L’Orgueil et la stupidité maîtres des Destins Européens

L’Orgueil et la stupidité maîtres des Destins Européens

L’orgueil ! C’est lui qui gouverne l’UE aujourd’hui. Un orgueil irrationnel, nourri par l’aveuglement de ceux que l’on qualifie de « politiquement corrects ». J’ajouterais à cet orgueil la lâcheté. Car, comme l’a si justement observé Dietrich Bonhoeffer, il est tout à fait possible d’être à la fois intelligent et profondément stupide. Je ne suis ni psychologue ni psychiatre, mais cela ne m’empêche pas de tenter d’analyser ce fatras nauséabond qu’est devenue l’Union Européenne. Idéologie et déraison s’entrelacent pour mener ce vaisseau à sa perte. Pourtant, contrairement à Bonhoeffer, je dirais qu’il ne s’agit pas seulement de stupidité, mais d’un aveuglement coupable, d’un manque criant d’intelligence dans la prise de décision.

Tout le monde ici s’accorde à constater que l’Union Européenne nous a menés dans une impasse. Mais cette chute ne réside pas uniquement dans une erreur d’appréciation ; elle s’explique par un défaut d’analyse greffée à une idéologie absconse. Nos dirigeants, totalement déconnectés des réalités du terrain, ne semblent pas mesurer l’ampleur des répercussions de leurs choix. Ils ne prennent pas la pleine mesure des souffrances qu’ils infligent, non seulement aux peuples européens, mais à leurs propres enfants.

Ces mêmes dirigeants, dans un accès de rage en écoutant le discours de James David Vance, persévèrent dans leur orgueil, continuant de tordre la réalité à leur convenance. A ce stade ce n’est plus de la stupidité mais de la malveillance ciblée. Qu’ils souffrent dans leur orgueil, dans la splendeur de leurs erreurs. Mais eux, ils n’ont ni compassion ni empathie. Ils ne voient pas les citoyens, surtout les jeunes, sacrifiés sur l’autel de cette folie migratoire. Ces jeunes assassinés, poignardés, égorgés ou tués à coups de machette par des barbares assoiffés de sang, motivés par des croyances primitives et rétrogrades. De simples débris humains, en quête de violence, réclamant le chaos et soutenus indirectement par des Mélanchon et consort.

Aujourd’hui, l’Europe, qui fut autrefois l’épicentre des Lumières et du progrès, voit son héritage de raisonnement et de réflexion scientifique piétiné par des lois barbares imposées par des groupes en quête de domination. La chari’aa, imposée dans certains coins du continent, ne fait qu’ajouter à cette décadence. Et que font les « zélites » de l’UE ? Elles applaudissent. Elles encouragent. Elles célèbrent le voile et l’ignorance, dans un grand tourbillon de publicité, d’illusion et de déni, à cause de gens engoncés, inconsciemment, dans un solipsisme bien étouffant.

La question qui se pose alors est simple : sont-ils responsables de ce qui nous arrive, de ce flot de violences inouïes qui ensanglante les rues et les esprits ? Oui ! mille fois oui. Ces dirigeants nous montrent des jeunes mutilés, égorgés, tués de manière atroce. Et pourtant, leur politique migratoire ne faiblit pas. Qui les paye ? Ce sont ces fonds venus des pétromonarchies qui circulent discrètement dans certaines poches. Ils vendent leurs peuples pour leur confort, pour leur bien-être personnel, pour leur jabot, tout en détournant les yeux de la misère et l’insécurité qui s’installe à nos portes.

Mais le tableau n’est pas aussi sombre qu’il n’y paraît. Oui, la route a été longue et semée d’embûches, mais au cœur de cette tourmente, une lueur d’espoir pourrait naître. Parce que l’histoire ne se fait pas dans les bureaux dorés de Bruxelles ni dans les salons des élites mondiales. Non, elle se fait dans les rues, dans le cœur des peuples qui ne cèdent pas à la résignation. Ces jeunes, ces citoyens qui voient à travers le voile de l’illusion et qui, malgré tout, continuent de croire en une autre Europe : une Europe fondée sur la solidarité réelle, sur l’accueil intelligent et non sur la démagogie et le totalitarisme.

La véritable force réside dans la capacité de chacun à remettre en question la direction imposée. La résilience des peuples, la détermination à reconstruire un avenir commun fondé sur les valeurs de liberté, de justice et de respect des différences, voilà ce qui pourrait enfin redonner à l’Europe la place qui lui revient. En somme, ses valeurs passées.

Mme Von der Leyen roule pour qui ? Qui est-elle en réalité si ce n’est le reflet d’une Europe aveugle et soumise, et surtout corrompue? Mais peut-être qu’un jour, face à cette montée de conscience collective, les véritables leçons s’imposeront d’elles-mêmes. L’Europe des Lumières, l’Europe des droits humains, pourrait renaître non pas de l’orgueil des dirigeants, mais de la dignité retrouvée de ses peuples. Unis dans la quête de sens, unis dans la volonté d’écrire une histoire débarrassée de toute idéologie malfaisante.

Mais une chose est sûre, tout comme dans le film magnifique « Dont look up : Déni cosmique» du réalisateur Adam Mckay, Mme Von der Leyen, vous serez dévorée par le « Brontéroque » vous et vos semblables que vous avez nourris, tout comme la présidente, dans ce film révélateur.

Et ainsi, peut-être qu’au bout du chemin, cette Europe du renouveau pourra un jour être celle de la réconciliation, de la compréhension, et de la paix retrouvée.

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