Messin Issa avait proprement ridiculisé le quidam hier, merci à lui.
Mais il n’est pas inutile de revenir sur le calamiteux voyage de Macron à Washington, destiné à faire croire à certains de ses confrères européens qu’il ne serait pas fini (pour les Français c’est irréversible). Sans doute également qu’il ne faut pas sous-estimer son côté narcissique, vert de devoir se claque-murer à l’Elysée tant la moindre sortie accompagnée de sifflets et autres lazzis le plonge dans des épisodes dépressifs l’obligeant à sniffer dur et plus si affinités.
Je me demande même si l’anti-France Macron n’a pas trouvé le voyage à Washington comme excuse pour ne pas s’attarder au salon de l’agriculture et s’exposer à la vindicte des Gilets jaunes contenus à l’autre bout…
Revue de presse. Presse française dûment subventionnée et aux ordres
–«Emmanuel Macron cède mais Donald Trump lui permet de sauver les apparences», a décrypté Pascal Praud, dans son édito de l’émission L’Heure des Pros, ce mardi sur CNEWS, réagissant à la rencontre entre les deux présidents autour de la guerre en Ukraine, ce lundi à Washington.
–Pour les observateurs américains, que du bla-bla, de la mise en scène, mais ce n’est pas un petit Macron qui va faire bouger d’un iota le géant américain.
Avant d’évoquer un « moment extraordinaire », lorsque Emmanuel Macron a repris Donald Trump sur l’aide financière apportée à l’Ukraine. Mais pour conclure, CNN croit savoir et avoir observé que « leurs divergences sont restées assez évidentes et, à la fin de la journée, il ne semblait pas que Trump ait beaucoup évolué par rapport à ses positions sur la responsabilité de la guerre en Ukraine ou sur la question de savoir si l’Europe en avait fait assez pour soutenir Kiev. »
.
-Pas dupes les journalistes Américains, peut-être qu’ils reçoivent moins de subventions que les nôtres.
Enfin, le New York Times titre aussi sur la « méthode Macron » qui a consisté à « flatter » le président Trump. « Il a adopté un ton amical, même s’il l’a corrigé avec un sourire […] Ce coup double de flatterie et de résistance douce est un exemple de la manière dont certains dirigeants européens tentent d’approcher l’Amérique à un moment délicat », écrivent les deux journalistes. « Mais cela fonctionnera-t-il ? », se questionnent-ils ensuite.
– Pendant ce temps, à l’ONU, les Etats-Unis de Trump, pas du tout ébranlés par Macron, votent avec la Russie… Grandiose.
Les Etats-Unis ont, pour la première fois depuis le début de la tentative d’invasion de l’Ukraine, voté avec la Russie une résolution au Conseil de sécurité de l’ONU, après s’être opposés à un texte ukrainien en assemblée générale.
– Et il est de plusl en plus évident que Trump entend récupérer l’argent offert par Biden à Zelensky avec les terres rares et autres ressources minières ukrainiennes. La France, elle, a casqué et n’aura rien. Même pas la considération.
[…] le texte américain original – 83 mots seulement, pointe l’ONU) – a ensuite été soumis au Conseil de sécurité, seul organe dont les décisions sont contraignantes. Cette fois-ci, les amendements déposés par les cinq pays européens (dont la France) ont été rejetés et la résolution a été adoptée telle quelle, par 10 voix pour, dont celles des Etats-Unis et de la Russie, et aucune contre, les pays d’Europe choisissant l’absention. Une première depuis le début de la guerre. « C’est historique », assure Romuald Sciora, essayiste et directeur de l’observatoire politique et géostratégique des Etats-Unis à l’Iris. « Les Américains auraient pu s’abstenir d’intervenir de manière aussi forte à l’ONU, mais ils ont voulu marquer le coup en montrant que l’ordre international était caduc. »
Reste que les Etats européens se sont abstenus, y compris la France et le Royaume-Uni, qui auraient pu choisir de bloquer l’adoption en utilisant leur veto pour la première fois depuis 1989. « Ils sont terrorisés, juge Romuald Sciora. Il n’y a pas de leader en Europe en ce moment pour parler d’une voix forte aux Américains, et donc les Européens se sont couchés par peur de représailles », dont la menace de droits de douane, l’épée de Damoclès placée par Donald Trump au-dessus du Vieux continent.
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Désolé de vous contredire, mais’comme disent les gens grossiers (mais pas vulgaires) : Macron a des couilles au cul !
Le seul problème c’est que ce ne sont pas les siennes.
En plus d’être minable, il est ignoble, il veut prêter notre nucléaire militaire aux boches qui ont saboté notre nucléaire civil :
https://francais.rt.com/france/117242-bouclier-nucleaire-europeen-france-pourrait-deployer-armes-nucleaires-alemagne
Le ridicule ne tue pas, sinon nous aurions un autre président depuis déjà fort longtemps. Ubu et la Castafiore à l’Élysée, nous sommes bien représentés.
Nous avons vu, en passant, un Macron « rire » de façon sarcastique, émaciée, comme un clown qui accentue le trait avec sa bouche élargie par un maquillage rouge, mais triste au fond ! et c’est notre président ! Je reste perplexe que Trump, même si c’est bien joué, « revienne » à faire des échanges commerciaux avec Zelinski dont il disait qu’il n’était pas reconnu comme le chef d’Etat puisque pas élu ! il demandait à organiser des élections et je trouvais cela très pertinent, logique pour repartir sur des bases saines ( il faut reconnaitre qu’il doit être difficile de voter dans un Etat où la moitié des habitants ont fuit et, au fond sans autre lieder ) .
Le rire de Macron, celui de Joker dans Batman, un air de ressemblance minable !
Est-il vrai que quelque centaine d’imams ms algériens ont obtenu des visas pour venir prêcher le ramadan dans les mosquées de France ?
oui, Jules ! C’est vrai.
https://www.fdesouche.com/2025/02/25/alors-que-les-relations-avec-alger-ne-cessent-de-se-deteriorer-paris-a-malgre-tout-decide-daccorder-des-visas-aux-recitateurs-du-coran-pour-le-ramadan-qui-demarre-ce-28-fevrier/
Ce qui serait logique, c’est à la fin du ramadan, de les prendre en otage et de les échanger contre Boualem Sansal.
Ça s’appelle la réciprocité.
Là une idée, qu’elle est bonne 😂