Conversion forcée d’une jeune Chinoise au Pakistan, « Jessica » devient « Saira Khatoon »

A gauche, le sinistre religieux pakistanais Mian Mithu à nouveau dans l’actualité, à droite son nouveau trophée

Conversion forcée d’une jeune chinoise au Pakistan, « Jessica » devient « Saira Khatoon »

TV9hindi

Newscrab

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Pakistan, Ghotki.

Dr Miss Jessica, 25 ans, jeune Chinoise, a été convertie de force à l’islam. 

La psychologue chinoise Dr Jessica, qui étudiait les conséquences psychologiques des atrocités commises sur les femmes et les enfants chiites et pachtounes au Pakistan, a été kidnappée, agressée et forcée de se convertir à l’islam.

 Jessica est arrivée au Bharchundi Sharif Dargah à Daharki, au Pakistan, où elle a été obligée d’accepter l’islam. Mian Mithu lui a fait  réciter le Kalma. Après sa conversion, elle a reçu le nom islamique de Saira Khatoon (source : Mahesh Basu, un militant des droits de l’homme pour les hindous au Pakistan).

L’ambassade de Chine au Pakistan exige des réponses du Premier ministre Shehbaz Sharif. Cette situation suscite de graves inquiétudes quant à la sécurité et aux droits de l’homme dans la région.

A droite,  le Pakistanais Mian Mithu : ce maulvi (« érudit ») bénéficie du soutien de l’État. A gauche, Imran Khan,
Ancien Premier ministre du Pakistan

Mian Mitthu est un religieux notoire  qui dirige une « usine de conversion » au Pakistan

Mian Mithu. Mian Mithu est le cerveau de l’usine de conversion du Pakistan, il s’est vanté à plusieurs reprises d’avoir converti des milliers de filles. 

Il est également connu pour avoir dirigé des foules violentes qui ont détruit des temples hindous.

Mian Mitthu a remis le certificat numéro 25 à la Chinoise Jessica. Cela signifie que 25 personnes ont été converties à ce jour.

Pour se rendre compte des sévices de cet ogre, voici un autre cas, parmi des milliers, celui de la jeune hindoue Simran Kumari : 

La famille de Mian Mithu, dans le Sindh, au Pakistan, a une fois de plus déchiré le fragile tissu de l’humanité en emmenant et en convertissant de force Simran Kumari. Cette jeune fille pleine de rêves et d’innocence a été entraînée dans un cauchemar trop cruel pour être décrit avec des mots.
Soumise à des tortures incessantes et à des atrocités innommables, Simran est désormais cachée sous une burqa, son identité effacée, sa liberté volée. Elle est enceinte et souffre dans un silence inimaginable, tandis que le monde détourne le regard. Ses cris sont enfouis dans une obscurité si profonde que même l’espoir n’ose y pénétrer.
https://www.instagram.com/nikhilchandwani/reel/DCbJmK7iJiZ/

Une  organisation qui vient en aide aux femmes victimes de conversion forcée raconte : « L’homme en question, Mia Mitthu, est un monstre qui aurait converti de force plus de 10 000 jeunes filles hindoues. Nous avons contesté ces conversions forcées au niveau des Nations unies, mais rien ne s’est passé ».

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Turquie : un journal financé par Erdogan  salue le meurtre du brûleur de Coran : « Brûle en enfer, Momika ».

 

Nordic Monitor

Peu après l’annonce de la mort de Momika, Takvim, un tabloïd contrôlé par la famille du président turc Recep Tayyip Erdogan, a titré « Brûle en enfer, Momika » et a mis en évidence les mots « Tik-Tak » – une expression semblant imiter le son d’un coup de feu, semblable à « bang bang » – à côté d’un dessin d’arme à feu.

Yeni Şafak, un autre journal pro-gouvernemental, a annoncé sa mort en titrant « La fin d’une crapule ».

De son côté, Yeni Akit, une publication qui reçoit d’importantes recettes publicitaires d’entreprises publiques telles que Turkish Airlines, Halkbank et Turkcell, a rapporté l’assassinat en utilisant une expression arabe couramment utilisée par les islamistes, inspirée d’un verset du Coran et se traduisant approximativement par « Que ton chemin mène en enfer ».

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Les talibans construisent frénétiquement des « écoles  djihadistes »…

Shiawaves

Le Centre afghan des droits de l’homme a signalé une forte augmentation de la construction d’écoles (madrassas) djihadistes sous le régime des talibans, exprimant des inquiétudes quant à leur impact à long terme sur la jeunesse du pays. Le rapport de 30 pages souligne que ces institutions servent à consolider le pouvoir tout en remodelant le système éducatif afghan.

Selon le rapport, le ministère de l’éducation des Talibans a alloué des ressources considérables aux madrassas religieuses jihadistes, avec plus de 21 000 écoles de ce type construites rien qu’en 2023. En revanche, seules 106 écoles ordinaires ont été construites au cours de la même période. Chaque province accueille aujourd’hui au moins une madrassa de grande envergure, qui peut accueillir jusqu’à 2 000 élèves dans des installations complètes.

Ces écoles dispensent principalement un enseignement sur la jurisprudence islamique, la guerre idéologique, l’interprétation des textes religieux et la gouvernance sous le régime taliban. Le rapport indique que les étudiants reçoivent une formation en études coraniques et sur le livre  Sahih al-Bukhari, tout en étant encouragés à adopter un état d’esprit militant. La plupart des madrassas sont dirigées par des instructeurs masculins et leur financement proviendrait de donateurs internationaux, notamment de riches nations arabes.

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5 Commentaires

    • Aussi loin que je peux remonter , le premier sentiment me venant à l’esprit concernant cette secte maléfique est de l’effroi .