Notre média a secoué le paysage en dénonçant le « business de l’immigration financé par vos impôts ». En dépit des menaces, insultes et poursuites judiciaires, notre succès ne cesse de croître, et nous restons fermement engagés dans notre mission d’investigation indépendante.
Depuis que nous avons osé mener notre enquête et dénoncer le « business de l’immigration financé par vos impôts », plusieurs tribunaux administratifs se sont insurgés. Cette réaction est le prix du succès : en seulement 18 mois, nous avons créé le « Mediapart de droite » que beaucoup attendaient. Pour cela, nous sommes insultés, menacés et poursuivis en justice. Cependant, notre équipe tient bon et notre développement est exponentiel. Nous enregistrons 100 millions de vues mensuelles sur les réseaux sociaux, des ventes exceptionnelles en kiosque qui font pâlir la presse subventionnée, et nous lançons prochainement notre plateforme de streaming, Frontières+, qui proposera des enquêtes en format documentaire, dont ma série sur les routes migratoires.
Nous ne sommes pas un média comme les autres, Monsieur Llorca. Nous sommes de droite et nous devons redoubler d’efforts face à une gauche hégémonique qui se croit tout permis. Nous ne parlons que de ce que nous connaissons et mettons un point d’honneur à nous rendre sur le terrain. Indépendants et sans crainte, nous abordons des sujets interdits que d’autres n’osent même pas effleurer.
Le rapport publié le 16 mars 2025 par la Fondation Frontières, un think tank proche du Parti socialiste et subventionné à hauteur de 1,3 million d’euros par an, est une attaque mensongère contre notre travail. Son auteur, Raphaël Llorca, membre de Destin Commun et financé par George Soros, qualifie notre média de « machine de guerre culturelle » et d’outil d’influence pour la droite identitaire. Ces accusations ne nous font pas reculer.
Lors des dernières élections municipales partielles de Villeneuve-Saint-Georges, nos révélations ont empêché l’élection du député LFI Louis Boyard, en exposant les islamistes de sa liste. Nous avons subi une campagne de dénigrement, mais nos révélations ont fini par forcer le PS à se désolidariser de Boyard. Ce dernier a même porté plainte contre moi et Cyril Hanouna pour avoir relayé notre enquête.
Depuis la publication de notre hors-série sur « les coupables de l’invasion migratoire », l’offensive contre notre média s’est intensifiée. Nous faisons face à une dizaine de plaintes, dont une déposée par le Conseil national des Barreaux, et des interventions de personnalités comme Gérald Darmanin et le Conseil d’État. Mais nous ne fléchissons pas.
À vous, chers lecteurs, je tiens à exprimer ma profonde gratitude pour votre soutien fidèle. Continuez à être à nos côtés, abonnez-vous si ce n’est pas encore fait et participez activement à notre travail d’investigation. Nous vivons dans un pays où la démocratie se meurt et il est plus qu’urgent d’agir en contre-pouvoir.
Bonne lecture !
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Un vrai media de droite, oh ! que ça les emmerde.
Leur dire leur quatre vérités, ça coince !
ça leur met le nez dans leur kk, ça dévoile leurs sales petites combines.
Eh ben , chapeau les mecs !
Et sans oublier les nanas, qui se font agresser à l’AN quand elles font leur boulot de journaliste.
Lutter contre cette bande chacals, demande du courage et de la persévérance.
👍🏻👍🏻👍🏻👍🏻👍🏻
Bravo et bon courage !
Je m’engage à vous faire vivre maintenant que je vous connais !!!
La gauche lfi Panot voulait interdire l’accès de l’assemblée nationale aux journalistes de Frontières et la vente du média frontiere.
Au sein de l’AN au kiosque a journaux.
Heureusement, braun pivert a envoyé la Panot sur les roses
Il est vrai qu’avec un gouvernement pareil, dont on ne sait s’il est de gauche, de droite où du centre, un patchwork de bric et de broc, avec un président qui tourne le dos à notre Histoire, qui flirte avec un pays ennemi, avoir un média vraiment de droite est rassurant.
Heureusement que la droite identitaire puisse s’exprimer