Le Bayrou fait toujours de la peine quand on l’entend parler.
En visite mercredi en Isère, où il était censé parler des problèmes des prisons et des agents pénitentiaires, il a surtout parlé de sa fille.
En parlant, il donne l’impression d’être un tracteur en difficulté en essayant de gravir une pente.
On voudrait pouvoir venir à son secours pour le pousser.
Ou appeler les agriculteurs des environs à aider le Bayrou avec leurs bœufs.
Imaginez le François (le Bayrou, pas le pape), tiré par des bœufs…
Il ferait des jaloux parmi les Macron, Darmanin, Retailleau et le reste.
Sa popularité monterait en flèche auprès des Français. C’est un homme du peuple, diraient-ils.
Mais chuterait auprès des bœufs. C’est un vrai couillon ce type, penseraient-ils.
Qui, des Français ou des bœufs, voit juste ?
Messin’Issa
40 total views, 40 views today
Parfaitement décrit Messin’, c’est ce que j’ai ressenti hier soir quand il tentait de s’exprimer sur le collège Averroès.