La scène se passe à Paris, au lycée Buffon, année scolaire 1965/1966. Maurice Clavel, professeur de philo, qui allait devenir célèbre quelques années plus tard pour l’un des premiers clashes télévisuels, rendait à ses élèves une dissertation dont le sujet était, en toute simplicité : « qu’est ce qu’un homme civilisé ? ».
La moitié de la classe avait allègrement plongé dans le piège du contresens en considérant que le monde était divisé en 2 parties : LA « civilisation » d’un côté et la « barbarie » de l’autre. La barbarie, quelle qu’elle soit, traitée simplement comme l’absence de civilisation… Les « autres », en quelque sorte.
À l’époque (nous sommes 2 ans avant mai 68), personne n’aurait pu imaginer que la barbarie la plus folle allait s’insinuer un jour pas si lointain au coeur de la « civilisation », et surtout pas la nôtre, qu’on imaginait, après les horreurs du nazisme et du communisme, et bien qu’imparfaite, protégée à jamais de la folie des hommes…
Nous savons hélas maintenant que la « barbarie » a réussi à s’ infiltrer et à se répandre partout, même et surtout au sein de notre civilisation qu’elle s’efforce désespérément de détruire par tous les moyens, et si possible les plus cruels et les plus sauvages.
Le dernier en date vient de se dérouler à Evian où un pompier tentait de mettre fin à un « rodéo urbain ». Le malheureux a été quasi massacré par un criminel récidiviste sans papiers de 19 ans qui est même, semble t’il, revenu sur les lieux pour cracher sur sa victime et vérifier qu’il avait bien réussi son « coup ».
Il y a tant d’autres exemples, partout, dans les grandes villes, dans les banlieues et même dans les campagnes. Aucune région n’est épargnée. Les représentants de l’État semblent particulièrement visés, ainsi bien sûr que les femmes isolées, le courage n’étant pas la principale qualité des barbares. Des forfaits sauvages, odieux, commis presque pour le simple plaisir de faire du mal.
Actes gratuits, perpétrés par simple haine, pour des raisons raciales, religieuses, sexuelles, et même parfois sans motifs précis, simplement l’envie de tuer, de blesser, de faire LE MAL.
Maurice Clavel avait raison de faire plancher ses élèves sur ce thème.
La « civilisation » n’est pas à l’abri de la barbarie, peut-être même au contraire. Elle l’attire, semble t’il. Et plus la « civilisation » obéit à des règles éthiques, des principes, imagine et respecte les « droits de l’homme », et plus elle se met en danger et facilite les actions des criminels barbares dont la seule envie est de faire le mal pour la détruire.
Rien qu’en France, voyez Le Bataclan, Charlie Hebdo, Magnanville, Toulouse, la Promenade des Anglais, les assassinats du père Hamel, de Samuel Paty, de Dominique Bernard… La liste n’est pas exhaustive, vous la connaissez. Les drames se suivent, qu’ils se ressemblent ou non.
Cette nouvelle guerre – car il s’agit bien de ça – prend une tournure fluctuante et insaisissable et ne ressemble à rien de connu dans l’histoire des hommes…
Sans oublier ce qui se passe à l’international (depuis l’attentat du World Trade Center) et qui est de la même veine.
Le nouveau Pape Léon XIV a raison d’annoncer que le Mal ne l’emportera pas…
Le Mal est peut-être aujourd’hui la principale menace pour l’homme « civilisé ».
Pour l’Homme, tout simplement.
Voici ce que Minurne-Résistance s’efforce, depuis août 2011, d’expliquer à ses lecteurs…
Marc Le Stahler
13 mai 2025
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Pas d’apostrophe mal placée, revoyez la grammaire.
Un homme civilisé est un homme qui parle beaucoup, de morale, d’éducation, de justice… et qui au moment de passer à l’acte, oublie tout ce qu’il a pû dire.
Beaucoup de gens se disent « horrifiés » par cette barbarie. Mais dès le lendemain, ils élisent ceux qui l’importent en masse. Songez que macron a fait venir 4,5 millions de barbares « légaux » en 8 ans, sans compter les 2 ou 3 millions d’illégaux.
Les Français ne semblent pas réaliser qu’ils représentent aujourd’hui 1/4 de la population et très probablement bientôt 1/3.
Bonjour,
4.5 millions de barbares, au total, sans doute pas.
Il faut toujours partir des chiffres de Pierre Brochant (DGSE).
-30 % de fanatiques, totalement haineux contre la France, contre nous.
-40% de « flottants ».
-30% d’amis de la France
Nous en sommes donc à 1.5 millions de barbares, de fanatiques, c’est gigantesque : voilà la seule « réussite » de ce traître de Macron.
Le nouveau pape Leon? Mais c’est le mal incarné! Tout comme son prédécesseur! Comme l’église catholique le préconise, il préfère la vermine aux gens honnêtes ! Ne pas oublier l’épisode où Jésus dit aux larrons, que si il croient en lui, il seront les premiers au royaume de dieu! L’eglise catholique aime les migrants et les excusent de tous les crimes, car il n’y a plus que ces parasites pour suivre leurs préceptes.