On cache aux foetus les dangers des échographies prénatales tout comme autorités et médecins nous ont caché les dangers des vaxxins Covid et de tant d’autres choses
L’une des principales croyances trop souvent enseignées aux étudiants en médecine est que les vaccins sont « sûrs et efficaces ». Ainsi, les médecins deviennent incapables de réaliser les dangers évidents des vaccins. Il en va de même de l’échographie, parce que tous les médecins apprennent que, contrairement à d’autres modalités d’imagerie médicale, l’échographie serait totalement inoffensive. Selon les autorités d’homologation des appareils le seul inconvénient de l’échographie serait que la qualité de l’image dépend du médecin qui exécute l’échographie, même si la réalité est que de nombreux appareils médicaux utilisent des ultrasons si puissants qu’ils détruisent les tissus humains.
La médicalisation des naissances a régulièrement exposé les mères à des traitements nocifs pour les foetus et les nourrissons. N’oublions pas la thalidomide. Après les efforts déployés pour mettre fin aux radiographies fœtales de routine, l’échographie prénatale a été introduite comme une alternative « sûre ». Bien que les ultrasons soient toujours considérés comme sûrs, un siècle de recherches biomédicales oubliées montre qu’ils peuvent endommager les tissus. De plus, les avantages de l’échographie prénatale sont souvent exagérés, ce qui conduit à des examens et des traitements inutiles qui nuisent à la fois aux mères et à leurs enfants.
Pour des raisons éthiques, bien des études ne peuvent pas être menées sur l’homme, tout particulièrement sur le foetus. De nombreuses études récentes menées en Chine, au cours desquelles des échographies abdominales ont été pratiquées chez des femmes enceintes juste avant l’avortement. Dès après l’avortement, les foetus ont été disséqués. Leur examen a démontré que les tissus fœtaux étaient manifestement endommagés, Certaines de ces études peuvent être consultées dans PubMed. Collectivement, ces chercheurs Chinois ont observé des dommages similaires dans chaque organe foetal examiné:
- Déclenchement du processus de mort cellulaire, ce que de nombreux chercheurs chinois ont jugé extrêmement préoccupant étant donné que de petites modifications dans les cellules embryonnaires initiales peuvent avoir d’immenses conséquences pour le reste de la vie.
- Une augmentation des protéines associées à la mort cellulaire.
- Changements mutagènes et transformations cancéreuses.
- Dommages à l’ADN.
- Augmentation des niveaux de malondialdéhyde (molécule hautement réactive), de TNF-α et de peroxydation lipidique (signe de dommages oxydatifs).
- Diminution de l’activité de nombreuses enzymes antioxydantes et de l’oxyde nitrique.
- Lésions cellulaires (par exemple, gonflement, dégénérescence, désintégration, désorganisation, karyolyse et nécrose).
- Dommages à de nombreuses structures cellulaires (pyknose, raréfaction, vacuolisation, désintégration), en particulier dans les mitochondries.
- Diminution des niveaux de glycogène.
- En outre, ils ont constaté des dommages spécifiques au placenta, à l’hypophyse, aux yeux, au système immunitaire, aux reins, au foie, aux ovaires, aux testicules et aux spermatozoïdes, ainsi qu’aux neurones et aux cellules gliales du cerveau.
D’une manière générale, plus un intrant pénètre tôt dans la vie d’un être humain, plus son impact est profond. Par exemple, les abus, les violences sexuelles, les négligences ou les traumatismes survenus dans la petite enfance ont souvent un effet sur les individus pendant toute leur vie et, dans de nombreux cas, sur leurs descendants également. De même, il est bien connu que l’exposition aux toxines pendant la grossesse tout particulièrement pendant des deux premiers mois de la vie foetale, peut entraîner des lésions et des problèmes qui dureront toute la vie. Malheureusement, ce principe d’éthique médicale est souvent négligé lorsque cela s’avère pratique, par exemple, quand autorités et médecins ont imposé le vaxxin Covid aux mères enceintes.
Comme pour toute autre technique d’imagerie médicale, on sait depuis longtemps que les effets néfastes des ultrasons dépendent de la dose. En 1992, malgré les inquiétudes concernant la sécurité, comme le montre le graphique ci-après, la FDA a multiplié par huit les niveaux d’ultrasons autorisés, ce qui pourrait avoir contribué à l’augmentation des maladies infantiles chroniques.
Cette limite (720 mW/cm2) figurant sur le graphique ci-dessus dépasse toutefois largement la dose d’ultrasons standard acceptée, dont il a déjà été démontré, bien avant ces études chinoises, qu’elle endommageait les tissus. Malheureusement, en raison d’une mauvaise surveillance de la FDA, de nombreuses machines d’ultrasons utilisent souvent des intens ités bien plus élevées que les permises.
Nos enfants sont notre avenir et il est vital que nous les protégions contre les vaxxins, les ultrasons, etc… et autres malfaisances de nos élus, telles les dettes immorales que tiennent à leur laisser nos gouvernements qui ont bêtement remis leur souveraineté à l’UE si dépensière.
Dominique Schwander
Mars 2025
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L’échographie permet tout de même de détecter des pathologies. Que dire des rayons x, des scanners, des IRM ? Tout abandonner?
Il est certain que les scanners et autres rayons X sont nocifs, et seul l’IRM est moins agressif pour le corps. Mais on ne peut pas faire autrement pour détecter les maladies.
Merci à mon tour Docteur, et à tous les excellents auteurs de Resistance!
Merci pour cet article ,cher Docteur Schwander.