Une information qui tombe pile poil au moment où Trump lâche l’Ukraine.
Une journaliste ukrainienne aurait été torturée à mort par la Russie, qui aurait fait disparaître le corps.
On n’est pas obligé d’y croire.
On raconte des contes, des récits d’épouvante, pour effrayer les petits enfants. Le grand méchant loup, les vampires…
Le peuple est un petit enfant des médias ultra-subventionnés, qui ont intérêt à obéir au pouvoir en place s’ils veulent conserver leur bonne gamelle.
Alors cette histoire arrive précisément au bon moment pour relancer la motivation des Européens dans cette guerre dont personne ne veut.
Oh les vilains russes… On peut inventer tout et n’importe quoi !
Quand on parle de lapidations de femmes ou d’homosexuels jetés du haut des bâtiments en pays de charia, on sait que la loi islamique prévoit des châtiments horribles dans le domaine des moeurs donc c’est tout à fait crédible.
Quand on raconte ce qui se passerait en Russie sans aucune preuve, je me permets de douter fortement, d’autant plus que la Russie n’a pas de droit de réponse.
Mais je ne doute pas que cette histoire va être prise pour argent comptant par bon nombre de personnes impressionnables qui croient tout ce que disent les médias, télévision, presse écrite etc. Ils sont, hélas, nombreux !
Je retiens en tout cas la frilosité du Rassemblement national à cette heure où sa parole compte tant. Reconquête marque des points, par la voix d’Eric Zemmour, plus courageux et crédible sur ce dossier.
Et quand bien même l’information serait vraie, est-ce une raison pour prolonger cette guerre qui fera alors encore beaucoup d’autres morts ?
Le cas « Victoria » me fait penser à celui du petit Aylan, véritable manipulation médiatique pour nous apitoyer sur les migrants…
https://ripostelaique.com/de-la-petite-fille-brulee-au-napalm-au-vietnam-au-petit-mort-syrien.html
Ils savent jouer sur la corde sensible ! Mais le bon sens veut qu’on préserve avant tout les siens, nos proches, nos soldats et qu’on ne cède pas aux sirènes de l’information chimérique, invérifiable…
Mort d’une jeune journaliste ukrainienne en Russie : arrêtée en 2023 et torturée en détention jusqu’à son décès, son corps n’a jamais été restitué
Viktoria Roshchyna, reporter de guerre ukrainienne, a disparu après son arrestation par le régime russe, en territoire occupé, en 2023. Torturée en détention, son décès a été annoncé sans explication en septembre 2024. Son corps n’a jamais été restitué, laissant sa famille sans réponse.
Viktoria Roshchyna, journaliste ukrainienne, a disparu dans les geôles russes après avoir été capturée à l’été 2023 sur un territoire occupé. Connue pour ses reportages en zone de guerre, des témoins ont confirmé qu’elle enquêtait sur les chambres de torture de la centrale nucléaire de Zaporijjia, où des employés ukrainiens étaient détenus. Après son dernier contact depuis Enerhodar, elle a disparu. Son parcours pour rejoindre la région du reportage est passé par l’Europe, via la Pologne et la Lettonie, avant d’entrer en Russie.
Aucune accusation
Arrêtée sans motif officiel, elle a été détenue, torturée et finalement transférée dans une prison de Taganrog, en Russie, sans qu’aucune accusation ne soit portée contre elle. Pendant toute sa détention, les autorités russes n’ont jamais clarifié son statut juridique ni ouvert de procédure judiciaire.
Selon l’enquête de Slidstvo.info, un média ukrainien, Roshchyna a subi des électrochocs et des blessures au couteau. Des témoins affirment qu’elle réclamait sans cesse des explications sur son incarcération et exigeait de voir un enquêteur. Un échange de prisonniers devait avoir lieu en septembre 2024, mais elle ne figurait pas parmi les libérés.
Un documentaire sur les conditions de sa détention
En octobre, son père a reçu une lettre du ministère russe de la Défense annonçant son décès le 19 septembre, sans plus de précisions. À ce jour, son corps n’a pas été restitué à sa famille.
Ce n’était pas la première fois que Viktoria Roshchyna était confrontée aux dangers de son métier. En mars 2022, elle avait déjà été capturée à Berdiansk par les forces russes avant d’être relâchée après dix jours de détention. Malgré les risques, elle avait poursuivi son travail sur le terrain. Âgée de 27 ans, cette journaliste indépendante travaillait notamment pour le média Ukrainska Pravda.
30 kg lors de sa détention
L’agence Slidstvo.info, en collaboration avec Reporters sans frontières, Suspilne et Graty, a retracé son parcours et recueilli des témoignages sur ses conditions de détention. Le documentaire sur la dernière mission de Viktoria, sorti le 3 mars 2025, révèle qu’elle pesait à peine 30 kg à la fin de sa captivité et que les autorités carcérales la cachaient lors des inspections. Malgré ses appels répétés à l’aide, elle n’a reçu aucune assistance.
À l’annonce de sa mort, les autorités russes n’ont fourni aucun détail et n’ont pas rendu son corps. Cinq mois après, sa famille reste sans nouvelles, attendant toujours la restitution de sa dépouille dans le cadre d’un échange.
Ses enquêtes sur les exactions russes en Ukraine auraient pu motiver son arrestation et son sort tragique, qui reste encore entouré de nombreuses zones d’ombre.
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Bof ! une désinformation dont on a pris l’habitude.
Nos merdia se calquent sur les propagandes soviétiques de l’ex URSS.
Normal, nous y sommes, en UERSS.
Après Aylan et Boutcha, voilà Victoria.
Rien que le prénom est suspect et suscite le doute, et pourquoi pas Bomba ?
Sans pouvoir vérifier cette « information », ne pas oublier que le NKVD est l’ancêtre du FSB aujourd’hui, et les « méthodes » d’interrogatoire n’ont guère changé depuis la mort du « petit père des peuples », les ambassades soviétiques avaient toutes leur salle de tortures…
J’adore la Russie et j’aime beaucoup le peuple russe. Néanmoins, il y a parmi ce peuple ce grosses brutes et je n’écarte absolument pas la possibilité, hélas, qu’une jeune journaliste ait pu être torturée. …
Il paraîtrait, sous toutes réserves, qu’elle ne pesait plus que trente kilos à sa mort.
« Une journaliste ukrainienne aurait été torturée à mort par la Russie, qui aurait fait disparaître le corps. ». Une légende comme nous sert le Pinochio de l’Élysée sur le péril russe il y a peu !
Plus c’est gros, mieux ça passe. Les mensonges nôtre clown psychopathe s’y entend, c’est un pro du mensonge.
Cà, çà doit être à peu près du même tonneau que les journalopes de service qui, il n’y a pas si longtemps, nous affirmaient avec le plus grand sérieux que les récentes proliférations de punaises des lits en Europe…étaient des attaques biologiques russes! Décidément, le ridicule ne les tue jamais!