Nous y voilà… à force de se faire plumer allègrement, les Français connaissent des fins de mois de plus en plus tendues mais ils en demandent encore !
Pour la gabegie des aides sociales, pour la guerre absurde contre la Russie, contre la peine de mort, contre la déchéance de la nationalité, pour l’entretien en prison de toute la pègre et toute la racaille qui a fait du contribuable son esclave… tout cela a un coût !
Partout en France, le restaurant, le vrai, le gastronomique voire l’étoilé devient définitivement hors de portée de la plupart des gens. Il est vrai que d’aucuns aiment la malbouffe et n’ayant jamais vraiment eu l’opportunité ou l’envie d’éduquer leur goût, se contentent de peu.
Les couillons n’ont plus qu’à manger du bouillon.
La recette fonctionne à merveille. Pour quelques euros, un semblant de repas leur évitera d’avoir le ventre vide.
Au lieu d’aller boire leur bouillon, tous ces gens devraient être devant la préfecture à midi à manifester un sandwich à la main pour protester contre ce que Macron fait de la France… ils auraient sans doute tôt fait d’être dispersés à coup de flashball… alors buvez votre bouillon, vous qui ne bouillonnez guère lors des élections… puisque vous ne bouillonnez pas de colère, allez bouffer votre soupe au chou…
Allez donc boire votre bouillon Français qui acceptez toujours davantage cet avilissement permanent au service de la préférence étrangère… c’est de pire en pire mais vous, mais nous, n’avons pas fini de choir !
Et quand il n’y aura plus que de la flotte dans votre soupe, vous serez bons à manger les pissenlits par la racine, puisqu’on voit que votre goût pour la servitude volontaire est sans limite…
Enfin, le plus intéressant dans tout cela est de voir que toute la presse locale en France ces derniers jours, en particulier le 8 avril, propose un article sur un « restaurant bouillon » qui s’apprête à ouvrir dans les parages.
C’est dire qu’il s’agit de faire passer pour un phénomène de mode ce qui n’est finalement qu’un pis-aller.
Le concept a essaimé, on peut penser que les investisseurs en tous genres ont été conseillés en ce sens… investir dans un « bouillon » pour tirer profit de la crise…
Ce concert médiatique vantant les mérites des « bouillons » inaugure une nouvelle ère où les gens qui n’aiment pas les « fast food » façon Macdonald ou Quick se rabattent sur de la soupe…
Tous les articles ci-dessous datent du 7 ou 8 avril, quelle coïncidence… surtout quand on sait que les différents torchons locaux appartiennent en général à un grand groupe entre les mains de tel ou tel puissant…
Il n’y a pas de hasard non plus dans le fait que les restaurants proposent cette formule désormais. Peut-être cela leur a-t-il été suggéré par les chambres de métiers, les syndicats patronaux, ou la baisse de la fréquentation tout simplement… quand il faut survivre d’une manière ou d’une autre !
A l’instar des tables de Paris, ce restaurant de la Manche va proposer une formule Bouillon
Le Restaurant des Pins, à Jullouville (Manche), va proposer à ses clients une formule Bouillon, à l’instar de ce qui se fait et cartonne à Paris. Voici comment en profiter.
On le sait : les Bouillons de Paris cartonnent ! Les clients adorent ces tables où l’on mange des recettes classiques et simples de la cuisine française, à des tarifs attractifs.
Ouvert récemment sur la place du Capitole, à Toulouse, le Bouillon Capitole attire les foules avec ses plats généreux, ses prix imbattables et son ambiance sans chichis. Inspiré du modèle parisien, le restaurant renoue avec l’esprit populaire du bouillon d’antan. Hugo Monteils, ex-Mr Georges, déjà propriétaire d’un bouillon à Lille, et Daniel Cabanel, propriétaire notamment du Parisien, gèrent ce nouvel établissement, qui fait déjà beaucoup parler de lui.
Un restaurant Bouillon ouvre dans le centre-ville de Nantes ce mardi
L’ouverture du Bouillon Gloriette, situé au 11, quai de la Fosse, à Nantes, est prévue mardi 8 avril.
Le restaurant latino-américain Loco Loca a fermé ses portes ce jeudi 3 avril, pour laisser place, dans quelques jours, au Bouillon Gloriette. | OUEST-FRANCE
Depuis deux semaines, le restaurant Chez Georges propose un bouillon à chaque service du midi. L’objectif : simplifier les plats et attirer de nouveaux clients avec des prix attractifs.
Il y a aussi une nouvelle mode, les petits troquets qui ne font que de la soupe. Il parait que ça marche du tonnerre à Paris, c’est pour les végans, il y a toutes sortes de soupes, et faites sur place avec des légumes frais.
Avant il y avait des restaurants ouvriers dans toutes les villes. On y mangeait comme à la maison, pour pas très cher. Ou les routiers. Mais il n’y a plus d’ouvriers et les seuls qui restent n’ont plus les moyens de dépenser 20€ tous les jours. Les tickets restos et les paniers repas ils se les gardent pour aller au restaurant en famille. Les ouvriers et les salariés font la queue dans les boulangeries le midi pour des formules repas où ils se font plumer. Mais entre 6 et 8 € ils se calent l’estomac avec des sandwichs et des paninis.
Rien à foutre, je cuisine moi-même , depuis la crise covid et le comportement malsain d’une grande majorité de ces lèche boites alimentaires, je n’y mets plus les pieds mais malgré tout je préfère et de loin, le retour à des repas, même simples, de chez nous, plutôt que ces immondes kebab et autres saloperies « fast foodienne ». On ne va toujours pas râler sur tout et pour rien, il y a toujours eu des pauvres et des riches donc, si ces établissements peuvent contenter des personnes pourquoi s’en plaindre? Je me souviens au début des années 70, certains laissaient 500F au portier du Negresco de Nice en pourboires! Déjà à l’époque un nombre considérable de gens n’avaient pas les moyens d’aller dans des restaurants gastronomiques étoilés ou non! Seul les nantis, les mêmes qui aujourd’hui sont les premiers qui roulent en SUV electrique ou en Tesla peuvent s’en pkaindre, comme ils se plaindront pendant le voyage vers leurs residence d’été, de ne pas trouver assez de bornes de recharges et de devoir attendre pour se reposer d’avoir dormi.
Et pour nos compatriotes en EHPAD, on sert le bouillon de onze heures, bientôt légalisé par la loi sur la fin de vie. J’en ai soupé de toutes ces conneries et saloperies . Je propose un nouveau concept de restaurant : un restaurant où on servirait les plats au lance-pierre et où l’addition serait un coup de fusil. Ah!On me dit que ça existe déjà.
Pour plaire et ne pas déplaire , le bouillon de poulet, remède miracle pour les malades et les convalescents ( nos agonisants seraient ‘ils des pauvres ). Vous noterez qu’un bouillon de poulet a tout sauf l’allure d’un bon bœuf bourguignon a vil prix servi dans un bouillon Chartier .
Il y a aussi une nouvelle mode, les petits troquets qui ne font que de la soupe.
Il parait que ça marche du tonnerre à Paris, c’est pour les végans, il y a toutes sortes de soupes, et faites sur place avec des légumes frais.
Certains ont dit » boire le bouillon de 11h »
Les Français boiront ainsi le bouillon 2 fois
Avant il y avait des restaurants ouvriers dans toutes les villes. On y mangeait comme à la maison, pour pas très cher. Ou les routiers. Mais il n’y a plus d’ouvriers et les seuls qui restent n’ont plus les moyens de dépenser 20€ tous les jours. Les tickets restos et les paniers repas ils se les gardent pour aller au restaurant en famille. Les ouvriers et les salariés font la queue dans les boulangeries le midi pour des formules repas où ils se font plumer. Mais entre 6 et 8 € ils se calent l’estomac avec des sandwichs et des paninis.
Il ya de plus en plus le bouillon de 11 h !
C’est tout le pays qui boit le bouillon, et depuis un bon moment déjà !
Rien à foutre, je cuisine moi-même , depuis la crise covid et le comportement malsain d’une grande majorité de ces lèche boites alimentaires, je n’y mets plus les pieds mais malgré tout je préfère et de loin, le retour à des repas, même simples, de chez nous, plutôt que ces immondes kebab et autres saloperies « fast foodienne ». On ne va toujours pas râler sur tout et pour rien, il y a toujours eu des pauvres et des riches donc, si ces établissements peuvent contenter des personnes pourquoi s’en plaindre? Je me souviens au début des années 70, certains laissaient 500F au portier du Negresco de Nice en pourboires! Déjà à l’époque un nombre considérable de gens n’avaient pas les moyens d’aller dans des restaurants gastronomiques étoilés ou non! Seul les nantis, les mêmes qui aujourd’hui sont les premiers qui roulent en SUV electrique ou en Tesla peuvent s’en pkaindre, comme ils se plaindront pendant le voyage vers leurs residence d’été, de ne pas trouver assez de bornes de recharges et de devoir attendre pour se reposer d’avoir dormi.
Et pour nos compatriotes en EHPAD, on sert le bouillon de onze heures, bientôt légalisé par la loi sur la fin de vie. J’en ai soupé de toutes ces conneries et saloperies . Je propose un nouveau concept de restaurant : un restaurant où on servirait les plats au lance-pierre et où l’addition serait un coup de fusil. Ah!On me dit que ça existe déjà.
Pour plaire et ne pas déplaire , le bouillon de poulet, remède
miracle pour les malades et les convalescents ( nos agonisants seraient ‘ils des pauvres ). Vous noterez qu’un bouillon de poulet a tout sauf l’allure d’un bon bœuf bourguignon a vil prix servi dans un bouillon Chartier .