L’OMS et le G20 ne comprennent rien à la médecine et sont totalement ignorants de l’histoire de la médecine.
Les maladies infectieuses ne sont plus le problème de santé aujourd’hui. Surtout les progrès de l’hygiène et une meilleure alimentation et qu’accessoirement les progrès de la médecine dont la découverte des antibiotiques les ont fait bien perdre leur importance et leur mortalité. Nous ne sommes plus l’époque où les Parisiens, qui en avaient les moyens, ne buvaient que du vin parce que toute leur eau était polluée.
Le problème aujourd’hui c’est l’augmentation des maladies chroniques, comme l’ont fort bien compris Robert Kennedy Jr et Donal Trump. L’OMS incompétente et ignorante fixe des priorités aberrantes. Il faut supprimer l’OMS et surtout ne plus donner de l’argent à ses incompétents corrompus. Les « expert » du G20 sont également des ignorants soumis au WEF, Big Pharma, etc.
Dominique Schwander
L’OMS et le G20 exagèrent le risque et l’impact économique des épidémies
L’OMS et un groupe d’experts du G20 utilisent des modèles de mauvaise qualité pour évaluer le risque de maladies infectieuses et les besoins financiers nécessaires pour y faire face.
Les agences internationales de santé ont alerté sur le fait que le risque de pandémies futures est en forte augmentation.
Nous devrions nous préparer à une prochaine pandémie parce que des scientifiques affirment que des pandémies bien plus graves se profilent à l’horizon. La grippe aviaire ferait actuellement l’objet de nombreux rapports préoccupants,
Autrefois considérées comme un événement unique, les grandes pandémies surviendraient dorénavant tous les 20 à 40 ans.
Les autorités mondiales considèrent qu’il s’agit d’une menace existentielle et ont appelé à une réponse internationale coordonnée sous l’égide de l’Organisation mondiale de la santé (OMS)… (!) mais tout le monde n’est pas d’accord avec ce scénario.
Des chercheurs de l’Université de Leeds, dont des experts en la matière, le Professeur Garrett Brown et le Docteur David Bell, remettent en question les hypothèses qui sous-tendent ces avertissements alarmistes. Ils se demandent si les ressources massives allouées à la préparation à aux pandémies sont réellement étayées par des preuves.
L’une de leurs critiques porte sur un graphique fréquemment cité par l’OMS, qui semble montrer une augmentation spectaculaire des épidémies au cours des deux dernières décennies. Brown et Bell affirment que ce tableau ne tient pas compte du contexte historique crucial et qu’il donne une image erronée des menaces sanitaires actuelles.
Des maladies courantes comme la fièvre jaune, la grippe, le choléra et la peste ont été régulièrement maîtrisées, et les épidémies de maladies comme la variole du singe ou les coronavirus naturels sont probablement restées constantes au fil du temps, mais ce qui a changé, selon eux, c’est l’amélioration de notre technologie de diagnostic, qui nous permet de diagnostiquer et de distinguer les maladies plus facilement que jamais auparavant.
En fait, plus la surveillance s’intensifie, plus il est probable que l’on découvre des maladies qui existaient déjà mais qui passaient inaperçues.
En réalité, la mortalité due aux maladies infectieuses est en baisse depuis des décennies, grâce aux progrès de l’hygiène, de la nutrition, des traitements médicaux et à la réduction de la pauvreté ; même avec COVID 2020, jusqu’en 2021, la mortalité est restée inférieure au niveau de mortalité de 2010.
L’OMS a identifié neuf maladies infectieuses prioritaires pour la recherche et le développement, mais cinq d’entre elles n’ont jamais causé plus de 1 000 décès dans l’histoire. À l’exception de COVID 19, dont l’origine reste un sujet de débat, les autres maladies sont en grande partie confinées à des régions spécifiques, principalement dans certaines parties de l’Afrique.
Dans sa liste, l’OMS imaginative inclut également une épidémie imaginaire qu’elle appelle maladie X. Il s’agit d’un espace réservé à une épidémie inconnue qui pourrait apparaître à l’avenir !!!
Bien qu’elle soit destinée à promouvoir la vigilance, sa gravité est entièrement spéculative et peut encourager les modélisateurs à utiliser des scénarios catastrophiques pour estimer les risques futurs, ce qui pousse les gouvernements à prendre des décisions politiques fondées sur la peur et sur bien trop peu d’éléments prouvés.
Brown et Bell craignent que l’importance accordée à la préparation spéculative aux pandémies ne détourne des ressources essentielles de problèmes de santé urgents tels que la tuberculose et le paludisme.
À elle seule, la tuberculose tue 1,3 million de personnes par an, tandis que le paludisme est responsable de plus de 600 000 décès, principalement chez les enfants.
Bien que les tests et les traitements pour ces maladies soientt relativement peu coûteux, leur financement est menacé si davantage de ressources sont consacrées à d’hypothétiques menaces futures. En 2022, un groupe « indépendant » « de niveau » ( c’est-à-dire un de ces panels comme le GIEC!) a été convoqué par le G20 pour examiner le risque de pandémie et les besoins financiers pour y faire face.
Mais une fois de plus, les deux principaux éléments de preuve sur lesquels le groupe s’est appuyé pour tirer ses conclusions ont grossièrement exagéré le risque réel d’une pandémie.
Le premier rapport fourni par le groupe de consultants gouvernementaux du G20 analysait les principales épidémies des deux dernières décennies et il était mal référencé. Si l’on exclut le Covid-19 et la grippe porcine de 2009, qui ont causé moins de décès que la grippe saisonnière, le nombre total de décès dus à ces événements au cours des 20 dernières années était inférieur à 26 000, un chiffre relativement insignifiant dans le contexte de la charge de morbidité mondiale.
Le deuxième rapport provient de Metabiota, une ancienne société privée basée aux États-Unis. Les deux graphiques fournis semblent montrer une augmentation exponentielle des épidémies enregistrées. Les chercheurs soulignent toutefois que cette tendance correspond au développement des technologies de diagnostic modernes, qui augmentent naturellement la détection de maladies auparavant passées inaperçues. En effet, l’absence d’épidémies enregistrées dans les années 60 coïncide avec un manque de technologie et de systèmes de communication nécessaires pour les documenter.
Le rapport de Metabiota inclut également des données provenant d’un article publié dans le British Medical Journal en 2023. Cet article montre que l’augmentation des épidémies et leur mortalité au cours de la dernière décennie sont presque entièrement dues aux épidémies d’Ebola – et lorsque ces décès dus à Ebola sont exclus des données de Metabiota, la tendance de la mortalité au cours des deux dernières décennies montre un net déclin – une constatation qui contredit le récit de l’augmentation du risque de pandémie, les exigences financières de l’UE et la nécessité d’une meilleure coordination entre les différents acteurs.
Le panel du G20 s’est appuyé sur un rapport publié par la Banque mondiale et l’OMS en 2022, qui demandait 31,1 milliards de dollars de financement, et sur un autre rapport de la Banque mondiale, utilisant des données mal étayées, qui demandait 10 à 11 milliards de dollars supplémentaires par an.
En outre, ce rapport fait référence à une étude réalisée en 2020 par Maryanne, qui prétend également montrer une augmentation de la fréquence des épidémies, mais un examen plus approfondi révèle le contraire, à savoir une forte diminution des épidémies entre 2010 et 2020 – et comme le rapport Metabiota, ce rapport de la Banque mondiale ne tient pas compte du fait que le développement de nouveaux tests de diagnostic pourrait expliquer toute augmentation observée des épidémies depuis 1960.
Enfin, le rapport de l’OMS exagère l’impact économique des épidémies en incluant les coûts extraordinaires des actions, comme les plans de relance, tout en minimisant les coûts des maladies endémiques utilisées à des fins de comparaison.
Cela donne la fausse impression que ces épidémies à létalité relativement faible ont été plus coûteuses que d’autres maladies, et que ces coûts pourraient être totalement évités, même si la préparation aux pandémies est sans aucun doute importante.
Brown et Bell affirment que le récit de l’escalade des menaces de pandémie est trompeur. Ils suggèrent que le risque lié aux épidémies d’origine naturelle pourrait en fait diminuer avec l’augmentation du nombre d’épidémies détectées, principalement en raison de l’amélioration des outils de diagnostic.
Les chercheurs mettent en garde contre le fait que des priorités mondiales essentielles telles que le cancer, la tuberculose, le paludisme et les aides dans le domaine nutritionnel pourraient être négligées. Par exemple, le financement pour améliorer la nutrition a chuté de 10 % en 2020 et n’a pas encore retrouvé son niveau d’avant la pandémie.
Si les ressources continuent d’être détournées vers des scénarios spéculatifs, les efforts déployés pour lutter contre les maladies les plus meurtrières risquent d’être relégués au second plan et de faire plus de mal que de bien.
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Qu’est ce qu’il se passe, l’OMS (organisation mafieuse de la santé) et le G20 veulent faire encore plus de morts, on est trop nombreux sur terre, et au passage ils veulent s’enrichir comme pour la période covid ou ils se sont fait avec les labos, les couilles en or sur notre dos. Ils en veulent encore et encore. Ils en ont jamais assez du pognon. Dissoudre se machin et juger ces criminels totalement pourris serait une bonne chose. FREXIT.
L’incompétence gouverne les masses par la politique de la terreur et du chaos.