Le soja tant vanté pour remplacer les protéines animales…
La consommation de soja, si prisée des végétariens, rendrait efféminé.
Cela ne m’étonne pas trop. Les hommes préhistoriques chassaient, les femmes préhistoriques s’occupaient de la cueillette.
Le fait de ne se nourrir que du fruit de la cueillette place dans le champ du féminin.
On ne peut pas réécrire l’homme, le déconstruire comme dirait Sandrine Rousseau… l’homme est le produit naturel d’une évolution naturelle.
Il aura fallu du temps en tout cas pour que les « autorités sanitaires » alertent au sujet du soja…
Et je m’interroge quant aux raisons que l’Anses a de s’inquiéter que les substances végétales comportent des hormones féminines. Serait-ce le désir d’envoyer les hommes de la Nation, après avoir voulu les rééduquer massivement et en faire des efféminés, à la guerre contre la Russie qui justifie qu’on demande d’arrêter d’ingérer des substances féminisantes ?
Aurait-on besoin de guerriers virils, de soldats féroces tout d’un coup ?
Après nous avoir fait culpabiliser à outrance pour avoir prétendument trop écrasé les femmes, victimes d’un « patriarcat », de « me too » etc. finalement les autorités auraient besoin que les hommes, les vrais, avec des poils et la capacité de crier comme une bête sauvage après l’ennemi reviennent pour aller défendre l’Ukraine ?
Je pense que certains sanguinaires n’ont jamais été très réceptifs au discours sur la consommation de la viande et la substituabilité du soja à la viande… j’imagine mal un djihadiste ne pas manger de viande par considération pour le bien-être animal…
Donc à mon avis, la guerre contre le soja rejoint la guerre contre la Russie, car il faudra des hommes français qui retrouvent quelques testostérones le temps d’aller verser leur sang pour Zelenski…
Et pour ceux qui auront survécu, une petite piquouse contre un hypothétique virus à leur retour pourrait permettre de les rendre dociles à nouveau.
Il ne faut plus servir d’aliments au soja dans les cantines, alertent les autorités sanitaires
L’Anses recommande de ne plus servir d’aliments à base de soja en restauration collective pour éviter une surconsommation d’isoflavones, des substances végétales proches des hormones féminines (oestrogènes). Ingérées en trop grande quantité, elles peuvent interférer avec le fonctionnement hormonal et donc, le système reproducteur.
Les aliments à base de soja -desserts, yaourts, lait, steaks végétaux, tofu et surtout biscuits apéritifs-, contiennent trop d’isoflavones, alerte l’Anses, qui recommande de ne pas en servir en restauration collective. L’agence sanitaire invite aussi « les acteurs de l’agroalimentaire à revoir les techniques de production et de transformation du soja », afin de réduire les teneurs en isoflavones de leurs produits, dans un avis publié lundi, sollicité par les ministères de l’Alimentation et de la Santé.
Potentiels effets indésirables sur le système reproducteur
Les isoflavones sont des phytoestrogènes, autrement dit des substances végétales proches des hormones féminines (oestrogènes) présentes dans les légumes secs, les légumes, et principalement le soja. Ils « peuvent interférer avec le fonctionnement hormonal physiologique, et donc conduire à des effets indésirables pour le système reproducteur », explique Aymeric Dopter, chef de l’unité d’évaluation des risques liés à la nutrition à l’Anses.
En attendant d’avoir des sojas moins riches en isoflavones, il faut lever le pied sur la consommation de ces produits.
« Le soja étant la principale source d’isoflavones, l’Anses recommande de ne pas servir d’aliments à base de soja en restauration collective pour éviter une surconsommation », des crèches aux écoles, collèges, lycées, aux restaurants d’entreprises, Ehpad, hôpitaux et cliniques, donc pour « toutes les catégories d’âge ».
« Il ne s’agit pas de jeter l’opprobre sur le soja en tant qu’aliment, mais plutôt sur les teneurs en isoflavones que les produits au soja contiennent actuellement », précise M. Dopter. « En attendant d’avoir des sojas moins riches en isoflavones, il faut lever le pied sur la consommation de ces produits », résume-t-il.
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Le soja…
Pour célébrer la journée mondiale de la procrastination, je vous en parlerai demain ou après-demain
n’empêche que la corée du nord a interdit l’islam me semble ou le contrôle tres fortement, et pas de pb d’immigration-nettoyage ethnique là bas comme chez nous, comme quoi
la virilité c’est aussi savoir ce qu’on veut, être déterminé, savoir se faire respecter, savoir se maitriser pour atteindre ses objectifs
Les haricots secs aussi? Quand je pense que c’était l’aliment favori des cowboys. Des lopettes ? Les mangeurs de cassoulet, des lopettes? Je consomme du soja depuis longtemps étant adepte de la cuisine asiatique, très saine contrairement à ce que l’on croit. Je n’ai pas constaté de gynécomastie chez moi. Par contre mes coucougnettes et le reste se sont développés. Comme quoi…
Le soja provoque l’hypothyroïdie. Baisse de l’intelligence, embonpoint, tristesse, sentiment d’impuissance morale. L’iode rétablit l’équilibre. L’iode en bonne quantité se trouve dans les algues d’eau salée (varech vésiculeux par exemple qui se vend séché en poudre en capsules) et en médicament de pharmacie.
Comment les asiatiques équilibrent leur diète = algues de mer, transformation genre fermentation du soja que j’ai oubliée qui neutralise les mauvais côtés.
Moi qui bouffe souvent des « amourettes » (appelées aussi « ris-de-veau blanc »), ma virilité ne risque rien, bien au contraire ! Et en plus, c’est délicieux. http://accrogourmandise.canalblog.com/archives/2010/07/26/18675741.html
C est vrai que tous les asiatiques sont efféminés
Déjà les samouraïs :de vrais lopettes bourrées de tofu
N y aurait il pas quelques lobbies la dessous ? Suivez mon regard
Donc les Chinois et autres pays asiatiques bouffeurs de soja depuis toujours ne seraient donc que des chochottes à moitié émasculées et efféminés ? Ce monde est devenu complètement fou.
Ils ont souvent de petits sexes en effet par rapport aux occidentaux et surtout aux africains qui chassent beaucoup… C’est désormais prouvé scientifiquement.
Ce midi chez nous : steak tartare.
Si ça se trouve ma blonde va se masculiniser…
Oui, cela se sait depuis des centaines d’années déjà. C’est un alimennt oestrogène like, cad favorise la fabrication d’oestrogènes +++, c’est à dire les hormones des femmes. Les femmes vietnamiennes donnent du tofu aux hommes pour calmer leur ardeurs sexuelles, car affaibli la testostérone s’il y a trop d’ooestrogènes… Les naturopathes vous diront de ne pas donner de soja aux enfants, car cela dérègle leur puberté à venir.. Evidemment cela donne plus de force aux femmes, et peut-être conseillé à la ménopause. D’ailleurs la chinie issue du pétrole ou de ses dérivés, c’est pareil, c’est hautement oestrogène like, c’est pourquoi la population se fénimine les 50 dernières années, les hommmes sont aujourd’hui sensibles aux émotions comme les femmes, ce qui n’existait pas il y 100 ans. Les enfants sont plus grands que les parents, grâce à l’effet oestroègne like de la chinie qui est partout. Cela explique une cause de chute de la fertilité masculine.
Pour résumer, le soja est fortement déconseillé aux hommes, aux enfants et ados aussi. Il peut être conseillé s’il y a un taux faible avéré en oestrogènes pour les femmes, notamment à la ménopause, c’est une mauvais apport en protéines car a un effet important sur les hormones.
Autre considération pour ne pas manger de soja:
Il a été un des premiers produits à être OGM, et comme les pollinisations sont contaminantes, depuis le temps, on peut raisonnablement supposer que tout le soja est transgénique.
Bof, habitant près du Puy, je ne vois aucune raison de manger du soja cultivé on ne sait où, quand on a des bonnes vieilles lentilles.
Gérard
« La guerre contre le soja rejoint celle contre la russie » on ne va quand même pas pousser le bouchon jusque là, le soja a une action « supposée » sur la reproduction, mais pas spécifiquement sur la masculinité. Les Walkyries et les homosexuels grecs dans les armées, ne les ont pas empêché d’être de farouches combattants.
TRès juste, Le Chti l’antiquité gréco-romaine a pratiqué largement l’homosexualité et Dieu sait que c’était des guerriers couillus.
Etre homosexuel est une orientation sexuelle mais ne signifie pas que ceux qui la pratiquent ne ressemblent plus à des hommes physiquement. Les homos musclés, ça existe.
C’est vrai Carole, mais on parle d’efféminé et il y en a aussi chez les homosexuels, les poils ou les muscles hypertrophiés n’ont rien à voir avec la force physique, les « body bulders » utilisent des hormones similaires à ce que l’ on donnait aux boeufs, il y a quelques années et interdites aujourd’hui. C’est la densité des muscles qui compte. Bonne journée