Etrange paradoxe, non ? Les gauchos ne veulent pas qu’on leur fasse ce qu’ils font à autrui… 

Depuis des années les gauchos/écolos/dingos nous imposent des textes, des exigences… au nom de « l’égalité », au nom du vivre ensemble… aux dépens de l’excellence et du savoir-faire. Les Américains en ont payé le prix, très cher, lors des incendies de Californie, avec des pompiers ne connaissant pas leur métier et des bornes à incendie sans eau, histoire de faire plaisir aux écolos-dingos.

En effet, quant on commence à engager des femmes ou des gens de la diversité non pas parce qu’ils ont les meilleurs diplômes, les meilleures formations, la meilleures capacité  de travail… mais parce qu’ils sont femmes, handicapés ou Noirs ou qu’ils votent « bien »... C’est la fin de la civilisation.  Ici il n’est plus question d’ordre ni de beauté, et encore moins de luxe, calme et volupté… Baudelaire s‘arracherait les cheveux.

Et l’on s’étonne ensuite que nos entreprises s’effondrent ! 

Et voilà que Trump, dans sa lancée et économique et de libération du wokisme, va jusqu’au bout. Il ne se contente pas de  rétablir des droits de douane pour protéger les siens,  il fait la même chose que les autres et ça se retourne contre eux. J’adore, c’est succulent, c’est hilarant, ça se savoure. Ne faites pas à autrui…. 

Et toc ! Voilà qu’en bon républicain avec une éthique, Trump décide de ne travailler qu’avec ceux qui ont une éthique équivalente à la sienne. 

Trump refuse donc de travailler avec des entreprises qui ne respectent pas la base de notre Constitution, à savoir l’égalité… (oui, vous avez bien lu, ce n’est pas Macron qui décide enfin d’appliquer notre constitution, non c’est Trump…)

Et qui dit égalité dit non à la priorité à la couleur de peau, au sexe, aux origines, au lieu de vie… j’en passe et des meilleures. Il est vrai qu’imposer cette règle dans un pays qui a dit béni-oui-oui à la dispense d’examen écrit pour entrer à sciences po quand on habite des territoires perdus de la République (modèle Laetitia Avia, la mordeuse de chauffeur de taxi). Ils appellent ça la discrimination positive… alors que ce n’est au contraire que de la discrimination pure et simple puisque l’on fait passer devant ceux qui bossent et sont brillants, peuvent rendre service à leurs pays, des gens qui n’ont d’autre qualité que d’être nés quelque part…  Dans le mauvais sens cette fois. Comme quoi les extrêmes se rejoignent quand le monde tourne à l’envers

Fin des programmes anti-discrimination : les États-Unis mettent la pression sur les entreprises françaises