Guerre de cultures : combien de nos jeunes vont-ils encore être poignardés par d’autres ?

Encore la mort d’une enfant, cette fois il s’agit de Louise, 11 ans, ayant reçu plusieurs blessures par arme blanche ! Qui peut bien avoir porté les coups ?
Si nous nous en tenons aux agressions ayant précédé ce drame (puisque  tant que l’agresseur de Louise ne sera pas retrouvé, nous ne pouvons inclure ce drame dans cette réflexion) sur les trop nombreuses victimes d’agressions au couteau -que l’on devrait plutôt qualifier de « poignard » en raison de leur lame se terminant en pointe et souvent très acérée !-, agressions perpétrées ces dernières années, tout le monde constatera que la quasi totalité des victimes, la plupart encore en pleine adolescence, était, disons, d’une certaine culture et que leurs agresseurs, également souvent aussi jeunes, étaient, eux -vous me comprendrez…- d’une autre culture, à savoir celle qui enseigne et recommande l’utilisation d’une arme blanche comme moyen de défense.

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.Mais que d’autres, même s’ils sont minoritaires au sein des gens partisans du port d’un poignard- utilisent cette arme blanche, eux, comme arme d’attaque sachant très bien que les jeunes de NOTRE culture, eux, n’ont ni l’habitude, ni même été éduqués à porter sur eux une arme quelconque et donc pas du tout ce type d’arme entrant dans la catégorie des « armes banches ».

Même le NouvelObs qui ne passe pas pour un organe d’extrrrêêêm’ drrroioioit’, avait titré en juin dernier :
« Les jeunes et la « culture du couteau » :
« Celui qui porte le coup est valorisé, c’est celui qui fait le truc de ouf »

D’ailleurs, pourquoi qualifie-t-on d’arme… « blanche » tout « objet tranchant, perforant, brisant ou contondant utilisé par la force humaine », comme le rappelle le site Ça m’intéresse ?


« Dans l’ancien français, le sens du mot « blanc » se rapprochait de ce qui était brillant. Une arme bien entretenue était une lame fabriquée en acier blanc. C’est le cas de la fameuse épée Excalibur dans la légende du roi Arthur. A contrario, une arme fabriquée en métal doré ou en bronze était considérée en piteux état, voire inutilisable. Aujourd’hui, l’expression « arme blanche » désigne une catégorie d’armes à part entière par opposition aux armes à feu telles qu’un fusil de chasse et aux matières explosives. Les couteaux, les épées, les armes de mêlée munies de lames et les armes de jet ne nécessitant pas de poudre entrent dans la catégorie des armes blanches. » (1)
Et c’est une évidence : nous, judéo-chrétiens, dans notre culture qui a évolué évidemment depuis l’époque des Croisés, l’utilisation d’un couteau en dehors de l’art culinaire et de la bonne tenue à table, n’entre pas dans l’éducation d’un ado pour se défendre et, surtout pas, comme cela a été constaté, le port d’un couteau par des élèves d écoles primaires ! 
Comment des gamins de moins de dix ans peuvent-ils avoir, dans leur cartable donc à portée de leurs mains, une arme blanche ?

Personne ne les empêche d’être porteur d’un couteau ! Ni leurs parents surtout et avant tout, ni aucun personnel de l’éducation nationale, car souvent leurs responsables… ne veulent pas faire de vague en acceptant de contrôler ce que des élèves de moins de 10 ans apportent jusqu’au sein de leur établissement scolaire ???

Et ainsi, un gamin peut, dans un coup de colère, en quelques secondes, empoigner son couteau et le planter dans son copain ou sa copine, peut-être sans même se rendre compte de la gravité de son geste. 
Il en est ainsi dans la tête de certains pour lesquels seule la vengeance a droit de vie ou de mort sur l’autre même pour des broutilles.
Ah, l’honneur, dans certaines cultures, quel… déshonneur !!!

Ce qui -et je m’en félicite- n’est pas enseigné dans notre culture.
Mais, pour d’autres cultures, c’est cette loi qui prime…
Et M. Mélenchon ne l’a pas encore compris : si…
-pourvu que la France en reste à un « si » !- si arrivait le « grand remplacement » que le responsable LFI appelle de ses voeux -voire du plus profond de ses tripes… électorales !-, lui-même pourrait passer à la casserole en raison de cette « justice » réglée au fil non de l’épée mais du poignard… Notre cher Jean-Luc aurait-il oublié le sort qui fut réservé -par leurs… « amis » !- à certains… Révolutionnaires ?
Maximilien Robespierre, Georges Danton, Camille Desmoulins passés, eux, déjà par le fil d’un couteau, disons d’un grand couteau !…

Que ce soit durant la Révolution Française de 1789 ou l’Involution macronienne de 2017…
– selon le Robert, « l’involution est le développement inverse de l’évolution »-

…mener un combat contre la France qu’elle fut royaliste, ou qu’elle soit républicaine, ne garantit pas de rester en vie surtout en raison de… « grands remplaçants » qui devraient être pourtant, M. Mélenchon, vos… « amis » !

Jacques MARTINEZ, journaliste, 
à RTL, de stagiaire à chef d’édition des informations de nuit (1967-2001), pigiste à l’AFP, le FIGARO, le PARISIEN…

-(1) Site Ça m’intéresse sur les « Armes blanches » :
https://www.caminteresse.fr//culture/pourquoi-parle-t-on-darme-blanche-11192172//
« Par définition, une arme blanche est tranchante, brisante et perforante. Les couteaux et les poignards en sont les exemples les plus évidents. Les sabres, les épées, les hallebardes, les glaives, les faucilles et autres objets historiques sont aussi considérés comme des armes blanches dans le langage commun. Ces objets de collection sont soumis à une autorisation. Il existe aussi les armes blanches cachées comme les cannes-épées. Une arme blanche peut également être contondante, c’est-à-dire avoir pour but de porter des coups sans trancher. Un poing américain, une matraque, un gourdin, un carreau d’arbalète ou encore un projecteur hypodermique font partie de la classe « arme blanche catégorie D ». »
Les armes blanches de la catégorie D « peuvent être achetées et détenues librement. En revanche, leur port et leur transport sont soumis à des restrictions. Il est interdit de se rendre dans un espace public tel qu’un centre commercial avec une arme blanche. » Le possesseur « s’expose à un an de prison et 15000 euros d’amende. »
Armes blanches autorisées en France :
« Les couteaux de table, les couteaux de cuisine et les couteaux de poche avec une lame de moins de 7 centimètres. »

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