Quatuor des tocards, ajoutez le toxico, une merveille pour la paix du monde
De gauche à droite, Starmer, Zelensky, Macron, Tusk, Merz !
Permettez-moi dans un premier temps de m’excuser d’avance pour le vocabulaire que je vais utiliser pour nommer les quatre dirigeants qui se sont rendus ce week-end à Kiev et qui ne méritent pas, selon moi, d’être désignés de manière courtoise ou polie. Ils sont tellement aveuglés par la bêtise, la haine, la bellicosité gratuite, que je ne peux m’empêcher de me laisser emporter par la colère. C’est l’avantage de ne pas être une « professionnelle » ! Ce qui ne m’empêche pas d’emboiter depuis longtemps le journalisme citoyen, comme vous le savez. Journalisme citoyen, promu désormais par Elon Musk, dont les services ou algorithmes m’ont tout de même bannie de X, pour des raisons que j’ignore encore.
La Grande Parade Patriotique passée, les audiences multiples que le Président Poutine a accordées à un nombre de chefs d’états présents, chacun reconnaitra que le Président de la Fédération de Russie fut l’ homme le plus débordé de ce week-end de commémoration de la victoire contre les nazis, dont le pays a payé la plus lourde tribu en vies humaines, il ne faut cesser de le rappeler devant les falsifications de l’histoire de notre calamiteuse époque. 27 millions de morts contre 400.000 Américains qui se proclament toujours les grands victorieux.
Pourtant, c’est ce matin, 11 mai 2025, à 02:00 du matin, qu’il publie un communiqué de la plus haute importance, auquel, certainement, les quatre visiteurs européens ne se sont certainement pas attendus. Surtout après avoir insulté, humilié, menacé de sanctions la Russie de manière continuelle tout le week-end, si elle ne consentait pas à un cesser le feu sans condition. Autant dire exiger de la Russie de capituler d’une guerre qu’elle est en train de gagner et qu’elle aurait déjà gagné depuis longtemps selon des sources autorisées anglo-américaines et même allemandes.
Je n’oublierai pas certains Français qui analysent de même dans un océan de mensonges. Au point de ne même pas comprendre ce qui pousse tous ces tocards incultes, russophobes primaires qui soi-disant nous dirigent.
Je vous livre la déclaration, je le souligne, magistrale du Président Poutine, publiée sur son site en anglais et vous livre également la traduction. Le Président fait une entrée étonnante de fraîcheur et de dynamisme, pour quelqu’un dont « l’excellent Pujadas » prétendait qu’il était en phase finale de toutes les maladies mortelles imaginables.
J’ai remarqué à l’audition de sa déclaration et en la relisant qu’il ne nomme jamais le quatuor des tocards belliqueux, visiteurs de Kiev. Comme s’ils n’existaient pas. En tout état de cause, c’est désormais branle-bas de combat.
Avec son communiqué de presse nocturne, le Président Poutine prend la main en proposant une réunion à Istanbul le 15 mai, c’est déjà jeudi.
Le toxico, vulgaire et arrogant déclare qu’il « attendrait » le Président Poutine à Istanbul et le psychopathe de l’Élysée déclare soudain, ignoré de tous qu’il est, que c’est « un pas dans la bonne direction », comme si ce qu’il fait bruisser avait une quelconque importance; et ce que peuvent déclarer les autres dégénérés suite à cette magistrale performance de diplomatie de Vladimir Poutine me fatigue à relever.
En revanche, le Président Trump se réjouirait, lui, qui va bientôt se rendre en Arabie Saoudite, où il « attendait » son homologue Russe. Il en sera pour ses frais. Cependant, Steve Witkoff est envoyé d’urgence à Moscou pour on ne sait quelle proposition, quand celles de la Russie resteront inébranlables. Une chose est déjà acquise, l’Ukraine ne sera jamais membre de l’OTAN, quand la Führerin insiste pour nous la faire entrer en UERSS, alors que nous sommes tous fauchés et que l’Ukraine est à terre.
UN TRAITÉ DE PAIX, c’est ce que souhaite la Russie, où tous les détails seront énumérés et signés. Le Président Poutine s’est fait avoir 2 fois par les dégénérés Zelensky, Hollande et Merkel, on ne l’y reprendra pas une troisième fois. Du côté US, on ne parle plus de sanctions. J’imagine que le quatuor des tocards a dû baisser le son. Nous vivons une époque passionnante. Surtout lorsque nous avons la chance de relever les mensonges des pressetituées de l’Occident Collectif Dégénéré, qui colportent matin et soir comment la Russie est isolée, comment on va la mettre à genoux économiquement, en moins de deux, s’il vous plaît ! Comme c’est tragique !
http://en.kremlin.ru/events/president/news/76899
Communiqué de presse du Président de la Russie
Traduction : Sylvia Bourdon
Le président de la Fédération de Russie, M. Vladimir Poutine : Bonsoir, ou peut-être bonne nuit déjà. Je veux saluer tout le monde. Mesdames et messieurs. Chers collègues.
Permettez-moi de vous féliciter une fois de plus pour le Grand Jour de la Victoire! Merci à nos amis et partenaires étrangers qui ont été avec nous à Moscou ces jours-ci lors des célébrations de l’anniversaire pour se prosterner devant la génération des gagnants.
Nous honorons tous ceux qui ont contribué à la victoire commune sur le nazisme, y compris nos alliés dans la coalition anti-Hitler, les soldats chinois, les participants à la résistance antifasciste en Europe, les combattants des mouvements de libération populaire en Afrique, la région Asie-Pacifique, et des volontaires des pays d’Amérique latine.
Avec nos amis et des personnes qui nous ressemblent, nous partageons une mémoire commune et le respect de l’histoire, acte héroïque de vrais héros qui se sont battus pour la liberté, et, bien sûr, notre responsabilité pour l’avenir, pour la construction d’un monde plus juste et plus sûr. Les questions qui touchent directement le développement stable et durable de l’ensemble de la communauté mondiale – l’Eurasie et d’autres régions du monde – ont été au centre des réunions bilatérales et multilatérales tenues à Moscou.
Bien sûr, ils se sont tenus dans une atmosphère spéciale, solennelle et festive, mais en même temps ils étaient extrêmement riches et instructifs, remplis de sujets de l’agenda politique, économique et humanitaire.
En résumé, et c’est exactement ce que j’aimerais faire maintenant, je dirais qu’en quatre jours, du 7 au 10 mai, nous avons reçu des visites officielles de dirigeants de trois États étrangers : la République populaire de Chine, la République bolivarienne du Venezuela et la République socialiste du Vietnam. En outre, 20 réunions bilatérales ont eu lieu avec les chefs des pays de la CEI, d’Asie, d’Afrique, du Moyen-Orient, d’Europe et d’Amérique latine. Au total, 27 chefs d’Etat de la CEI, d’Asie, d’Afrique, du Moyen-Orient, d’Europe, d’Amérique latine, ainsi qu’une dizaine de chefs d’organisations internationales ont participé aux célébrations. Six autres pays étaient représentés à un niveau élevé.
Nous voyons une preuve inspirante de consolidation véritable autour des idées et des valeurs durables de notre grande victoire commune dans une participation aussi large de délégations de pays étrangers et d’organisations internationales. Nous sommes reconnaissants aux dirigeants des 13 États qui ont envoyé des unités des forces armées nationales pour participer au défilé sur la Place Rouge. Leur marche épaule contre épaule avec nos unités cérémonielles a rempli la fête commune d’une énergie particulière et de l’esprit de fraternité militaire, tempéré pendant la Seconde Guerre mondiale.
J’ai eu le plaisir de remercier personnellement les dirigeants militaires de l’Armée populaire coréenne et de transmettre mes paroles les plus chaleureuses aux soldats et commandants des unités des forces spéciales de la République populaire démocratique de Corée qui, conjointement avec nos militaires, Professionnellement, et je tiens à le souligner, ont fidèlement exécuté leurs missions lors de la libération des zones frontalières de la région de Koursk des forces du régime de Kiev. Je tiens à souligner qu’ils ont fait preuve de courage et d’héroïsme, ont agi – je le répète – professionnellement, au plus haut niveau, ont fait preuve d’une bonne formation et d’une bonne préparation. Et bien sûr, c’était un honneur particulier pour tous les dirigeants de l’État de saluer sur les tribunes les principaux héros de l’anniversaire de la victoire – des vétérans de la Seconde Guerre mondiale de Russie, d’Israël, d’Arménie et de Mongolie.
Je tiens à souligner que, malgré les menaces, le chantage et les obstacles causés, y compris la fermeture de l’espace aérien, les dirigeants de plusieurs pays européens – la Serbie, la Slovaquie, la Bosnie-Herzégovine – sont venus à Moscou. Je tiens à réitérer : nous comprenons les pressions massives qu’ils ont subies, et par conséquent nous apprécions sincèrement leur courage politique, leur position morale ferme, leur décision de partager la fête avec nous, de rendre hommage à la mémoire des héros de la Grande Guerre patriotique, Seconde Guerre mondiale, qui ont combattu pour leur patrie et pour la délivrance de la peste brune du monde entier, de l’humanité entière sans aucune exagération. Il est important pour nous que des millions d’Européens, dirigeants d’États qui poursuivent des politiques souveraines, se souviennent de cela. Cela nous donne de l’optimisme et l’espoir que tôt ou tard, sur la base des leçons de l’histoire et de l’opinion de nos peuples, nous commencerons à rétablir des relations constructives avec les États européens. Y compris ceux qui aujourd’hui encore n’abandonnent pas la rhétorique anti-russe et les actions clairement agressives contre nous. Ils essaient encore – on le voit bien ces jours-ci – de nous parler, en fait, d’une manière grossière et par ultimatum.
Notre partenariat global et notre interaction stratégique avec la République populaire de Chine peuvent servir d’exemple authentique des relations égalitaires modernes du XXIe siècle. Le président chinois Xi Jinping était l’invité principal des célébrations marquant le 80e anniversaire de la Grande Victoire.
Nous avons eu des négociations exceptionnellement fructueuses, nous avons adopté deux déclarations communes au niveau des chefs d’État et nous avons signé un certain nombre d’accords intergouvernementaux et interministériels couvrant des domaines tels que l’énergie, le commerce, les finances, la science, la culture et bien plus encore. Comme je l’ai déjà dit, il a été convenu qu’en septembre j’effectuerai une visite officielle de retour en Chine pour les célébrations marquant le 80e anniversaire de la victoire sur le Japon militariste.
Il est profondément symbolique et naturel que le principal, en fait, les principaux événements commémoratifs liés au 80e anniversaire de la fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe et en Asie se tiendront à Moscou et à Pékin – dans les capitales des États dont les peuples ont traversé les épreuves les plus difficiles et payé le prix le plus élevé pour la victoire commune.
Chers collègues, je pense qu’il est évident pour tout le monde que les pourparlers et les réunions tenues à Moscou ont également abordé la question de la résolution du conflit en Ukraine. Nous sommes reconnaissants à tous nos invités, nos amis, de l’attention qu’ils portent à ce conflit et des efforts qu’ils déploient pour y mettre fin. A cet égard, je crois qu’il est nécessaire d’approfondir ce sujet séparément.
Donc, je veux dire que, comme on le sait, la Russie a proposé des initiatives de cessez-le-feu à plusieurs reprises, ces initiatives ont été sabotés à plusieurs reprises par l’Ukraine. Par exemple, le régime de Kiev a violé à 130 reprises le moratoire de 30 jours, du 18 mars au 17 avril, sur les grèves contre les installations énergétiques, conformément à notre accord avec le président américain Donald Trump. La trêve de Pâques initiée par la Russie n’a pas non plus été respectée : le régime du cessez-le-feu a été violé près de 5000 fois par les forces ukrainiennes. Néanmoins, pour la célébration du Jour de la Victoire – et nous considérons que c’est une fête sacrée pour nous aussi, imaginez que nous avons perdu 27 millions de personnes – nous avons déclaré un cessez-le-feu pour la troisième fois lors de cette fête, qui nous est sacrée. D’ailleurs, nous avons communiqué à ceux de nos collègues de l’Ouest qui, à mon avis, cherchent sincèrement des moyens de règlement, notre position sur cette question, sur un cessez-le-feu le jour de la victoire, et qu’à l’avenir nous n’excluons pas la possibilité de prolonger les termes de cette trêve – mais, bien sûr, après avoir analysé ce qui va se passer dans ces quelques jours, en fonction des résultats de la réaction du régime de Kiev à notre proposition.
Et qu’est-ce que nous voyons? Quels sont ces résultats? Les autorités de Kiev, comme vous pouvez le voir par vous-même, n’ont pas du tout répondu à notre proposition de cessez-le-feu. De plus, après l’annonce de notre proposition – et cela s’est produit, vous vous en souvenez, le 5 mai – les autorités de Kiev ont lancé des attaques à grande échelle dans les premières heures du 7 mai. Pas moins de 524 véhicules aériens sans pilote et un certain nombre de missiles occidentaux ont participé à la frappe, et 45 bateaux sans pilote ont été utilisés simultanément dans la mer Noire.
En fait, durant ces trois jours de cessez-le-feu que nous avons annoncés – les 8, 9 et 10 mai – ce qui s’est passé était aussi ce que vous avez vu dans les médias, en fait, à partir de vos rapports, c’était clair : pendant cette période, cinq tentatives ciblées ont été faites pour attaquer la frontière de la Fédération de Russie dans la région de Koursk et à la jonction avec la région de Belgorod, précisément pendant les jours du cessez-le-feu que nous avons annoncés. En outre, 36 autres attaques ont été menées dans d’autres régions. Toutes ces attaques, y compris les tentatives d’entrer sur le territoire de la Fédération de Russie dans la région de Koursk et la région de Belgorod, ont été repoussées. De plus, nos experts militaires estiment qu’elles n’avaient aucune signification militaire, ont été menées uniquement pour des raisons politiques et l’ennemi a subi de très lourdes pertes.
Comme je l’ai déjà dit, les autorités de Kiev ont non seulement refusé notre proposition de cessez-le-feu, mais aussi, comme nous l’avons tous vu, ont tenté d’intimider les dirigeants des États qui se sont rassemblés pour les célébrations à Moscou. Vous savez, quand j’ai rencontré des collègues ici à Moscou, une pensée m’est venue. Je vais vous le dire : qui essayaient-ils d’intimider parmi ceux qui sont venus à Moscou pour célébrer la victoire sur l’Allemagne nazie? Qui essayaient-ils d’effrayer? Ceux qui sont venus à nous ne sont pas des leaders par position ou poste, ils sont des leaders par caractère, par leurs croyances et leur volonté de défendre leurs croyances. Et qui essayait de les intimider? Ceux qui se tiennent à l’attention et saluent, applaudissent d’anciens soldats SS? Et élève ceux qui ont collaboré avec Hitler pendant la Seconde Guerre mondiale au rang de héros nationaux? Il me semble que c’est une tentative avec des moyens manifestement inadaptés et ceux qui essaient de le faire ne correspondent pas à l’échelle qu’ils attendent eux-mêmes.
Je le répète : nous avons proposé à maintes reprises des mesures en vue d’un cessez-le-feu. Nous n’avons jamais refusé de dialoguer avec la partie ukrainienne. Permettez-moi de vous rappeler encore une fois que ce n’est pas nous qui avons interrompu les négociations en 2022; c’était la partie ukrainienne. À cet égard, nous proposons malgré tout que les autorités de Kiev reprennent les négociations qu’elles avaient interrompues fin 2022 et reprennent les pourparlers directs. Et, je le souligne, sans aucune condition préalable.
Nous suggérons de commencer sans délai le jeudi 15 mai prochain à Istanbul, où ils ont été tenus plus tôt et où ils ont été interrompus. Comme vous le savez, les collègues turcs ont offert à plusieurs reprises leurs services pour organiser de telles discussions et le président Erdogan a fait beaucoup pour les organiser. Je me souviens qu’à la suite de ces pourparlers, un projet commun a été préparé et paraphé par le chef du groupe de négociation de Kiev, mais que sur l’insistance de l’Occident, il a simplement été jeté dans le panier.
Demain nous allons avoir une conversation avec le président de la Turquie, Monsieur Erdogan. Je voudrais lui demander de nous donner l’occasion de tenir des pourparlers en Türkiye. J’espère qu’il confirmera sa volonté de contribuer à la recherche de la paix en Ukraine.
Nous sommes engagés dans des négociations sérieuses avec l’Ukraine. Leur objectif est d’éliminer les causes profondes du conflit et de parvenir à une paix durable dans une perspective historique. Nous n’excluons pas qu’au cours de ces négociations, il sera possible de convenir d’une nouvelle trêve et d’un nouveau cessez-le-feu. Et un véritable cessez-le-feu qui serait observé non seulement par la Russie, mais aussi par la partie ukrainienne et serait le premier pas, je le répète, vers une paix durable à long terme, plutôt qu’un prélude à la poursuite du conflit armé après que les forces armées ukrainiennes ont été réarmées, re-équipées, des tranchées restaurées. Qui a besoin d’une telle paix?
Notre proposition est, comme on dit, sur la table. La décision revient maintenant aux autorités ukrainiennes et à leurs superviseurs, qui semblent être guidés par leurs ambitions politiques personnelles plutôt que par les intérêts de leur peuple, veulent poursuivre la guerre contre la Russie entre les mains des nationalistes ukrainiens.
Permettez-moi de le répéter : la Russie est prête pour des pourparlers sans aucune condition préalable. Il y a des actions de combat et de guerre en cours actuellement, et nous proposons de reprendre les négociations qui n’ont pas été interrompues par nous. Eh bien, qu’est-ce qui ne va pas? Ceux qui veulent vraiment la paix ne peuvent que l’appuyer. En même temps, je tiens à exprimer une fois de plus ma gratitude pour les services de médiation et les efforts visant à un règlement pacifique de la crise ukrainienne entrepris par nos partenaires étrangers, y compris la Chine, le Brésil, les pays africains, le Moyen-Orient, et récemment la nouvelle administration des États-Unis d’Amérique.
En conclusion, je tiens à remercier encore une fois tous ceux qui ont partagé avec nous les célébrations festives dédiées au 80e anniversaire de la victoire sur le nazisme. Je suis certain que l’esprit de solidarité et d’harmonie qui nous a unis à Moscou ces jours-ci continuera à nous aider à construire une coopération et un partenariat fructueux au nom du progrès, de la sécurité et de la paix.
Je voudrais également profiter de l’occasion pour souligner le rôle considérable des journalistes, des représentants des agences internationales d’information, des chaînes de télévision et de la presse qui ont couvert les événements de l’anniversaire et le programme de plusieurs heures des négociations et réunions de travail en cours. Beaucoup a été fait pour s’assurer que les gens dans différents pays du monde vivent l’atmosphère unique des vacances actuelles à Moscou. Bien sûr, je vous remercie également de cette rencontre, car elle se tient assez tard et, bien sûr, tout le monde est déjà fatigué.
Je vous remercie beaucoup de votre attention, car il est presque une heure et demie du matin, ou même plus tard qu’une heure et demie à Moscou, que Dieu soit avec vous.
Merci beaucoup de votre attention. Au revoir.
Vladimir Poutine
Sylvia Bourdon, au soir du 11 mai 2021
Post-Scriptum : commentaire de Trump
Traduction google
Poutine, le résident de Russie, ne souhaite pas d’accord de cessez-le-feu avec l’Ukraine, mais souhaite plutôt une rencontre jeudi, en Turquie, pour négocier une éventuelle fin du BAIN DE SANG. L’Ukraine devrait accepter cela, IMMÉDIATEMENT. Au moins, elle pourra déterminer si un accord est possible ou non, et si ce n’est pas le cas, les dirigeants européens et les États-Unis sauront où en sont les choses et pourront agir en conséquence ! Je commence à douter que l’Ukraine parvienne à un accord avec Poutine, trop occupé à célébrer la victoire de la Seconde Guerre mondiale, qui n’aurait pas pu être gagnée (même de justesse !) sans les États-Unis d’Amérique. ORGANISEZ LA RENCONTRE, MAINTENANT !
https://truthsocial.com/@realDonaldTrump/posts/114490093180275292
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Cette réunion de cheffaillons europeistes menaçant la deuxième plus grande armée et la première avec ses alliés à juste servi à allumer un contre feu de la cérémonie de la RUSSIE du 9 Mai pour les 80 ans de la victoire contre l’Allemagne ils leurs fallaient bloquer les caméras sur eux au maximum des agissements de caniveaux 🥴
Ces 4 dirigeants européens font partie de la nomenclatura européiste pour vouloir donner à l’Union Européenne le statut d’impérialiste cherchant à conquérir de nouveaux territoires, d’avoir une influence sur eux. Ici c’est l’Ukraine que l’UE veut acquérir comme territoire conquis, car c’est le grenier à cérales de l’Europe. Macron est un des fers de lance, et après la présidence de Biden, Macron s’auto désigne le Biden Européen pour vouloir continuer ce que Biden a commencé, vouloir avoir le contrôle sur l’Ukraine, y placer des bases militaires européenne, pour être une menace permanente contre la Russie, en sorte mener une guerre froide contre les Russes au nom de l’UE. D’ailleurs il se mêle de tout ce qui concerne l’Ukraine, s’imposant même dès que Zelensky discute avec d’autres dirigeants. Macron a endossé le rôle de mener de guerre froide contre les Russes, alors que la France est un pays à la dérive, il s’en fiche de la France, il agit pour son prochain poste.
Belle analyse que je partage totalement 👌
A chaque fois, la première chose que dit Macron dès qu’il parle de l’Ukraine, c’est que ce sont les Russes les agresseurs, comme pour marteler cette croyance dans l’esprit des français, qui pour moi n’est que propagandiste. En clair il prend les français pour des abrutis. Les russes ont envahi l’Ukraine après 8 ans d’agressions des néo-nazis ukrainiens depuis 2014 envers les ukrainiens russophiles, et l’ingérence des américains de Biden qui voulaient en profiter pour installer leurs bases militaires en Ukraine pour pointer leurs missiles contre la Russie. Les USA ont depuis 1946 agressé les Russes pour réduire leur influence sur l’Europe, et gagner l’influence sur l’Ukraine, la dernière marche pour être directement à la frontière russe. Les Russes ne font que se défendre depuis 2014 contre l’Ukraine néo-nazie et les Américains, et aujourd’hui contre l’UE ayant pris le relai des USA de Biden. Et Macron engage depuis 3 ans la France et l’UE se plaçant aux côtés des militaires néo-nazis ukrainiens. La Honte totale. Merci aux russes de nous avoir sauvé du nazisme et de continuer à nous en protéger.