de l’Univers qui l’a fait descendre et  l’Esprit fidèle est descendu avec cela sur ton coeur, pour que tu sois du nombre des avertisseurs  en une langue arabe très claire.» (26, 192 -195). « Si Nous en avions fait un Coran en une langue autre que l’arabe, ils auraient dit: ‹Pourquoi ses versets n’ ont-ils pas été exposés clairement ? quoi? Un (Coran) non-arabe et un (Messager) arabe ? (41, 44) «  Il n’est pas douteux que l’«arabité» dont se réclame l’islam, sans qu’on puisse démêler si elle est génétique, cultuelle ou culturelle, s’impose dans l’esprit des fidèles comme une croyance forte. Elle est considérée comme un ensemble de tendances et de comportements qui distinguent des musulmans des autres … et par lesquels ils cherchent à s’en distinguer : nomades plutôt que paysans, pillards plutôt que bâtisseurs. Leur historien le plus célèbre, Ibn Khaldoun (d. 1406) évoque ainsi cette « arabité » : « En raison de leur sauvagerie innée, ils sont, de tous les peuples, trop réfractaires pour accepter l’autorité d’autrui, par rudesse, orgueil, ambition et jalousie. Leurs aspirations tendent rarement vers un seul but. Il leur faut l’influence de la loi religieuse, par la prophétie ou la sainteté, pour qu’ils se modèrent d’eux-mêmes et qu’ils perdent leur caractère hautain et jaloux. Il leur est, alors facile, de se soumettre et de s’unir, grâce à leur communauté religieuse. Ainsi, rudesse et orgueil s’effacent et l’envie et la jalousie sont freinées. »[1]. Or les Arabes doivent avoir la prééminence en tout si l’on en croit un hadith de Mahomet comme celui-ci : « L’abaissement des Arabes est celui de l’islam » [2]. Ce modèle comportemental dominateur imprègne toujours les consciences dans ce qu’on appelle, par un amalgame significatif, le monde « arabo-musulman ».

Les dommages de la consanguinité  Des études indiquent un quotient intellectuel plus faible et des taux d’incidence plus élevés de déficience intellectuelle parmi les populations où les mariages consanguins sont est encore fortement en usage, sans écarter des facteurs purement psychologiques.[3]

Consanguinité dans le monde ( 2015).

Les conséquences de la polygamie Autorisée dans la plupart des pays musulmans, même si cette pratique est en recul dans les milieux occidentalisés, elle est encadrée dans certains pays (Maroc), interdite dans d’autres (Tunisie, Turquie, Azerbaïdjan, Albanie, Kosovo, Bosnie-Herzégovine,Tadjikistan). Elle existe de façon clandestine en pays occidentaux, les femmes épousées seulement religieusement, étant déclarées comme « parents isolés« . La polygamie entraîne des formes conflictuelles  de relations entre adultes. La jalousie entre coépouses est très tôt perçue par les enfants, qui sont souvent au centre des rivalités, surtout les garçons, objets d’une prédilection par rapport aux filles. On ne peut nier que de telles situations créent des sentiments d’insécurité, de compétition ou de rejet. Cela est d’autant plus marqué si le père montre une préférence pour une épouse et/ou ses enfants. Or le père répartit rarement son attention et ses ressources de façon égalitaire. Certains enfants se sentant négligés, moins aimés, moins aidés, sont en proie à des troubles affectifs comme l’anxiété, la dépression ou des troubles de l’attachement, et, en profondeur, une faible estime de soi ; en général, ils rencontrent plus de problèmes scolaires et , plus tard, plus de difficultés que d’autres à établir des relations sociales et affectives saines.

L’impact des mutilations génitales  Quoiqu’elle ne soit pas mentionnée dans le Coran, la circoncision (« khitân »). est coutumière chez les musulmans, qui représentent 68 % des hommes circoncis dans le monde. Elle est expressément mentionnée dans plusieurs »hadiths » qui la rendent obligatoire dans les écoles juridiques sunnites : « Cinq choses relèvent de la « nature primordiale » (« fitrah ») : la circoncision, le rasage des poils pubiens, la coupe des ongles, l’épilation des aisselles, et la taille de la moustache. » (Bukhâri 5889, Muslim  257). Le Prophète donne en exemple Abraham : « Ibrahim s’est circoncis à l’âge de 80 ans avec une herminette[4]. » (Bukhâri 3356, Muslim 2370).

Dans bien des régions turques ou arabes, les circoncisions religieuses sont effectuées sans anesthésie par le coiffeur ou le derviche. L’opération est alors douloureuse pour l’enfant et peut engendrer infections, hémorragies, sectionnement de la verge, artère du pénis tranchée, partie du gland coupé. « Les dangers énormes sur le plan physiologique et psychique sont sérieux »[5]. Le bédéiste Riad Sattouf a consacré un ouvrage entier à ce supposé « rite de passage », un traumatisme qui a détruit sa confiance dans les adultes qui le lui ont infligé.[6] Malgré la joie manifestée par l’entourage et la fierté que l’on enjoint à l’enfant de ressentir, les affects douloureux ne sont pas effacés, seulement refoulés : la peur, l’insécurité, la colère, un sentiment de perte, de honte, un sentiment de victimisation et de viol, le chagrin et la jalousie envers les hommes intacts.

Que dire alors de l’impact psychologique des mutilations génitales féminines qui consistent à couper partiellement ou totalement le clitoris et parfois d’autres parties des organes génitaux externes féminins ? L’excision féminine (« khafd ») n’est pas mentionnée dans le Coran, les hadiths qui la préconisent sont considérés comme faibles, l’université Al-Azhar et de nombreux « savants » disent aujourd’hui que ce n’est pas une obligation religieuse. Elle est néanmoins pratiquée dans nombre de pays musulmans, même après une interdiction officielle (comme en Egypte à plus de 80%). Dans les pays occidentaux, l’excision semble une pratique clandestine en augmentation : le nombre d’excisées en France a doublé en une décennie, dans les milieux de l’immigration africaine[7]. L’ampleur du phénomène et son impact dévastateur sur la vie physique et psychique des femmes est considérable.[8]

La dépression Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), une personne sur huit vit avec un trouble mental. Dans le monde arabe, cette proportion est encore plus élevée, avec en moyenne 29 % de dépression, en particulier chez les Tunisiens, les Irakiens, les Jordaniens et les Palestiniens interrogés par l’Arab Barometer en juillet 2020 ; chez les Marocains et les Algériens, la moyenne se situerait autour de 20 %.

On note une augmentation du nombre de suicides, (en Irak, ce taux aurait doublé en 5 ans). Le suicide étant prohibé par l’islam, il s’agit peut-être, dans certains cas, de désillusionnés de la religion, voire d’apostats ne trouvant pas leur place dans la société.

Les addictions Dans le monde musulman aujourd’hui, la population masculine semble particulièrement vulnérable aux addictions, malgré les interdits religieux… ou en raison de ces derniers. En dehors du tabac dont l’usage est très répandu, l’alcool est consommé dans plusieurs pays à majorité musulmane (Maghreb, Iran, Turquie, Liban). Du fait qu’il est prohibé, il s’agit d’une consommation dissimulée, à doses importantes, comme un défoulement rapide et sans contrôle. L’addiction aux jeux d’argent, réprouvée comme l’alcool ( 5, 90) est aussi extrêmement courante, jadis aux cartes, désormais en ligne.

La consommation de drogues est également prohibée par l’islam, si on extrapole à partir de l’interdiction des « boissons enivrantes » (5, 90) mais rien n’est évidemment énoncé précisément sur les drogues modernes. Leur consommation a pris un essor particulièrement redoutable chez les jeunes : cannabis, médicaments psychotropes, héroïne, cocaïne, méthamphétamine et captagon (exemple de la Tunisie, de l’Algérie…). Certains pays (comme l’Iran et l’Afghanistan) sont à la fois producteurs et touchés par la consommation. Un certain déni et la négligence des problèmes de santé mentale par l’État comme par la société, entraîne un sous-équipement médical et une pénurie de personnel spécialisé. Cela renforce le recours à des pratiques alternatives auprès des « cheikhs », sollicités par les familles, lorsqu’elles s’en inquiètent.

Comprimés de captagon

La dissimulation. La « taqîya » conseillée envers les non-musulmans[9], entraîne l’esprit à toutes sortes de façons d’esquiver la vérité. Si bien que le mensonge, la ruse, la vantardise, voire la mythomanie ne sont pas rares entre musulmans eux-mêmes. Les circonstances peuvent pousser les individus à se cacher du groupe, sachant que le devoir de chaque musulman est d’« ordonner le convenable, et interdire le blâmable »(3, 104), y compris chez son voisin. Il s’agit souvent aussi d’embellir la réalité pour maintenir une image valorisante d’eux-mêmes, c’est souvent le cas des expatriés du Maghreb qui se vantent de leur réussite dans leur pays d’accueil, lors de leurs retours au « bled« . La tradition orale qui valorise le talent du conteur joue aussi son rôle dans le mélange entre réalité et fiction, le conteur lui-même s’y laisse prendre. Le complexe d’infériorité se trouve ainsi sublimé en complexe de supériorité, au moins le temps d’un récit enjolivé.

« Le Conteur arabe » d’Étienne Dinet , Institut du Monde Arabe, Paris (1922)

L’obsession sexuelle Si elle existe partout, cette obsession prend une forme particulière pour les adeptes de l’islam, qui , dans ce domaine aussi, ne craint pas le paradoxe. Ce qui est « haram » sur terre est promis de façon orgiaque au Paradis, ce qui est puni de flagellation, voire de lapidation, est licite pour l’homme avec « ce qu’il possède de la main droite », c’est-à-dire ses esclaves et captives (23, 5-6 ; 33, 50 ; 29, 30)… ou au moyen du « mariage temporaire» («mariage mut’a»), prostitution déguisée (4, 24). De surcroît, un interdit porte sur la représentation du vivant : « Ceux qui fabriquent ces images seront châtiés au Jour du Jugement ; on leur dira : « Donnez vie à ce que vous avez créé. » » (Bukhari et Muslim). S’y ajoute l’injonction de couvrir le corps féminin (24, 31 ; 33, 59). Le revers de cet interdit est une érotisation intense de l’organe de la vue, qu’on a pu désigner comme la « scoptophilie » de l’islam.[10] Par exemple, le voyeurisme des musulmans dans les piscines mixtes paraît inévitable, Tariq Ramadan faisait mine de s’en indigner[11] :

https://youtu.be/n-rJK9_Uh7Y

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La prétendue « pudeur » renforce ces pulsions scoptophiliques : jadis, « l’œil cherchait à voir à travers les voiles du corps féminin »[12], de nos jours, le succès de l’offre pornographique via internet est foudroyant dans les pays musulmans.

L’honneur familial  Le clan familial semble peu sensible aux incartades des fils contre les lois du pays où ils se trouvent (vol, recel, trafics, crimes graves entraînant l’emprisonnement…). On a vu le père de Mohammed Merah porter plainte contre l’Etat français[13]. On n’a jamais vu un père musulman abattre son fils, coupable d’avoir commis un crime… En revanche, pour que l’honneur familial ne soit pas « sali », la préservation de la « pureté » des filles à marier est une préoccupation majeure. Le «crime d’honneur » peut punir la « coupable » ainsi que le jeune homme qu’elle fréquentait, surtout s’il n’est pas musulman.[14] Erigé en «gardien du temple», le frère, souvent le plus proche par l’âge de sa sœur, se voit déléguer par ses parents la responsabilité de veiller sur la conduite de sa sœur.  Le plus souvent, elle a intériorisé depuis l’enfance l’habitude de se soumettre à toute autorité virile. Cela peut conduire à souder une relation sado-masochiste entre eux.[15] Par un renversement fréquent dans ce type de relation déséquilibrée, au moindre éloignement de la soeur, le frère qui l’avait dominée, peut souffrir d’une véritable jalousie qui peut se traduire en actes violents, comme dans l’agression d’un prétendant [16], ou trouver un exutoire dans les prétendus « crimes d’honneur »[17].

Les injonctions paradoxales, que les psychiatres, étudiant les causes de la schizophrénie, appellent aussi le « double bind »[18], sont nombreuses dans le Coran comme dans la Tradition, qui n’ont jamais été purgés de leurs contradictions. Par exemple, tout, dans l’éducation de la fille lui apprend à redouter le sexe mâle mais elle assiste à la joie des mères qui sont félicitées d’avoir donné naissance à un garçon. Parentes et voisines les complimentent sur le fait que le nourrisson soit bien pourvu anatomiquement[19]. Quant au jeune garçon, il accompagne ses parentes, mères et sœur, au hammam, jusqu’à un âge indéterminé, sans doute décidé par la mère… mais à quel moment se place pour lui l’interdit de regarder les femmes ? Les mots aussi sont souvent à double entente. Dans la langue arabe, il y a des mots qui ont deux sens contradictoires : blanc/noir; obscurité/lumière ; vendre/acheter… « jawn » peut être compris comme « blanc » ou « noir mêlé de rouge » ; le verbe « djawana » comme « blanchir la porte de la mariée » ou « noircir la maison d’un mort»[20]. Ce sont les « addâd », des exemples des ambigüités de la langue arabe permettant d’associer une chose et son contraire[21]. Ces reversements de sens, selon certains, lui confèrent sa poésie, mais ils ajoutent à la confusion des contraires chez ceux qui voudraient prendre le texte du Coran pour guide. Claude Levi Strauss, dans « Tristes tropiques », résumait cette impasse : « Tout l’Islam semble être une méthode pour développer dans l’esprit des croyants des conflits insurmontables, quitte à les sauver par la suite en leur proposant des solutions d’une très grande (mais trop grande) simplicité. »

Le fatalisme L’un des effets des injonctions paradoxales, des contradictions non résolues, si nombreuses dans le Coran[22] et les hadiths, est de paralyser la pensée des fidèles : on décide alors de ne pas chercher à comprendre mais de faire ce qui est prescrit… ou même de ne rien faire du tout. De plus, Allah est censé avoir tout écrit d’avance : « Aucun malheur n’atteint la terre ni vos personnes qui ne soit inscrit dans un Livre avant que Nous ne le fassions paraître… » (57, 32). Tout effort humain paraît donc vain : « Et vous ne pouvez vouloir, sauf si Allah veut… » (76, 30). Pour celui qui est convaincu de la prédestination qui détermine tout, quoi qu’il fasse, la paresse intellectuelle et la paresse tout court peuvent se glisser dans cet abandon à Dieu. La tentation est grande de se décharger aussi de toute responsabilité : »Ce n’est pas vous qui les avez tués, c’est Allah« ( 8, 17).

L’ agressivité  Une sorte d’éréthisme agite cependant le Coran, bien plus prompt à exciter qu’à apaiser. Sur les 114 sourates, il est bien difficile d’en trouver qui ne mentionnent ni le combat meurtrier, ni le châtiment à venir, ni quelque destruction, ni la colère d’Allah, (citons deux courtes exceptions comme la sourate 112 qui ne comporte que 4 versets ou la sourate 94, composée de seulement 8 versets). Les mots de la lutte (qîtal) ou de la guerre (mukatala ou harb), courent dans plus de 220 versets, tandis que les verbes « combattre »(« qātala » ) ou « tuer » figurent dans plus de 300 versets. C’est bien un livre violent, qui fait osciller le fidèle entre la peur des tourments de l’Enfer et l’exaltation du « djihad ». Dans les hadiths et la sirâ, les atteintes de Mahomet aux biens ou à la vie humaine abondent, complaisamment relayés, comme autant d’incitations à imiter la cruauté belliqueuse du Beau Modèle[23]… Tout cela entre en contradiction avec le fatalisme, puisque, si tout découle de la volonté d’Allah, rien ne justifie la colère d’un musulman, ni celle d’Allah lui-même. On voit bien ici que la pulsion meurtrière l’emporte de manière irraisonnée sur la ‘soumission‘ paisible dont on veut faire croire qu’elle est la traduction de l’islam.

L’ amour  Rares sont les occurrences de ce mot dans le Coran. L’amour d’Allah pour ses créatures est énoncé 3 fois (11, 90 ; 19 ; 96 ; 85, 14). L’amour charnel est évoqué comme une passion coupable, surtout pour une femme : « La femme d’Al-Azize essaye de séduire son valet ! Il l’a vraiment rendue folle d’amour. Nous la trouvons certes dans un égarement évident» (12,30). Chez l’homme, l’amour ne se traduit qu’en littérature profane, où il se « prouve » fréquemment par le crime passionnel « Il dégaina son épée et coupa la tête de son rival »[24]. L’amour conjugal est, lui, surtout une commodité pour les maris, auxquels seuls Allah s’adresse : – Et parmi Ses signes Il a créé de vous, pour vous, des épouses pour que vous viviez en tranquillité avec elles et Il a mis entre vous de l’affection et de la bonté. Il y a en cela des preuves pour des gens qui réfléchissent. » (30, 21). La bonté pour les proches est recommandée 2 fois (43, 23) et (4, 8), avec une mention pour les pères et mères : « Nous avons commandé à l’homme la bienfaisance envers ses père et mère; sa mère l’a porté [subissant pour lui]peine sur peine son sevrage a lieu à deux ans. Sois reconnaissant envers Moi ainsi qu’envers tes parents. Vers Moi est la destination. » (31, 14).

Cependant le Coran affirme le primat de l’attachement à Allah sur tout autre : « Il n‘appartient pas au Prophète et aux croyants d’implorer le pardon en faveur des associateurs, fussent-ils des parents alors qu’il leur est apparu clairement que ce sont les gens de l’Enfer »(9, 113). « Tu n’en trouveras pas, parmi les gens qui croient en Allah et au Jour dernier, qui prennent pour amis ceux qui s’opposent à Allah et à Son Messager, fussent-ils leurs pères, leur fils ou les gens de leur tribu»(58, 22). Allah ne tolère pas que l’on éprouve un amour égal à celui qu’on lui porte, cet interdit vise non seulement d’autres cultes mais aussi l’amour entre humains : « Parmi les gens, il en est qui prennent, en dehors de Dieu, des égaux à Lui, en les aimant comme on aime Dieu. Or ceux qui ont cru ont le plus grand amour pour Dieu. Si ceux qui ont été injustes pouvaient voir le châtiment, ils verraient que la force entière appartient à Dieu, et que Dieu est sévère en châtiment. » (2,165). Paradoxe encore : il faut aimer Allah et non Sa Création terrestre !

Les ressorts du totalitarisme. L’islam organise le détournement des affects individuels au profit d’une figure omnipotente. L’attachement à Allah, vers qui l’islam exige un élan d « amour » exclusif, tout en précisant immédiatement qu’il est « sévère en châtiment », correspond à l’exaltation fanatique à l’égard du chef autoritaire, telle qu’elle a été décrite à propos du fascisme : un système répressif sur le plan sexuel et social engendre l’obéissance aveugle envers les figures d’autorité et le défoulement agressif envers les déviants, tout en emprisonnant ses membres dans la peur de la liberté[25].

La tentation terroriste Chez les adolescents radicalisés « le sentiment d’impuissance se transforme en un fantasme de toute-puissance (…) Pour des adolescents désœuvrés, il n’y a pas mieux qu’une situation de toute-puissance narcissique pour colmater les failles et en même temps réparer une confiance en soi bafouée et malmenée»[26]. Un état qui ressemble à la dépression semble précéder la radicalisation, cet état préliminaire est décrit comme « dépression d’infériorité » : « L’élan religieux était précédé par une période ou (les sujets) étaient devenus apathiques, se dépréciaient, éprouvaient des sentiments d’insuffisance, de honte, se considéraient comme nuls ».[27]  Au moment de l’action, la levée du refoulement des pulsions destructrices, la dissolution de la responsabilité dans le groupe et  la foi en la gouvernance d’Allah (c’est Allah qui tue, cf. plus haut : 8, 17), la soumission à l’autorité du chef, annihilent tout scrupule. On peut supposer également que, chez des hommes jeunes, la répression imposée par le dogme, surtout sur le plan sexuel, fabrique des bourreaux et des kamikazes islamistes[28], ces derniers aspirant au priapisme éternel, soutenus dans leur délire par la consommation de drogues. La question palestinienne ou la volonté de « venger les enfants palestiniens« , souvent revendiquée par les terroristes, n’est qu’un prétexte ; Hassan II, roi du Maroc, en avait perçu la dimension sexuelle :« La haine d’Israël et du juif est l‘aphrodisiaque le plus puissant du monde arabo-musulman » (dans « L’heure de vérité | Antenne 2 | 17/12/1989).

Le sadisme La jouissance manifeste devant la souffrance d’autrui vient corroborer la dimension pathologique du dogme islamique. La description des tourments qui attendent les non-musulmans en Enfer est symptomatique du sadisme d’Allah ou de ceux qui l’ont fait parler : « – Certes, ceux qui ne croient pas à Nos Versets, (le Coran) Nous les brûlerons bientôt dans le Feu. Chaque fois que leurs peaux auront été consumées, Nous leur donnerons d’autres peaux en échange afin qu’ils goûtent au châtiment. Dieu est certes Puissant et Sage ! » (4, 56). On a pu voir les effets de tels versets traduits en actes depuis quelques années[29].

Les modes particuliers de raisonnement  Dans la conduite d’un raisonnement démonstratif, il y a une idée majeure et des idées annexes. Or les commentateurs musulmans vont plutôt appliquer « leurs talents discursifs-persuasifs sur ces dernières et contourner l’idée principale si celle-ci pose un problème. Cela donne un traitement périphérique de la question, séparé du coeur  de celle-ci ».[30] De plus, l’analogie, la parabole, approches indirectes, sont préférées à l’argumentation directe. Dans un mouvement comparable, une notion positive n’est pas développée par une description de son contenu mais par la négation de son contraire : par exemple, qu’est-ce que donc que le « chemin d’Allah » (« charia ») ? C’est de ne pas s’en égarer… aucun effort pour définir positivement cette notion dans le Coran ! Elle est pourtant centrale et engendrera une immense littérature juridique d’élucidation pendant des siècles… Une démarche courbe, non linéaire, enroule la pensée sur elle-même, jusqu’au raisonnement circulaire :« Ne méditent-ils donc pas sur le Coran ? S’il provenait d’un autre que Dieu, ils y trouveraient certes maintes contradictions. » (4, 82) mais s’ « ils » n’y trouvent pas de contradictions, c’est que LEUR croyance affirmant que le Coran provient de Dieu LEUR interdit d’y voir la moindre contradiction. Un apostat, libéré de cette croyance,  en a trouvé des dizaines ![31]

Le Coran sous hypnose La grande masse des musulmans ne lisent pas le Coran. La première raison est que 80% d’entre eux ne sont pas arabophones (Indonésie (le plus grand pays musulman, (>230 millions) ; Pakistan (>200 millions) ; Inde (environ 200 millions de musulmans) ; Bangladesh (>150 millions); Turquie, Iran, Nigeria…). Les arabophones, eux,   ne comprennent pas bien la langue du Coran – un arabe du 7e siècle mâtiné d’autres langues- que même des érudits arabophones renoncent à comprendre dans  une bonne part des versets[32]. Lors des prêches du vendredi, les fidèles entendent réciter le Coran sans le comprendre. Ils n’ont eux-mêmes, en général, appris que 4 ou 5 versets par cœur (principalement la Fatiha et le Verset du Trône (2, 255). « Ils ne peuvent absolument pas s’interroger à propos de la moralité comme de la crédibilité de ces messages»[33]. Les fidèles sont dont tributaires de l’interprétation que leur en donne l’imam. Ce dernier peut, à tout instant, réveiller le potentiel mobilisateur des versets appelant au djihad contre les mécréants. Un poème turc, cité par le président Erdogan en 1997,  n’a-t-il pas déclaré « Les mosquées sont nos casernes… » ?

Lors des rituels, la répétition à voix haute de textes récités sans être compris entraîne un endormissement du sens critique et une sorte d’hypnose mais l’islam n’en a cure, au contraire :

« Cheikh Ibn Outhaymine (Puisse Allah lui accorder Sa miséricorde) a été interrogé en ces termes : Celui qui récite le Coran sans rien y comprendre sera-t-il récompensé? Voici sa réponse: « Le saint Coran est béni comme le dit Allah Très haut: [Voici] un Livre béni que Nous avons fait descendre vers toi, afin qu’ils méditent sur ses versets et que les doués d’intelligence réfléchissent (Coran,38: 29). Celui qui le récite en sera récompensé; qu’il comprenne ce qu’il récite ou pas.[34] ».

En conclusion, si on ne peut se prononcer sur le caractère de chaque fidèle se réclamant de l’islam, il apparaît qu’un certain nombre d’aspects de ce dogme sont susceptibles de façonner les esprits et d’induire des comportements dommageables, à une échelle significative. On peut avancer l’idée qu’il existe une programmation mentale islamique conçue pour émousser le sens critique de l’individu, au point de former une barrière étanche entre ses capacités de raisonnement et l’examen des textes sacrés que l’on impose à sa dévotion. Pour les plus modérés, le maintien de ces textes à une distance révérencieuse, qui est aussi une façon de se cantonner à une demi-ignorance de leur contenu, répond au désir de se protéger d’un changement vers l’apostasie que leur inconscient redoute, car l’islam qu’ils se sont aménagé leur procure une zone de confort. Pour les autres, l’adhésion à ce contenu, qui est celui d’un livre de guerre, confus et dénué d’humanité, ne peut les amener qu’au déséquilibre mental. Dans tous les cas, la connaissance raisonnée des problèmes psychologiques engendrés par l’islam s’avèrerait salutaire pour tous.

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[1] Ibn-KHALDOUN, Discours sur l’histoire universelle, trad. Monteil, dans les pays Imprimerie catholique, Beyrouth, 1967, p. 89.

[2] Paul BALTA, L’islam, Marabout/Le Monde Éditions, 1995, pp 102 et ss.

[3] Georges OLIVIER et Georges DEVIGNE, Biométrie d’adultes consanguins, Population, Année 1978 33-3, Persée, p. 728.

[4] Herminette : Hache à long manche et à fer recourbé du charpentier ou du tonnelier.

[5] Abdelwahab BOUHDIBA, La Sexualité en islam, PUF, 2003.

[6] Riad SATTOUF, Ma circoncision, roman graphique, Bréal jeunesse, 2004.

[7] En 2019, une étude de Santé publique France estimait le nombre de femmes adultes ayant subi une mutilation génitale à 125000.

[8] Françoise COUCHARD, L’excision, Presses Universitaires de France, Que sais-je ?, Paris, 2003.

[9] Cf. Agathe RABIER, « Taqîya» : connaissez-vous l’islam confit dans la douceur ? », in Résistance républicaine, publié le 15/10/2024  https://resistancerepublicaine.com/2024/10/15/taqiya-connaissez-vous-lislam-confit-dans-la-douceur/

[10] Françoise COUCHARD, Le fantasme de séduction dans la culture musulmane, Presses Universitaires de France, Paris, 2004, p. 72.

[11] Tariq Ramadan, prêchant à la Réunion, ce 16 mai 2009, se positionnait alors en défenseur de la pureté des moeurs islamiques !

[12] Françoise COCHARD, op. cit. p. 65.

[13] Le 11 juin 2012, Mohamed Benalel Merah, père de Mohamed Merah, auteur des attentats de Toulouse et Montauban ayant coûté la vie à sept personnes, a déposé plainte, estimant que son fils avait été assassiné lors de l’intervention du RAID.

[14] Exemples en France :   Shaïna Hansye (2019) : Adolescente poignardée et brûlée vive à Creil, Gülbahar Gündüz (2004) : Jeune femme turque tuée à Saint-Étienne par son frère pour avoir voulu vivre selon ses propres choix, Sohane Benziane (2002) : Brûlée vive à Vitry-sur-Seine par un jeune homme du quartier pour avoir défendu son droit à la liberté.

[15] Françoise COUCHARD, op. cit.

[16] Exemple : https://www.leparisien.fr/val-d-oise-95/mort-de-brandon-a-garges-les-soeurs-de-lauteur-presume-du-coup-mortel-denoncent-son-comportement-violent-01-08-2022-JYGY3A6BZBBPZGDGL73DA4HKI4.php

[17] Exemple : https://www.leparisien.fr/faits-divers/mort-de-shemseddine-pourquoi-la-notion-de-crime-dhonneur-est-elle-contestee-09-04-2024-POGL6RJHTZDP5K7RLFOJC5NUKQ.php

[18] Gregory BATESON et al., « Toward a Theory of Schizophrenia », Behavioral Science, 1(4), (1956)  .251–264. https://doi.org/10.1002/bs.3830010402

[19] Françoise COUCHARD, op. cit., p. 87.

[20] Françoise COUCHARD, Ibid., p. 71.

[21] Françoise COUCHARD, Ibid.

[22] Cf. Majid OUKACHA, 100 contradictions et erreurs scientifiques dans le Coran, juin 2023.

[23] Agathe RABIER, « M.H.M.D. : y a-t-il quelqu’un derrière les 4 lettres de… Mahomet ? », in Résistance républicaine, publié le 16/03/2025,  https://resistancerepublicaine.com/2024/03/16/m-h-m-d-y-a-t-il-quelquun-derriere-ces-4-lettres/

[24] Cité par Wafa SULTAN, L’islam, fabrique de déséquilibrés, Riposte laïque, 2016, p. 196.

[25] Cf. Wilhelm REICH, Psychologie de masse du fascisme, (1933).

[26] Sana CHERNI, La clinique du djihad, Arabesques, Tunis, 2019, p. 109.

[27] Fethi BENSLAMA, Un furieux désir de sacrifice, le surmusulman, Le Seuil, Paris, 2016, p. 38.

[28] Wafa SULTAN, op. cit., p. 104.

[29] Un exemple largement médiatisé est celui de Moaz al-Kasasbeh, un pilote jordanien capturé par le groupe État islamique (EI) en 2014. Il a été brûlé vif dans une cage en janvier 2015.

[30] Voir l’analyse fouillée du commentaire (« tafsir ») de Razi sur la sourate 2, in Dominique et Marie-Thérèse URVOY, L’action psychologique dans le Coran , Cerf, Paris, 2007.  pp. 37-47.

[31] Majid OUKACHA, op. cit.

[32] Sami ALDEEB, arabophone de de naissance, linguiste, traducteur du Coran en plusieurs langues, déclare que 20% du Coran est incompréhensible pour les grands exégètes, et 80% pour le commun des autres lecteurs arabophones !   https://www.youtube.com/shorts/hxRflmNpE3A?feature=share

[33] Wafa SULTAN, op. cit. p. 156.

[34] L’islam en questions et réponses, 150633, 29/05/2012. https://islamqa.info/fr/answers/150633/celui-ecoute-une-recitation-du-coran-sans-rien-y-comprendre-sera-t-il-recompense

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17 Commentaires

  1. Bonjour Agathe Rabier,
    vous avez dû passer des heures, des jours, des semaines, des mois, à étudier ces textes.
    Quel courage !!

  2. Un esprit sain peut-il réchapper de l’islam ?
    Il faut que les musulmans SE posent la question.
    Alors posons-la concrètement AU MOINS à UN musulman, qu’il sache que si LUI ne veut PAS se poser la question, NOUS nous la posons.
    IMPRIMER l’article et l’ENVOYER par La Poste à l’adresse postale d’un musulman que vous trouverez sur
    https://www.pagesblanches.fr
    en indiquant « Mohammed » (deux M) dans « Qui : Marie Durand » et votre département dans « Où : Lille, Alsace… »
    Pour imprimer l’article facilement, cliquer sur l’icone « + » blanc sur fond bleu en toute fin d’article puis sélectionner l’icône PrintFriendly.
    Choisir taille de texte 100% et taille d’images 0%
    Cliquer sur PDF, choisir Taille de la page A4, télécharger la version PDF et n’imprimer QUE les pages 1, 2, 3 et 6, en 2 feuilles recto puis verso, 1-2 et 3-6.
    Au bas de la page 3, écrire « Lire la totalité sur internet »
    Mettre les feuilles dans une enveloppe, écrire l’adresse, timbrer et poster.
    En faire + : écrire à plus d’un Mohammed.

    • J’ose même dire que la progéniture est dysfonctionnelle depuis les bas-ventre de leurs géniteurs et celui de leurs poules pondeuses…

  3. A les voir vivre dans mon quartier, il y a longtemps que je sais que des leur 9 ans ils commencent à devenir tous cinglés ( pas menteurs, ça on leur apprend avant, ainsi que l infériorité des femmes) C est leur éducation pour en faire de bons musulmans qui devient importante, plus importante que tout le reste / Irrécupérables ! Leur normalité n est pas la notre

    • avant 9 ans, dès 5-6 ans pour ce que j’ai pu constater (extrême violence gratuite de bambins de cet âge avec hurlements, coup violents portés sur une porte faute de pouvoir atteindre la personne après laquelle ils en avait) – effrayant à voir

      • Galathea à 5 ans ils ont déjà compris, si c est un garçon, que c est l enfant roi et qu il a tous les droits, qu il est supérieur aux autres J en ai vu un, encore plus jeune, dans la poussette, qui me regardait avec arrogance, y compris sa mère, déjà soumise
        A 9 ans, il méprise, tourne le dos et ne parle pas aux mécréants, la haine commence En plus avec la polygamie, le père échange les nourrissons entre les méres ( pour éviter jalousies, disputes)mais elles ne les aiment pas et les négligent Manque affectif avec ses conséquences en grandissant ( dont agressivité)

  4. Un angle original avec l’islam passé à la grille de lecture psy. Edifiant

  5. Bonjour;

    Merci pour ton étude merveilleuse, Agathe.

    Ton texte est à lire et relire, à méditer.

      • Que non Agathe c’est vous qui nous dopez, nous redonnez confiance avec toute cette culture qui est la nôtre qui vous permet de mettre à jour les mensonges et manipulations des islamos des gauchos des gouvernements dhimmis… Nous menons la lutte du pot de terre contre le pot de fer ; dans la fable d’Esope comme dans celle de La Fontaine, les 2 pots finissent mal… Même le pot de fer, c’est une consolation, mais la certitude c’est que notre civilisation ne mourra pas même s’il faut lutter pendant des siècles. On n’étouffe pas le génie humain…

  6. Oui, un esprit sain peut en réchapper. Justement, je viens de relire « Le Fascisme islamique » de l’auteur allemand d’origine égyptienne Hamed Abdel-Samad. Ce mec, fils d’un imam et ancien frère musulman, est devenu apostat et athée. Bien évidemment, les pieux religieux musulmans ont lancé des non moins pieuses « fatwas » contre lui. Son livre « Der islamische Faschismus » (« Le Fascisme islamique », Grasset, 2017) est édifiant et, cerise sur le gâteau, agréable à lire. Précédemment, il a écrit « Mein Abschied vom Himmel » (Mon Adieu du Ciel) et « Mohamed – Eine Abrechnung » (« Mahomet, une facture ») dans lequel il traite le prophète de « tyran pathologique, narcissique et paranoïaque, sujet à des épilepsies du lobe temporal », je ne les ai pas encore lus.

  7. Pour moi, c’est une foule grouillante d’où émergent des odeurs de pieds et d’entrejambes, des mélopées aux accents grouillant eux-aussi, des cadavres pourrissant sous un soleil de plomb, des holocaustes de chrétiens et de moutons innocents. Des montagnes de couscous ingurgitées par des obèses se prélassant pendant que les épouses soumises se terrent dans des cuisines sombres comme la nuit.

  8. Bravo, très beau travail de synthèse.
    Quand on parle avec des musulmans, on voit qu’ils ne savent pas raisonner à partir des faits, à la place, ils débitent des fables et des mensonges dans l’espoir de vous promener. Si ils n’y parviennent pas et que vous vous accrochez aux faits, leur rage finit tôt ou tard par exploser en comportement hystérique avec agressivité et insulte.
    A force de croire au coran, qui n’est qu’une suite de mensonges, de fables et de contradictions avec de la haine carabinée envers le monde entier en toile de fond, ils finissent par devenir ces écrits.
    Il y a trop de haine et de non sens dans ce livre pour que ça ne débouche pas sur de la psychiatrie.

    • Merci de tout coeur, j’apprècie également le vôtre.

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