Le terrible ultimatum lancé à l’Algérie par le François Bayrou coïncide avec le début du mois de Ramadan, ce mois de jeûne et de tous les excès chez les musulmans.
Le Bayrou l’a-t-il fait exprès ? Est-ce une façon de déstabiliser ce pays source de désagréments pour la France depuis plus de 60 ans ?
En voulant forcer les Algériens à revoir les accords conclus avec la France, il les détourne de leur devoir de piété et de recueillement durant ce mois béni qui peut procurer aux pratiquants-jeûneurs plein de points de bonus leur ouvrant les portes du Paradis où on peut forniquer et se souler à longueur de journée.
On peut donc légitimement penser que le Bayrou a fait exprès de choisir ce moment pour terrasser les Algériens avec ce mortel ultimatum. Il leur donne un mois pour se soumettre aux conditions françaises, mais il les rassure aussitôt en leur accordant, d’office, une rallonge de deux semaines. L’ultimatum du bon Bayrou est souple et extensible. Il est humain (l’ultimatum, pas le Bayrou qui semble traîner des casseroles).
Mais les Algériens ne vont quand même pas se soumettre à des menaces de mécréants alors que le Ramadan est justement le mois du djihad. Il leur faut réagir vite. Ils n’ont qu’un seul jour de disponible avant le début du Ramadan. C’est le 28 février, mais c’est un jour d’observation du croissant de lune dont dépendent le début et la fin du Ramadan. Tout le monde est appelé à scruter le ciel à la recherche de quelque chose qui ressemble à un croissant (de lune, bien sûr, pas du genre au chocolat). Il est vrai que l’observation ne commence qu’au coucher du soleil, mais les musulmans doivent se concentrer toute la journée pour cette tâche. Donc pas le temps de travailler.
Le début de ce mois de jeûne est déterminé, comme tous les autres mois du calendrier islamique, par l’observation du croissant de lune, mais les masses musulmanes ne se sentent concernées que par le début et la fin du Ramadan. La fin surtout. Le Ramadan, on n’est pas pressé de le commencer et on a hâte d’en finir. Le croissant de lune du début du Ramadan est par conséquent difficile à détecter, tandis que celui de sa fin saute tout seul aux yeux. On le voit même sans observer le ciel.
Dans les pays musulmans comme partout ailleurs, on apprécie uniquement le calendrier grégorien. Celui utilisé pour le versement des salaires.
Si les Algériens ont donc décidé de réagir avant le début du Ramadan, c’est que les musulmans ont autre chose à faire pendant le Ramadan que de penser aux futilités d’ici-bas. Le Ramadan doit être exclusivement consacré à la bouffe, à la prière et à la libre manifestation des effets du manque du café, du tabac et de l’alcool qui donnent lieu à de grandioses et spectaculaires bagarres, entre piétons et entre automobilistes, qui divertissent les jeûneurs avant la rupture du jeûne.
Le Ramadan est également propice à la masturbation (Ne me regardez pas comme ça. C’est normal que quand un musulman n’a rien à faire et qu’il ne peut pas forniquer, il se mette à jouer avec son zizi). Un article publié dans RL sur ce phénomène (malheureusement introuvable aujourd’hui) a été vu ou lu, en date du 19 mai 2020, par 323.547 internautes.
L’Algérie va sûrement réagir à l’ultimatum Bayrou. Mais rien ne presse. Elle va décréter le boycott de produits français importés en Algérie et qui font la richesse de nombreuses entreprises algériennes. Il s’agit notamment des préservatifs pour hommes, du rouge à lèvres pour femmes et de produits communs aux deux genres, comme les peignes, les lunettes, les serviettes hygiéniques et tous les sous-vêtements unisexes.
Elle va également rappeler les footballeurs algériens évoluant dans les clubs français.
L’Algérie devra aussi saisir l’Afrique du Sud pour lui demander de saisir ses amis de la CPI pour qu’ils saisissent le Bayrou à la gorge jusqu’à ce que mort s’ensuive.
Elle demandera par ailleurs à tous les musulmans de se dire choqués par cet ultimatum de mécréants qui porte atteinte à l’ensemble de la oumma islamique.
En ce début de Ramadan béni, la France et l’Algérie sont entrées dans une phase cruciale de leur histoire. Leurs relations ne seront plus les mêmes.
L’Elizabeth Borne qui se tenait à la gauche du Bayrou quand il lisait son terrifiant ultimatum, semblait songer au bon vieux temps quand il lui suffisait de deux mots « 49.3 » pour tout régler et qui la libérait pour aller vapoter à son aise dans l’enceinte de l’hémicycle.
Il lui suffisait, à elle comme à ses prédécesseurs Premiers ministres, juste de dire : « J’engage la responsabilité de mon gouvernement… »
Personne n’a jamais engagé la responsabilité dudit président.
On peut essayer, mais ça ne sert à rien.
Depuis trois ans, le Macron ne s’occupe que de l’Ukraine.
De la France, il s’en fiche.
Messin’Issa
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