Des voitures désossées devant le domicile des victimes, dans la rue, sur un parking…
Forts d’un sentiment d’impunité, tant les peines réellement subies en cas d’identification et de condamnation des auteurs de ces agissements sont ridicules, des voleurs ont développé une véritable expertise pour désosser une voiture comme d’autres désossent un poulet, c’est-à-dire en un tournemain !
Qu’on s’entende bien, le désossage de son véhicule n’est aucunement couvert par l’assurance obligatoire des conducteurs, qui est une assurance de responsabilité destinée à couvrir l’indemnisation des préjudices causés à des tiers avec la voiture.
Il faudra avoir souscrit un contrat d’assurance « amélioré » pour espérer une prise en charge des réparations qui s’annoncent fort coûteuses, et sans doute moyennant une franchise de plusieurs centaines d’euros.
En pure théorie, le propriétaire du véhicule est responsable de sa surveillance. Il est censé ne pas lâcher sa voiture de l’oeil jour et nuit, et appeler la police en cas d’infraction réalisée sur son véhicule. Le droit pénal lui réserve certes la légitime défense de son bien, mais celle-ci est encore d’une plus faible portée que la légitime défense de sa personne. Il est donc très difficile de défendre son véhicule contre ce genre d’agissement quand il n’est pas dans un garage individuel sécurisé.
La suppression de l’éclairage public la nuit facilite énormément ces vols.
Les faits de ce type se multiplient en France : peut-on espérer que ce soit la goutte d’eau qui fera déborder le vase ?
Plus crûment encore, peut-on espérer que ces atteintes aux biens rendront un peu fachos les bisounours qui peuplent ce pays ? Car pour sortir la France des griffes des sauvages et des liberticides, il faudra se montrer un peu facho. On ne répond au mal absolu que par une riposte de même mesure.
Il existe en effet un véritablement engouement des Français pour leur voiture. Beaucoup dépensent des sommes qui ne sont pas en rapport avec leurs moyens financiers réels (à la fois au regard de leur compte en banque que de la dette publique dont ils sont virtuellement redevables) pour s’acheter un véhicule haut-de-gamme.
La voiture symbole de liberté, permettant de se déplacer où l’on veut, quand on veut…
La voiture à la carrosserie soignée, le bolide « sportif » capable d’accélérer rapidement quand son conducteur n’est même plus capable de courir 100 mètres…
La voiture est de plus en plus perçue comme une émanation de sa personnalité par des consommateurs qui peuvent la personnaliser à leur guise en fonction des options souscrites auprès du constructeur.
Alors si on ne peut se réjouir, contrairement aux extrémistes écolos, de ces désossages de voitures, peut-être peut-on espérer qu’en touchant un nouveau totem, les barbares auront réveillé quelques instincts défensifs, augmenté la colère, « fachisé » tous ces Français qui se sont laissé séduire par les sirènes du discours politique de gauche comme de droite qui veut toujours plus de dépénalisation, de bracelets électroniques, de confort dans les prisons, de droits fondamentaux pour les délinquants et toujours moins d’actions musclées contre les auteurs pourtant bien connus de ces agissements.
Il est évident qu’ils alimentent un circuit où l’on revend ce qu’on a volé, où l’on s’intéresse aux métaux, comme les désosseurs de poteaux électriques et autres voleurs de cuivre qui plombent les budgets publics…
https://resistancerepublicaine.com/?s=cuivre
Partout en France, la colère gronde…
Le vol de pièces détachées laisse les propriétaires démunis face à leurs véhicules désossés.
Un habitant de Saint-Etienne, Martin, peine encore à réaliser ce qui lui est arrivé. Au cours de l’été 2024, sa voiture a été désossée à deux reprises. « La première fois, j’ai retrouvé ma voiture sans capot ni phares. A peine réparée, on m’a volé le pare-chocs et les antibrouillards », confie-t-il, désabusé, au site d’information local Actu Saint-Etienne. Malheureusement, son récit est loin d’être un cas isolé.
Dans les métropoles françaises, un nombre croissant d’automobilistes sont confrontés à ce type de méfait. Contrairement aux idées préconçues, les malfaiteurs ne cherchent plus nécessairement à s’emparer du véhicule dans son intégralité, mais se focalisent plutôt sur certaines pièces spécifiques, aisément revendables sur le marché parallèle.
Parmi les éléments les plus prisés figurent les optiques, les pare-chocs, les capots, ainsi que les rétroviseurs et les jantes. Ces composants, relativement simples à démonter, permettent aux voleurs d’opérer promptement, souvent à la faveur de l’obscurité nocturne, sans éveiller les soupçons.
Selon le magazine spécialisé AutoPlus, cette tendance s’explique en partie par l’évolution technologique des automobiles modernes. De plus en plus connectées, elles sont devenues difficiles à voler sans laisser de traces. Face à cela, les malfaiteurs ont adapté leur mode opératoire, préférant cibler des pièces détachées plus faciles à écouler.
La Renault Clio arrive en tête des modèles les plus touchés par ce phénomène, et ce pour trois raisons principales. Tout d’abord, la Clio est l’une des voitures les plus vendues en France, ce qui facilite la revente des pièces dérobées. Ensuite, ses éléments sont réputés pour être particulièrement aisés à démonter, permettant aux voleurs d’agir avec une célérité accrue. Enfin, d’après AutoPlus, pour une Clio, « deux optiques valent plus de 1000 euros, un pare-chocs environ 500 euros et un capot 300 euros. » Un butin considérable pour quelques minutes d' »ouvrage ».
Ces pièces dérobées alimentent un marché parallèle bien huilé. Elles sont fréquemment revendues à l’étranger ou à des garagistes peu regardants sur la provenance douteuse des composants afin de proposer des réparations à moindre coût.
Pour se prémunir de ce fléau, quelques précautions peuvent être prises. Il est conseillé de privilégier le stationnement dans des zones éclairées et fréquentées. Certains propriétaires peuvent également faire graver leur numéro de châssis sur les pièces les plus exposées, comme le capot ou le pare-chocs, dans l’espoir d’en faciliter l’identification en cas de vol.
https://www.journaldunet.com/patrimoine/finances-personnelles/1533765-cd1-voiture-preferee-desossee/
Se faire voler son antenne ou ses enjoliveurs, c’est déjà contrariant. Mais retrouver sa voiture à moitié désossée, c’est une toute autre affaire. C’est ce qui est arrivé à Dylan, 28 ans, un Cognaçais qui a eu la mauvaise surprise de découvrir sa Peugeot 308 dépouillée de plusieurs éléments essentiels.
Capot, pare-chocs, phares… Tout a disparu
Le jeune homme avait garé son véhicule dans la rue comme à son habitude. Mais au réveil, il lui manquait une bonne partie de l’avant de sa voiture : Capot moteur envolé, Pare-chocs et calandre démontés, Phares soigneusement retirés « Ils n’ont pris que les pièces qui les intéressaient », constate, amer, le propriétaire du véhicule.
Un vol organisé et méthodique
Dylan soupçonne un vol préparé, réalisé par des personnes connaissant bien la mécanique automobile
. « Ce n’est pas un simple acte de vandalisme. Ils savaient ce qu’ils faisaient et ce dont ils avaient besoin », souligne-t-il. Selon les premiers éléments de l’enquête, ce type de vol serait en augmentation, alimentant notamment un marché noir de pièces détachées. Dylan a porté plainte, mais il sait que les chances de retrouver ses pièces sont minces. « On va voir ce que dit l’assurance, mais pour l’instant, je me retrouve avec une voiture inutilisable », conclut-il avec amertume.
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Pas mal de clandestins qui s’improvisent garagistes .
En réparant sur les parkings des cités ,des véhicules.
Et ils se servent en pièces détachées sur les voitures de la cité voisine .
La plupart du temps la police vous répondra que ce n’est pas la peine d’engager des poursuites même quand on connaît les auteurs, l’assurance remboursera…sauf si vous êtes assuré au tiers collision!
”Partout la colère gronde en france”…..et il serait temps qu’elle puisse se faire entendre et prendre forme maintenant !