Nous avions lu que Macron, le fossoyeur de la France (et de l’Europe ?) s’en allait à la guerre…
Alors, dans mon sommeil, je l’ai tout à coup vu, dans un demi-sommeil, comme le garde-champêtre qu’il est… Après tout, puisqu’il prend la France pour une province de l’UE et non comme une Nation, je le prends pour le garde-champêtre qu’il est !
Il n’a donc pas à donner son avis sur des problèmes qui le dépassent. Il n’est bon qu’à jouer du tambour de rue en rue pour annoncer les dernières décisions des autres. C’était comme ça dans le village où j’allais en vacances vers 1960. C’était l’époque où nous, gamins, nous chantions c’est le garde-champêtre qui pue qui pète...
Or, les européistes forcenés rabaissent la France qui ne serait qu’une simple province du pays UE. Pratiquement un département, voire une commune. Donc celui qui se prétend son patron ne serait au mieux qu’un préfet ou, encore mieux, un garde-champêtre.
Vous vous souvenez du garde-champêtre ?
Gamin j’en ai connu un, képi sur la tête, veston quasi militaire, tambour en bandoulière.
Il parcourait les rues de mon village de vacances avec des rantanplan -plan-plan pour attirer la population et transmettre d’un ton martial les décisions des « responsables ». Un porte-parole…
Mais ça c’était avant les réseaux sociaux et les chaînes d’info en continu.
En 2025 plus de tambour mais le garde-champêtre de l’ex Nation France se sert de la télé pour informer la population des décisions prises dans la capitale Bruxelles.
Macron notre garde-champêtre qui prend son… pour une trompette….
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Moi, je prendrais bien sa gueule pour un punching ball…
Il ne doit pas souffler dans grand chose, notre garde -champêtre de l’UE. Déjà que c’est un sans- couilles et marié à une espèce de balai O’cèdar monté sur pattes. Un membre (pas celui de Macron 😇😇) de ma famille était garde -champêtre et a souvent entendu cette chanson, surtout de la part des enfants (chapitrés par les parents).Ça lui a gâché la vie. Quand il est parti en retraite, le village a voulu lui organiser une fête et lui faire un cadeau. Il a refusé et leur a dit : il y a une chose que vous ne pouvez pas m’offrir : le respect. Aussitôt après, il a vendu sa maison, et lui et sa femme qui travaillait comme Secrétaire de mairie ont quitté le village pour Aurillac où ils n’étaient pas connus. Il m’a toujours dit que c’était un boulot de merde.
Oui nous avons connu ça, et aussi une France des années 50 ou l’on pouvait circuler partout sans se faire agresser, sans même y penser.
Des parents qui éduquaient, une population qui allait recevoir les sermons à l’église, des instituteurs qui enseignaient, prodiguaient quelques compléments de morale et pratiquaient le coup de pieds au cul pour ceux (très peu nombreux) qui le méritaient et qui aujourd’hui passeraient pour des anges…
C’était ça la France de notre jeunesse ou il n’était pas nécessaire d’envoyer des escadrons de crs en permanence dans un pays en feu.
Excellent !