Les mahométans les ont envahis en l’an 711 de notre ère. Jusqu’en 1756, ils ont brûlé leurs villes, volé leurs récoltes et leur cheptel, décapité des millions de paysans et de citadins, emmené leurs femmes et enfants en esclavage. Ils ont détruit leurs temples, brûlé leurs ouvrages sacrés, fracassé leurs statues et tout ce qui rappelait leur ancienne splendeur.
Des exactions qui seront contenues à partir du XVIIe siècle, lorsque une reconquête venue du Sud infligera des défaites aux mahométans et les obligera à composer, créant le premier embryon d’empire hindou, en faisant reculer Mohamad Orang Zob qui se disait « maître de l’univers ». Après Allakbar tout de même…
Maintenant que les Indiens ont repris en main leur destin, les coraniques se plaignent d’être persécutés et ont le culot d’exiger que leurs ennemis héréditaires leur demandent pardon. Et avec une fourberie illimitée, ils incluent les chrétiens dans leurs récriminations. Sans préciser que seuls les cathos sont concernés depuis que leurs papes fricotent avec les muftis. Les amis de nos ennemis sont aussi nos ennemis.
Les attentats commencés dès la partition (1947) se sont multipliés partout depuis le début du millénaire
3 janvier 2000, une bombe explose sur un marché de Srinagar (Cachemire) faisant 18 morts. Le 20 février, 25 policiers sont assassinés dans l’État du Madhya Pradesh (centre) par les moudjahidines.
1er octobre 2001, une voiture piégée par des djihadistes contre le parlement du Cachemire fait 38 morts. Le 13 décembre, une attaque contre le parlement fédéral de l’Inde à New Delhi en fait 14.
14 mai 2002, 35 personnes sont tuées dans l’attaque d’un bus dans la région de Jammu. Cette attentat conduit l’Inde et le Pakistan au bord d’une troisième guerre. Le 19 novembre, une bombe fait 14 morts dans l’État d’Andhra Pradesh au Sud-Est de l’Inde.
13 mars 2003, un attentat à la bombe contre un train fait onze morts et 65 blessés dans une gare de Bombay. Le « Mouvement des étudiants islamiques de l’Inde » s’en glorifie.
25 août 2004, 52 morts et plus de 150 blessés dans deux attentats aux taxis piégés à Bombay sont revendiqués par le « Groupe de vengeance des musulmans de Gujarat ». Et le 2 octobre, 29 personnes sont tuées et 93 blessées lors de quatre attentats à la bombe dans la région de Delhi.
28 juillet 2005, on compte douze morts et 65 blessés dans l’explosion d’une bombe placée au nom d’Allakbar dans le train Patna-Delhi, à 190 km à l’est de Lucknow que Wikimerdia considère comme un fief du pédoprophète, alors que ses adeptes n’y sont que 20 %.
Le 4 septembre, 23 soldats indiens sont tués dans un attentat à l’explosif dans l’État de Chhattisgarh Nord Est, et le 8 octobre, 12 policiers sont tués et 20 autres blessés dans l’explosion de paquets piégés dans l’État du Jharkhand (également Nord-Est).
25 et 26 juillet 2008, huit bombes explosent à Bangalore, capitale informatique de l’Inde, faisant deux morts et une douzaine de blessés. Le lendemain, une série de 17 explosions tue 49 personnes et fait au moins 180 blessés en l’espace d’une heure et demie à Ahmedabad, dans le Gujarat frontalier du Pakistan. Les bombes, remplies de boulons et d’écrous, visaient des marchés, des écoles et des hôpitaux. On attend toujours la réaction de la CPI.
Du 26 au 29 novembre 2008, dix attaques terroristes coordonnées autour de Bombay font 175 morts et 312 blessés civils. Les crimes sont revendiqués par des moudjahidines, venus du Pakistan, « reprendre leur Inde musulmane » (sic). On attend toujours la condamnation de la CPI.
Depuis, les forces de police se sont réorganisées et ont appris à infiltrer les mouvements terroristes. Il y a toujours des assassinats d’une ou deux personnes ici et là, mais moins d’attentats de masse, parce que les forces spéciales éliminent les serpents dans l’œuf. Les activistes mahométans se disent alors brimés, discriminés, ils ne peuvent plus aller où ils veulent sans être contrôlés, leurs organisations sont surveillées et leurs repaires démantelés.
Il n’y a pas qu’à Gaza où les pourritures de l’ONU, des ONG et les progressistes du NWO se rangent du côté des djihadistes
Les bombes dans les lieux publics, les massacres dans les gares et les hôtels, les pèlerins fauchés par la mitraille, les temples dynamités, les assassinats perpétrés par des « Pakistanais » sont excusés par les belles âmes. Qui dénoncent sans vergogne « les discours de haine » à l’encontre des mahométans et les actions répressives menées par le Bharatiya Janata Party (BJP), le parti de Narendra Modi au pouvoir depuis mai 2014, triomphalement réélu en 2019, et un peu moins bien l’an dernier mais avec une majorité qui ferait rêver Macronescu.
Les Hindouistes représentent 80 % de la population, mais une minorité honnie depuis des siècles, bénéficiant d’appuis et de capitaux étrangers, prétend dicter sa loi aux élus de la Nation indienne. Mais ils se trompent de pays. L’Union Indienne n’est pas le Francistan.
Conformément à la rhétorique qui a cours en Chine, en Birmanie, en Afrique, en Europe, en Orient, lorsque la répression suit les attentats, les pleurnicheries abondent. Modi a osé qualifier les mahométans de « cinquième colonne et d’indésirables », et les a invités à rejoindre leurs frères du Pakistan et du Bangla Desh. Les « humanistes à sens unique » sont plus indignés par ces propos que par les monceaux de cadavres.
Le nombre d’incidents « liés à la haine visant les mahométans » est passé de 668 en 2023 à 1 165 en 2024. C’est peu pour une population d’un milliard et demi d’habitants. Les Français 22 fois moins nombreux ont subi en 2024 175.200 agressions à la personne dans la rue, soit une toutes les 3 minutes. Mais les assaillants n’auront pas notre haine puisque on déconseille aux victimes de se plaindre et on ne condamne pas les coupables.
Dans l’Inde de Modi, ça ne se passe pas comme ça. Les nationalistes hindous ne se contentent pas de multiplier les appels à la reconquête et à reprendre les sites religieux et les quartiers que les musulmans leur avaient confisqué. Ils les en délogent manu militari.
Lorsque à New-Delhi, des gangs de coraniques ont voulu orchestrer des émeutes comme en Europe, leurs immeubles, commerces et mosquées ont été passés au bulldozer ou à la pelleteuse. Les individus coupables d’agressions furent débusqués dans leurs cachettes, et tabassés avant d’être remis à la police. Contre ceux qui ont fait usage d’armes à feu, les forces de l’ordre ont répondu de la même manière.
En Inde, la préférence nationale et culturelle est légitime
En mars 2024, le Parlement indien a voté une loi sur la nationalité, dont un des amendements prévoit d’autoriser la naturalisation des immigrés venus de pays voisins, à condition qu’ils ne soient pas musulmans. Un autre article dispose qu’on limitera le nombre des autorisations administratives pour ériger de nouvelles mosquées. Celles qui existent devront être transparentes sur leurs finances.
Les Indiens défendent l’idéologie de l’Hindutva qui veut renforcer l’hindouisme. Un symbole fort : Avant Modi, les Premiers ministres indiens célébraient la fin du ramadan avec des mahométans. Narendra a cessé de le faire. Les belles âmes le lui reprochent comme s’il avait violé la constitution.
Les donneurs de leçons pleurnichent à l’unisson avec les coraniques. « L’objectif de cette loi est de faire comprendre aux musulmans qu’ils ne sont pas les bienvenus en Inde » déplore une intellectuelle française, LFI maquée à un imam. Découvrant avec horreur que les Indiens infligent à leurs ennemis ce qu’ils ont subi depuis 1300 ans en pire.
L’histoire de l’Inde devrait instruire nos chers compatriotes, nous avons tant de points communs
Les Indiens étaient comme les Gaulois. D’incorrigibles querelleurs. Avec des castes de prêtres, de marchands, d’artistes et de bonimenteurs s’opposant les unes aux autres, et des rajahs et maharajahs se prenant pour des demi-dieux, incapables de s’unir contre un ennemi commun. Divisés en centaines de chefferies affiliées à des oligarchies fragilisées par des alliances éphémères et des guerres harassantes. Tandis que l’hindouisme, le bouddhisme et le jaïnisme oubliaient leurs points communs pour se disperser en de multiples sectes. Incapables de résister ensemble à une religion conquérante qui voulait les éliminer.
Les Indo-européens du Penjab appelés Aryan en sanskrit, étaient comme les Français aujourd’hui. Héritiers d’une ancienne civilisation qui fut glorieuse, mais avait sombré dans la débauche, la lâcheté et la corruption. Avec des dirigeants décadents prêts à se vendre aux conquérants pour avoir le douteux privilège de les servir.
Christian Navis
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Merci pour ce bel article qui nous apprend sur l’Inde.
Si les traitres ne sévissaient pas partout, l’islam ne pourrait pas se développer aussi vite.
Bravo, excellent.
« des coraniques » ?!
« coranique » est un adjectif, il n’est pas très compréhensible de l’utiliser pour désigner des personnes. Je comprend par contre que vous trouviez le terme « musulman » trop éloigné du coran, source des problèmes que posent systématiquement les adeptes du coran. Il existe pourtant un mot bien plus adéquat que « les coraniques », un mot désuet parce que justement nous l’avons oublié après avoir écrasés les musulmans appliquant le coran.
REMETTONS CE MOT DESUET AU GOUT DU JOUR car il désigne parfaitement nos ennemis, les musulmans qui profitent de notre amnésie historique.
Ce mot c’est MAHOMETAN.
C’est à dire un musulman qui se comporte comme la racaille que fut Mahomet.
Halte à « intégriste », « fondamentaliste » ou autre « taliban », le seul mot qui les désigne tous parfaitement c’est MAHOMETAN.
https://www.linternaute.fr/dictionnaire/fr/definition/mahometan/
Fourberie et hypocrisie le terreaux de la secte islamique. Jamais de remise en question, toujours la victimisation à outrance ,quand ces mêmes commettent les pires atrocités à peine dénoncées par l ‘ oumma qui se pense une communauté juste et ultra religieuse.
Au nom de ceux et de celles qui ont subi l’invasion musulmane jusqu’à Poitiers, invasion jugulée en 732, j’exige la repentance des descendants de ces envahisseurs qui ont tué et pillé.