Lors de la visite du ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, le 7 à Alger, deux annonces notables ont été faites, renforçant les espoirs de l’Algérie quant à la coopération judiciaire entre les deux pays.
Selon El Watan, la question des fonds détournés, souvent désignée sous le terme « biens mal acquis », est au cœur des discussions entre l’Algérie et la France. Après une période marquée par une crise diplomatique, les deux nations ont exprimé leur volonté de relancer la coopération judiciaire.
Jean-Noël Barrot a révélé que son collègue français, Gérald Darmanin, devrait prochainement se rendre en Algérie pour discuter des modalités pratiques de cette collaboration.
L’une des décisions les plus attendues concerne la création d’un lien direct avec le Parquet financier français. Cet engagement pourrait marquer une avancée significative dans le traitement des demandes de restitution de fonds illégalement transférés à l’étranger. Cependant, les détails exacts de cet accord n’ont pas encore été précisés.
L’Algérie a dénoncé l’inaction de la France
Malgré l’enthousiasme suscité par ces annonces, l’Algérie reste sceptique quant à l’efficacité de la coopération française. Le gouvernement algérien a, par le passé, dénoncé l’inaction de la France sur ce dossier. En mars dernier, Alger a fait état de son mécontentement face à la décision de la justice française de ne pas extrader l’ex-ministre Abdessalem Bouchoureb, condamné pour des affaires de corruption. Cette absence de coopération est considérée par les autorités algériennes comme un obstacle majeur à la récupération des fonds détournés.
Le gouvernement algérien a également souligné qu’il avait introduit 25 commissions rogatoires pour récupérer les biens transférés illégalement, mais que la France n’avait pas réagi de manière satisfaisante à ces demandes. Cette situation contraste avec la coopération plus fluide de certains autres pays européens, qui ont montré plus de réactivité dans ce domaine.
Vers une solution concrète ?
L’Algérie a déjà entrepris des démarches similaires auprès d’autres pays européens dans l’objectif de récupérer les fonds volés. Des demandes d’entraide judiciaire ont été adressées à plus de 30 nations, mais la France reste un acteur clé dans cette restitution. Les discussions actuelles entre Alger et Paris pourraient donc déterminer l’avenir de ce dossier.
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Rendez moi mon pays FRANCE MERDE !!!!!!!!!!!!!!!
Autrement dit, la France va faire un don puisque outre tout ce qu’on leur a laissé après notre départ, elle ne compte pas les centaines de milliards injectés depuis 1962 sous formes d’aides au développement, d’ardoises effacées d’année en année, de prêts jamais remboursés et probablement de dessous de table non comptabilisés pour acheter un simulacre de paix qui n’a jamais existé soit l’équivalent du vivre-ensemble en pognon.
La France championne du monde de léchage de babouches et de pantalons baissés. On est dirigé par un pignouf sans envergure minable, lâche et corrompu. Il est entouré de sinistres crétins bien choisi pour leur incompétence aussi minable que lui. Avec ÇA on a pas le cul sorti des ronces.
L’ancien ministre algérien contre Sansal, et les oqtf contre les biens mal acquis..
Bon deal non ?
Tant que l’Algérie ne reprend pas -sans conditions- ses ressortissants qui commettent crimes et délits sur le sol français, il ne peut pas y avoir de discussion.
Commençons par leur restituer toute cette vermine qui encrasse la France.
Que leurs pondeuses mettent réellement les voiles et bon vent comme on dit dans la Marine !
Bien dit, bon vent, la paille au cul et le feu dedans.
Darmanin va aller faire un p’tit coucou à sa famille à nos frais…
Ah! Les enculés ! C’est tout ce qui me vient à l’esprit.