Pas d’ouverture cette fois, mais en guise d’introduction, un petit rappel historique, nous sommes le 21 décembre 1989, sous-titres disponibles dans le premier lien :
(Un commentaire en ce qui concerne le second lien : on n’a pas attendu 2025 pour avoir des journalistes ignares, confondre Bucarest et Budapest, c’est fort de café) !
Qu’ajouter à ceci ? D’abord qu’il est POSSIBLE de faire tomber un dictateur, mais aussi que le peuple roumain a été très courageux, on y voit notamment un Ceausescu totalement désorienté. Aujourd’hui le pays est de nouveau dans la tourmente avec le rejet de la candidature de Calin Georgescu. Paradoxalement, j’estime que faire tomber Ceausescu a été plus facile. En effet, en cette fin d’année 1989, les autres pays de l’Est étaient tous tombés et la Roumanie ne pouvait que suivre. Personne pour dire quoi faire au peuple !
Mais en 2025, les Roumains sont sous le joug de la triade satanique, représentée par ces trois créatures que je ne considère pas comme des êtres humains : PUSTULA à Bruxelles, ÇA à Paris, KARMERDE à Londres. Je ne suis plus capable de citer les vrais noms de ces pourritures, cela me donne un arrière-goût de vomi. En Roumanie la lutte est inégale contre ces nuisibles. Si j’en crois Florian Philippot, ÇA serait à l’origine du coup d’État en Roumanie :
Pourquoi je ne suis pas étonné ? L’union Européenne est bien devenue l’UERSS. Au fait, on a voté quoi en 2005 ? Pourtant il reste un léger espoir en ce qui concerne la Roumanie, Georgescu a des poulains qui pourraient prendre la relève.
Et maintenant, place à la musique, principalement représentée par George Enesco (ou Enescu) :
On va commencer par l’œuvre la plus célèbre du compositeur, la rhapsodie roumaine numéro 1 créée le 23 février 1903 à Bucarest sous la direction d’Enesco. La musique reprend plusieurs mélodies roumaines traditionnelles, la plus connue étant l’alouette :
Autre lien, on y voit Enescu à Paris en 1947, côtoyant des célébrités de différents domaines, comme Yehudi Menuhin et certainement d’autres que vous reconnaîtrez peut-être !
Maintenant la rhapsodie, dirigée en toute logique par un chef d’orchestre roumain, Cristian Mãcelaru, forcément un spécialiste de cette musique :
Je suppose que comme moi, vous n’avez jamais entendu parler de Ciprian Porumbescu, compositeur roumain d’origine polonaise et mort à 29 ans en 1883, voici sa Rhapsodie roumaine :
On retrouve Enesco avec la première symphonie achevée en 1905 et sa création fut un grand succès le 21 janvier 1906 au théâtre du Châtelet à Paris. Cette symphonie est dirigée par un chef banni par l’UERSS, Valery Gergiev. (Au fait, UERSS ou IVème Reich ? La faucille et le marteau au centre du torchon européen ou la croix gammée ? Peut-être les deux en fin de compte, voir plus bas).
Je termine l’article avec la deuxième rhapsodie roumaine, plus intimiste que sa sœur, une œuvre magnifique et bouleversante :
Je n’ai pas tout à fait terminé, je viens juste de découvrir le poème roumain d’Enescu :
EN BONUS
Nous allons rester dans une ambiance roumaine avec les Danses folkloriques roumaines de Béla Bartók, dans la version pour orchestre :
Et voici la version pour piano :
Et que puis-je ajouter en conclusion ? Qu’il est grand temps de sortir de ce Moloch qu’est l’UERSS !
Filoxe
(Je viens juste de recevoir cette image qui résume bien le degré de perversité de l’UERSS).
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Merci Filoxe pour l’article et les vidéos. Le jour où la triade sera exécutée, après procès, je veux que l’on joue : Jésus que ma joie demeure de Bach.