« Les dirigeants du gouvernement polonais – le Premier ministre et le ministre des Affaires étrangères – ont une fois de plus fait la démonstration de leur position. Tandis qu’ils piétinent l’État de droit en Pologne – et les Bruxellois peuvent en dire autant – ils nous donnent des leçons sur ce qui est dans l’intérêt de l’Europe.
Selon eux, c’est la poursuite de la guerre, alors que pour nous, c’est la paix. Pour eux, c’est le massacre et la destruction, pour nous, c’est la création de la paix.
Et maintenant, une réelle opportunité de créer la paix se présente : les efforts de Donald Trump pour la paix pourraient être couronnés de succès.
Dommage que le gouvernement polonais – avec les autres Bruxellois – tente d’entraver les négociations de paix. Et c’est cette attitude de Bruxelles qui isole l’Union européenne. La grande majorité du monde – avec à sa tête les États-Unis et la Hongrie – veut la paix, tandis que les vingt-six États membres de l’Union européenne – y compris la Pologne – ont voté jeudi pour la poursuite de la guerre.
Dommage… »
Peter Szijjarto sur sa page Facebook
Violations des Règles et Isolement de l’UE
Peter Szijjarto a donc souligné que certains pays de l’UE, dont la Pologne, ne respectent plus les règles établies et agissent en dehors du cadre légal. Il a critiqué leur réaction face aux remarques sur ces violations, affirmant qu’ils justifient leurs actions par la défense des «intérêts» de l’Europe. Cette attitude, selon lui, mène à l’isolement de l’UE et retarde la résolution du conflit en Ukraine.
Deux Visions Opposées de l’Intérêt Européen
Le chef de la diplomatie hongroise a mis en lumière les divergences entre Bruxelles et Budapest concernant ce qui constitue l’«intérêt» de l’UE. Pour Bruxelles, il s’agit de poursuivre la guerre, tandis que pour Budapest, la priorité est la paix. Cette différence de perspective illustre les tensions au sein de l’UE sur la manière de gérer le conflit en Ukraine.
Impact Économique du Conflit
Le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, a souligné l’impact économique majeur du conflit sur l’ensemble du continent européen. Lors d’une intervention devant la Chambre nationale de commerce et d’industrie, il a estimé que l’économie hongroise avait déjà perdu 20 milliards d’euros depuis le début du conflit. Selon lui, la Hongrie ne pourrait pas survivre à trois années supplémentaires de guerre, rendant cruciale la recherche d’une issue rapide.
Refus de la Déclaration Commune de l’UE
Lors de la réunion des dirigeants de l’UE à Bruxelles le 6 mars, la Hongrie a refusé d’approuver la déclaration commune sur l’Ukraine. Ce texte, publié au nom des 26 autres États membres, réaffirme la volonté de l’UE de continuer à soutenir l’Ukraine, y compris militairement, et de maintenir la pression sur la Russie par des sanctions. La déclaration devrait être réexaminée lors du prochain sommet, prévu les 20 et 21 mars.
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L’Europe dictature qui ne dit pas son nom. L’Europe agit contre l’avis des peuples qui la composent et sans jamais la moindre consultation des dit-peuples. L’Europe n’est pas une démocratie mais une entité maléfique (mafieuse) qu’il faut quitter au plus vite. C’est l’Europe du malheur, de la misère et du désespoir. Quittons-là !
la question etant « pourquoi » : devinez ! POGNON !nos « elites » doivent se verser de belles commissions a chaque fois que zézé a un cheque !