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Le concept déraisonnable de sacrifier tout le contenu d’un seau d’eau pour remplir une petite coupe…
Combien de vies de soldats et de civils Israël doit-il sacrifier pour sauver des otages, lorsque tous, d’une même voix, déclarent que sauver une vie est une loi sacrée du Judaïsme ?
Réveillez-vous mes frères, cela est aussi valable pour les vies de nos soldats… Ou alors où est l’exacte équation ?
La vie de nos soldats est tout aussi sacrée et certes encore plus que celle de tout quidam en danger, puisqu’ils se battent pour défendre toute une nation, leur patrie et son patrimoine.
Revenons au sujet crucial qui inflige au gouvernement israélien d’accepter une défaite pour sauver des otages…
En vérité, la gauche politique aspire et œuvre sans relâche, au suicide d’Israël, brandissant cette fois-ci, l’étendard de Ronen Bar, le chef du Chin Bet et de Gali Baharav-Miara, procureur général. Tous deux ont échoué dans leurs fonctions sécuritaires.
Nous touchons ici l’absurde.
L’incompréhensible obstination de Ronen Bar – homme politique, né le 24 décembre 1965, Iraélien spécialiste du renseignement, directeur du Shin Bet – le service de renseignement intérieur israélien – depuis octobre 2021, nous révèle une absence abyssale de professionnalisme, d’objectivité, d’intelligence, de cohérence et de conscience.
Tous ceux qui observent, écoutent ses postulats en ces jours critiques de guerre contre le Hamas, se demandent comment il est parvenu à obtenir ses degrés : Ronen Bar est diplômé de science politique et de philosophie à l’université de Tel Aviv, avant de décrocher un master en administration politique à Harvard.
Il devient clair que Ronen Bar est infortunément doté d’un quotient intellectuel très bas sinon nul, s’il s’évertue à embobiner tout le peuple d’Israël, en lui faisant croire que l’attaque du 7 octobre ne dérive que d’une malencontreuse faille et non d’un complot prémédité.
L’élément principal que les informations omettent sciemment de reporter, est son affiliation tacite à la « Conceptia », cette même conception qui milite pour la création d’un État palestinien, pour l’irréalisable vivre-ensemble arabo-israélien et pour le découpage mortel de l’État israélien déjà amputé des deux-tiers de sa superficie, en faveur des Arabes de Palestine. Ce qui apparemment le mena pas à pas à guider le gouvernement israélien vers l’attaque horrible du 7 octobre 2023.
Peut-il ou a-t-il le droit de se défaire, avec une désinvolture si téméraire de sa responsabilité dans l’échec de tout le rouage du renseignement ?
Croire que le Shin Bet ignorait ce qui se tramait derrière la barrière séparant la Bande de Gaza aux villes et villages du sud israélien, c’est prendre des vessies pour des lanternes, c’est être complètement aveugle ou vouloir sciemment jeter du sable aux yeux des israéliens pour dissimuler la fermentation d’un complot qui incluait tous ces fervents adeptes du « tout sauf Bibi ».
Cela est facilement reconnaissable par les petites injections de Ronen Bar, durant les mois précédant l’attaque, comme : Le Hamas est battu à plate couture, il ne sera jamais une menace réelle pour Israël. Il faut aider les palestiniens financièrement en ouvrant les portes aux ouvriers de Gaza pour qu’ils viennent travailler en Israël – et simultanément, leur permettre de glaner des informations importantes pour l’ennemi insoupçonné sous la voûte bienfaitrice des services secrets israéliens ?
Comment a-t-il conseillé au gouvernement de permettre au Qatar de déverser des valises de dollars aux Gazaouïs ? Générosité incongrue venant d’un ennemi de vieille date. Comment les services secrets n’avaient-ils pas soupçonné la formation d’un métro souterrain – véritable fromage gruyère sous les pieds, alors que c’était même Israël qui fournissait des tonnes de ciment et de fer aux terroristes de Gaza ?
Mais cela se profilait déjà dès son arrivée au Shin Bet :
« Deux jours après sa prise de fonctions, il affirme vouloir travailler et coopérer avec l’Autorité palestinienne et se dit préoccupé par l’augmentation des meurtres au sein de la population arabe israélienne. En 2022, la revue Intelligence Online pointe les divisions au sein du Shin Bet, dirigé par Ronen Bar, notamment sur la question de la colonisation israélienne en Cisjordanie – Judée et Samarie. Il incarne un discours de fermeté à l’égard des colons israéliens, s’inquiétant des « menaces que font peser sur l’État d’Israël leurs actions »
L’ennemi principal serait donc l’Israélien qui remplit le rôle de pare-chocs, zone tampon contre l’invasion persistante des arabes en Judée et Samarie.
Monsieur Ronen Bar non seulement aurait dû démissionner au lendemain de l’attaque du 7 octobre 2023, au lieu de s’agripper aux jupes des juges de la Cour Suprême, mais devrait aussi être traîné en justice pour ses crimes, au lieu de se cramponner à son siège au Shin Bet et tenter inlassablement de porter atteinte non seulement à Netanyahu, son Premier ministre, mais aussi, et en particulier à tout l’État juif d’Israël.
Thérèse Zrihen-Dvir
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