De l’envoyé spécial Réssitance républicaine à la Maison Blanche
Incroyable ! Le président Trump est revenu sur tous ses décrets, ses décisions et ses déclarations après avoir rencontré notre Macron national lundi à la Maison-Blanche.
Pourtant, tout avait mal commencé pour notre président bien-aimé des agriculteurs français et de leurs bêtes, les vaches surtout.
« On m’a rapporté de quoi tu veux me parler, l’avait apostrophé Trump après une molle et froide accolade d’accueil. Tu l’as annoncé urbi et orbi sur les réseaux sociaux. Je ne veux pas te parler. Je n’aurais pas dû te recevoir ».
« Je ne suis pas venu pour te parler, mais pour autre chose, déclara le Macron. Allons dans un endroit discret ».
Il suivit le président américain dans un luxueux bureau adjacent au Bureau ovale (celui d’Elon Musk, certainement) et, là, il lui fit ce pour quoi il avait été mandaté par ses pairs européens : lui tirer les oreilles.
Le tirage des oreilles ne dura que quelques secondes, mais il eut l’effet d’un électrochoc sur Trump qui sembla se réveiller après un lourd coma.
Quelques instants après avoir raccompagné le Macron à la grille de la Maison-Blanche, Trump réunit ses conseillers et principaux ministres pour leur annoncer qu’il avait décidé de ne pas aller à Ryad, qu’il ne voulait plus de réunion avec Poutine et qu’il suspendait toutes conversations avec la Russie sur l’Ukraine en laissant la pleine initiative aux Européens.
Et plus encore, il veut obliger la Russie à reprendre son Alaska refilé aux États-Unis en 1867 et lui faire régler les frais de maintenance et d’entretien engagés par les Américains pour ce territoire depuis son achat.
Le refus par la Russie de reprendre sa camelote de glace sera considéré comme un « Russus belli », a averti le président américain.
Il n’est plus question du canal de Panama, du Golfe du Mexique et du Groenland.
D’autre part, Trump a regretté les mensonges et les accusations qu’il a rapportés contre le brave Zelensky, lui a demandé pardon et s’est engagé à lui payer des dommages et intérêts. Il va le soutenir contre l’envahisseur russe et lui fournir tout l’armement qu’il veut. Libre à l’honnête maître de Kiev de l’utiliser contre les Russes ou de le revendre sur le marché noir pour se faire un peu d’argent de poche. Trump pense également à ériger au valeureux président ukrainien une statue à côté la Statue de la Liberté dans les mêmes dimensions.
Trump n’oublie pas la ravissante épouse du ravissant président ukrainien, Olena Zelenska. Connaissant son faible pour les bijoux Cartier, Trump met à sa disposition toutes les bijouteries Cartier de New York. Elle peut se servir à sa guise autant de fois qu’elle le désire.
Le Macron, qui a accompli sa mission avec éclat, en tirant les oreilles de Trump dans le somptueux bureau du méprisable Elon Musk, estime, à raison, que c’est une double victoire pour lui. Il a puni Trump et Musk en même temps. Un coup de grand maître.
Il sera accueilli en héros le 6 mars prochain à Bruxelles où on lui confiera la présidence du sommet extraordinaire sur l’Ukraine.
Les Français peuvent être fiers de leur président. Si sa médiocrité est renommée, fait la réputation de la France dans le monde entier et attire plus de touristes que la Tour Eiffel, le Macron peut aussi se révéler un fin diplomate quand il reçoit ses hôtes en se tenant debout sur le perron de l’Élysée.
Le problème est, qu’après le perron, il se met à ramper.
Le Macron est un ver rampant qui rêve de grandeur.
Il voit une victoire là où il est massacré.
Il n’y peut rien. C’est sa nature.
Messin’Issa
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l’ironie de ce titre n’est pas adroite car les lecteurs trop pressés ne la comprendront pas. Moi même , j’ai craint le pire en lisant le titre avant de lire l’article… perte de temps
c est une blague ? ou alors le trump lui a fait croire qu il etait ok avec lui !
sinon quel dossier le pervers a menacé de ressortir sur donald ?? question dossier celui a nousquona devrait faire profil bas !
Le tout p’tit Manu m’est apparu ridicule hier soir à la télé.
Assis sur 1/4 du fauteuil comme un gosse alors que Donald occupait le sien pleinement.
Et Trump qui ne parlait que de paix rapide pendant que le micron voulait envoyer des troupes.
J’ai rigolé quand Trump a dit (à peu près) à la presse : merci, nous passons à table !
A-t-il vérifié si le gamin s’était lavé les mains ?
Les humiliations que nous infligent cet arrogant freluquet nuisent a la France et au peuple francais eternels. Je crois en l’Histoire de France. La necessite fera son oeuvre : un chef pour la reconquete.