Le 8 mars est considéré dans le monde comme la Journée Internationale du Droit des Femmes. À notre connaissance, cette journée n’est pas célébrée dans les pays musulmans.
Hier symbole des combats des femmes pour l’égalité, au sein du foyer, dans les entreprises et dans la citoyenneté, le mouvement féministe a totalement basculé dans les années 1980, pris en main par des lesbiennes gauchistes dégénérées et haineuses contre les hommes, mais aussi contre les femmes qui aimaient les hommes et qui osaient avoir envie d’avoir des enfants.
Les plus anciens se rappellent sans doute de ce slogan historique du MLF : « Hétéros collabos ! ». Le lesbianisme devenait un acte militant, et certaines, hélas, s’y laissèrent prendre, alors qu’elles étaient viscéralement hétérosexuelles, mais incapables d’affronter la propagande des lesbo-gauchistes.
Puis la femme qui osait avoir un enfant était regardée de travers, comme une victime de la propagande chrétienne incapable de s’en émanciper, alors que selon elles, le devoir des femmes libres était de s’émanciper de la grossesse. On pouvait leur accorder un enfant, mais à deux, elles devenaient des pondeuses, et à trois des intégristes catholiques.
Que dire des femmes qui voulaient rester féminines, s’habiller en robes, montrer leurs jambes et leurs bras, si ce n’est que selon les commissaires politiques du MLF, elles véhiculaient des schémas bourgeois du patriarcat. La femme libre devait être laide, et refuser de sombrer dans les clichés de séduction. Il faut dire que quand on voit aujourd’hui certaines députés de gauche et des militantes féministes, elles ont totalement réussi !
Puis il a fallu s’en prendre à leur véritable bête noire – si on ose dire – l’homme blanc hétérosexuel, forcément un violeur potentiel qu’il allait falloir rééduquer par tous les moyens. D’abord le castrer mentalement, en lui interdisant d’émettre un avis élogieux sur le physique d’une jolie dame, hommage considéré comme une agression sexuelle. Puis en l’expulsant de plus en plus massivement du travail, par la désindustrialisation massive, et en remplaçant les emplois ouvriers, souvent réservés aux hommes, par des emplois tertiaires d’employés, plus ouverts aux femmes.
Puis on encouragea les femmes à dénoncer les hommes qui avaient eu un rapport sexuel avec elles, même quand cela remontait à plusieurs années, sous le prétexte qu’il aurait pu y avoir un abus de faiblesse, voire une absence de consentement de la dame, donc un viol. Et la parole féminine valant bien plus que la parole masculine, avec des juges de plus en plus souvent femmes, le sort des dénoncés était bon.
Ensuite, on encouragea les femmes – seulement les Françaises – à multiplier les avortements, qui augmentaient au fur et à mesure que les naissances diminuaient. On multipliait les discours sur la fierté de ne pas avoir d’enfant, pour sauver la planète.
Enfin, la virilité de l’homme blanc fut attaquée frontalement comme agressive, et on fit l’apologie de l’homme déconstruit, autrement dit un castré contraint d’adopter la sexualité des femmes.
On considéra enfin, au nom de la théorie du genre, qu’il n’y avait guère de différence entre les hommes et les femmes, et qu’on pouvait changer librement de sexe, même mineur, au nom de la liberté de chacun.
Et on eut droit à l’omniprésence LGBT, et même à des procès contre des présumés homophobes qui pensaient que le mariage devait se faire entre personnes du sexe opposé, et qu’un enfant devait avoir une mère et un père, et que cela ne s’achetait pas sur catalogue.
Il n’y a dans ces mots aucune hostilité contre les homosexuels, qui ont droit au respect de leur différence, à condition que cette particularité ne se traduise pas par un militantisme homosexualiste agressif de type LGBT.
Puis arriva l’immigration massive africaine. Et alors, le discours anticlérical de nombreuses féministes, haineuses contre la doctrine jugée réactionnaire de l’Église, s’arrêta aux portes de l’islam et de ses musulmanes voilées, et parfois de ses Africaines excisées. Le torchon islamique devint un vêtement identitaire, alors qu’il n’était que le symbole de l’oppression des femmes, et qu’en Algérie, en Iran ou en Afghanistan, des femmes mouraient pour garder leurs cheveux au vent, et pouvoir s’habiller librement à l’européenne.
On entendit des féministes demander à la société française d’accepter l’excision, au nom du refus d’imposer notre culture d’anciens colonisateurs aux descendants de colonisés.
Bien évidemment, dans la même logique, l’Africain violeur et machiste n’était plus un salaud qu’il fallait castrer, mais une victime qui ne possédait pas les codes, et contre qui il ne fallait pas « faire le jeu de l’extrême droite raciste ». Les agressions verbales, physiques, les viols et trop souvent les crimes sordides n’étaient plus des féminicides dus à l’immigration, mais des situations regrettables qui avaient mal tourné, avec la victime qui était au mauvais endroit au mauvais moment.
Bien évidemment, dans ce contexte, principalement dans les communes de gauche, comme le montre une remarquable enquête du site Fdesouche, on fêtera bien sûr le 8 mars, mais avec des illustrations de voile islamique sur les affiches officielles.
Hier combattantes sincères et souvent utiles à la société, les militantes féministes françaises et européennes, gangrenées par le wokisme, le gauchisme et le lesbianisme, sont devenues des caricatures grotesques et haineuses d’un combat sexiste et raciste contre les seuls hommes blancs, et sont prêtes à se soumettre à la charia.
Heureusement, malgré la propagande de ces féministes dégénérées, la majorité des femmes françaises continuent d’être belles, élégantes, séduisantes, qu’elles aient 20 ans, 30 ans, 40 ans, 50 ans, 60 ans, 70 ans ou 80 ans, elles conservent cet unique charme français qui fait rêver tant d’hommes, dans notre pays, mais aussi dans le monde entier.
Notre modèle, cela demeure, bien sûr, la complémentarité entre les hommes et les femmes, et les belles histoires d’amour, entre un homme et une femme, qu’elles durent le temps d’une passion, dix ans ou toute une vie.
https://www.leparisien.fr/culture-loisirs/souvenirs-souvenirs-badabadada-20-11-2016-6349911.php
Mais en ce 8 mars, rendons hommage aux femmes ont su inspirer à des chanteurs français, mais aussi à des chanteuses, des paroles et des musiques plus magnifiques les unes que les autres.
Écoutez, et savourez, cet échantillon…
Julien Clerc : Femmes je vous aime
Un homme et une Femme, Francis Lai
Johnny Hallyday : Laura
Johnny Hallyday : Que je t’aime
Juliette Gréco : Déshabillez-moi
Jean Ferrat : La femme est l’avenir de l’homme
Jean Ferrat : Que serais-je sans toi ?
Nicole Croisille : Une femme avec toi
Michel Sardou : Je vais t’aimer
Serge Reggiani : Votre fille a 20 ans
Serge Reggiani : Sarah
Édith Piaf : Hymne à l’amour
Jacques Brel : Ne me quitte pas
Yves Montand : Barbara
Serge Lama : Femme, femme, femme…
Didier Barbelivien : Elle
Jacques Brel : Mathilde
Hugues Aufray : Céline
Dalida : Il venait d’avoir 18 ans
Gilbert Bécaud : Je reviens te chercher
Georges Brassens : Je me suis fait tout petit
Léo Ferré : Jolie Môme
Charles Aznavour : Non, je n’ai rien oublié
Michel Delpech : Pour un flirt avec toi
Claude Nougaro : Cécile, ma fille
Joe Dassin : Et si tu n’existais pas
Guy Béart : L’eau vive
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https://m.youtube.com/watch?v=NfBFR-mDO2U&pp=ygUaQnJhc3NlbnMgc2UgZmFpcmUgZW5jdWxlciA%3D
Il y a femmes et femmes. Quand je vois une personne de mon village, 120 kilos, laide comme un pou, mal embouchée, je ne désire pas qu’elle dévoile sa féminité. Son mari ressemble à Francis Haulme comme deux gouttes d’eau.
Ecoutez donc également de Jean Ferrat « L’amour est cerise », un hymne à l’acte sexuel magnifique.
Vous retracer le parcours de l’émancipation de la femme qui dans les années avant 2000 avaient encore envie de composer avec un homme pour créer, pour procréer. Mais par la suite en effet dans leur dynamique, se sont individualisées jusqu’à vouloir avoir les enfants en étant seules, en sachant surtout en premier que sur son chemin de vie, on a le droit de vivre plusieurs histoires d’amour, vues souvent comme des expériences en fonction des étapes de sa vie. Cette émancipation féminine a perturbé beaucoup d’hommes surtout avec le rapport à la paternité, qui fut facile à exercer avant et qui le sont aujourd’hui de plus en plus difficiles, dépendant la plupart du temps du bon vouloir des mères. Aujourd’hui nous retrouvons souvent des situations où les couples se séduisent, s’aiment, créent une famille, puis se déchirent, jusqu’à s’anéantir… ces situations fait augmenter l’homosexualité à vitesse grand V.. Beaucoup d’hommes souffrent en silence, pour les plus anciens, constatent ce que l’homme est devenu.. C’est aussi une des raisons voulue par les équilibres sur Terre provoquant des migrations massives du Sud vers le Nord …