Merz gagne, sans vaincre… Que va-t-il advenir de l’Allemagne ? Qu’allons-nous devenir ?

Elles sont passées les élections anticipées. Sans grande surprise, le chef de la CDU, la girouette-carriériste, Friedrich Merz, remporte un scrutin qui n’influe aucune confiance en l’avenir proche de l’Allemagne.

Le très médiocre Olaf Scholz,se voit censuré, viré par son peuple qui n’en peut plus de la crise économique, d’une immigration incontrôlée, de l’insécurité qui en découle et de sa perte d’identité et de sa culture. Les Verts sont également renvoyés dans l’opposition avec leur totalitarisme, leurs lubies climatiques, énergétiques, leur russophobie primaire et leur immigrationnisme-islamo-collaborationnisme. Qu’ils aient encore un socle d’électeurs me stupéfie toujours. Mais c’est le résultat d’une presse complice qui réussit à garder captifs les cerveaux les plus fragiles.

La constitution allemande le veut ainsi, tant que la coalition ne sera pas définitivement composée, Scholz, le raté restera chancelier. Pour l’instant, la coalition la plus probable qui se fait jour est avec la SPD, qui a fait son plus mauvais score depuis 1890. Je souligne que la SPD est le plus ancien parti d’Allemagne et que c’est ce falot de Scholz qui l’aura détruit.  En outre, nous pouvons encore avoir des surprises de coalition avec les Verts par exemple.

La surprise de la soirée restera la percée des communistes, Die Linke, la disparition du parti qui a toujours été faiseur de rois, la FDP et dont le patron, Christian Lindner, que Scholz a viré comme ministre des Finances, déclare vouloir quitter définitivement la politique. A souligner, l’échec de Sarah Wagenknecht, venant de Die Linke et dont le but était justement de l’affaiblir, en fondant son propre parti, BSW, qui n’a pas su atteindre les 5% pour entrer au Bundestag. Elle a fait 4,9%. Comme c’est rageant ! Elle y aurait pourtant été bien utile avec ses positions géopolitiques raisonnables en faveur de la paix et d’un rapprochement avec la Russie. Face à ce Merz va-t’en guerre russophobe primaire, toujours soutien de l’escroc Zelensky, auquel il a promis d’envoyer des missiles Taurus. Il est à espérer qu’il change d’avis face aux bouleversements géopolitiques qui se profilent entre les États-Unis, la Russie, sans oublier la Chine et évidemment les BRICS.

Moins surprenant pour moi, est qu’en douze ans d’existence, l’AfD double son score à 20,8 % comparé à 2017 ! Pourrait faire mieux. Pourtant, il faut bien s’en satisfaire, vu la lobotomisation des citoyens par une presse extrême gauchiste très agressive.  Durant toute cette courte période électorale, sa place dans les sondages n’aura jamais été inférieure à 20 %, ce qui me faisait espérer au miracle d’une victoire totale, à cause en particulier des attentats islamiques à répétitions en Allemagne de l’Ouest et l’indifférence cynique des gouvernants pastèques aux larmes de crocodiles. Il n’en a rien été. L’Allemagne de l’Ouest gauchiste lançait ses électeurs dans les rues pour protester contre l’AfD, au lieu de marcher contre les terroristes islamiques tueurs d’Allemands. Tout cela, illégalement, au frais du contribuable. L’AfD, comme je l’ai souvent mentionné ici, est majoritaire en Allemagne de l’Est. J’en souligne à nouveau les raisons. Cette partie de l’Allemagne a connu deux totalitarismes, les nazis et les communistes. Ils n’ont aucune envie d’en connaitre un troisième, l’islam. Cet islam qui ne cesse de s’étendre et de faire des victimes.

L’issue de cette élection, malgré le score médiocre des pastèques (SPD-VERTS) m’incite plutôt au pessimisme. Les communistes (Die Linke), dont le patron, Jan van Aken, est un totalitaire peu sympathique, ont réussi une percée inattendue de 8%, ce qui leur permet d’entrer au Bundestag.  Merz s’entête en refusant de coaliser avec la AfD, n’a entendu aucun message. Ni de Larry Fink, son ancien patron de BlackRock, ni du Vice-Président des États-Unis, JD Vance, qui avait pourtant souligné à Münich, qu’il n’était pas démocratique de rejeter massivement des électeurs et que si l’Europe persistait dans cette voix, elle ne défendrait plus les mêmes valeurs que les État-Unis, mais ressemblerait plutôt à une URSS, que dans ces conditions les États-Unis ne pourraient plus rien faire pour elle. Ne perdons pas de l’horizon, que l’horrible créature, Ursula, est du parti de la CDU. Merz et elle vont précipiter l’UERSS encore plus profondément dans l’UERSS ! A nous Français de faire en sorte que cette aventure germanique mortifère n’arrive jamais. Nous devons faire corps avec les Européens de l’Est, comme Viktor Orban, Robert Fico, Calin Giorgescu et la Pologne qui commence à bouger dans le bon sens. Nous devons défendre nos valeurs que les Trumpistes et les Russes partagent avec nous. La liberté de penser, de s’exprimer, sans lesquels rien n’est possible. Eh oui, en Russie aussi, on peut s’exprimer plus facilement qu’en UERSS.

Le célèbre auteur d’essais politiques, qui atteignent parfois les 2 millions d’ex., l’ancien directeur de la Bundesbank de Berlin, de laquelle Angela Merkel le virait avec pertes et fracas, pour avoir commis son premier bestseller islamo-critique, membre du SPD, depuis écarté pour pensées non conformes, Thilo Sarrazin, ( voir illustration ) est lui, plus que pessimiste et analyse, réaliste, que plus personne ne peut sauver l’Allemagne.  Ouvrage en français : L’Allemagne disparaiît, vendu en Allemagne à plus de 2 millions. C’était un achat politique qui démontrait alors, l’opposition lilencieuse des Allemands à la politique de Merkel.

https://www.momox-shop.fr/thilo-sarrazin-l-allemagne-disparait-quand-un-pays-se-laisse-mourir-gebundene-ausgabe-M0281000529X.html?variant=UsedGood&gclid=CjwKCAiAzvC9BhADEiwAEhtlN1DEFQ0wlYaZCWUF6rnPBkrX8VGc_oMNRkE3zaU1vpjZ0b4WjbVdghoCojsQAvD_BwE&utm_source=PSM&utm_medium=cpc&utm_campaign=FR_BM_OUT_WEB_ALL_SHO_KOO-PMX_MR-8_&gad_source=1

Thilo Sarrazin

Qui dit Allemagne, dit aussi l’UERSS. En effet, le développement des populations extra européennes islamisées est en train de remplacer les populations d’origines, selon Sarrazin, qui démontre, statistiques à l’appui qu’il a établies, et qui prouvent que d’ici 35 ans les Allemands de souche seront minoritaires, ou grand remplacés, comme le dit Renaud Camus.  Aucune raison que cela soit différent chez nous qui avons la plus grande communauté musulmane d’Europe.

Comment Merz va-t-il mettre en œuvre le programme qu’il a copiée sur l’AfD, en matière d’immigration, s’il fait coalition avec des gens de gauche et/ou de la SPD en particulier ? C’est du domaine de l’impossible. Les Verts désormais écartés du pouvoir, et c’est tant mieux, pourraient refaire surface … Cependant, le SonnyBoy Habeck a déclaré lui aussi vouloir quitter la politique. Je lui souhaite d’avoir plus de succès dans son métier d’auteur de livres pour enfants, qu’en tant que ministre de l’Économie !

En tout cas, si Merz n’arrive pas à imposer une politique migratoire que les Allemands demandent, ce futur gouvernement ne tiendra pas 4 ans et ce sera rebelotte pour de nouvelles élections.

En attendant, j’ajoute l’analyse de l’excellent, Alain Falento, qui publiait « FREXIT » aux éditions Résistance Républicaine. Analyse chez nos amis de TOCSIN, qui ne sera pas entendue ailleurs.

h

Et maintenant, qu’allons-nous devenir ?

Sylvia Bourdon 24 février 2025

 22 total views,  22 views today

image_pdf

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*


Soyez le premier à commenter