J’ai découvert ce week-end Marc-Edouard Nabe, interrogé par Eric Morillot, et cela m’a donné envie de faire des recherches sur le personnage, qui incarne tout ce que je déteste.
J’ai alors découvert une émission incroyable, chez Bernard Pivot, en 1985, où le gars était invité. C’est inimaginable ce qu’on pouvait dire, à l’époque, sur un plateau de télévision. Il est vrai qu’il n’y avait pas l’Arcom, ni la dictature de l’antiracisme…
Mais je préfère un pays où la pire pourriture, comme Marc-Edouard Nabe, peut s’exprimer qu’un pays où on ne peut plus rien dire. Je préfère, comme disait Sarkozy, un excès de liberté à un excès de censure.
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Un pays où on ne peut plus dire à un flic que sa gueule ne nous revient pas sans risquer d’être accusé d’outrage n’est pas un pays libre.