Ofek Miller et la casquette de baseball qui lui a sauvé la vie
Témoignage incroyable d’Ofek Miller, blessé la semaine dernière lors de l’attaque terroriste à Tel Aviv et sauvé en partie grâce à … une casquette empruntée une seconde avant à un ami !
La vie tient à si peu de choses …
Ofek Miller était debout et discutait avec des amis dans la rue. Juste avant que l’agresseur ne le frappe à la tête avec un couteau, il a pris la casquette de baseball d’un de ses amis et l’a mise à l’envers, un geste qui a probablement évité une blessure beaucoup plus grave.
« J’ai été poignardé lors de l’attaque terroriste, un évènement traumatisant qui m’a fait comprendre que la vie est un cadeau », raconte Ofek.
« Juste avant que cela n’arrive, grâce à la protection divine, j’ai pris la casquette de mon ami et je l’ai mise à l’envers. C’était une petite décision, mais qui a changé ma vie. Ma vie a été sauvée à la dernière seconde, ou comme je n’arrête pas de le dire la semaine dernière : une seconde ici ou un centimètre là. »
Deux autres personnes ont été légèrement blessées dans l’attaque. Le terroriste, un citoyen américano-marocain entré en Israël avec un visa touristique, a été abattu par une femme civile.
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Merci à la casquette et surtout Bravo à la personne qui a abattu le terroriste.
Dire que je n’aime pas les casquettes, que je suis très moche avec… mais j’en ai porté une, exceptionnellement, avec « Ben voyons » au Trocadéro…
Abattu par une femme, le comble de l’horreur pour un mahométan : il n’ira pas coïter avec 72 vierges au paradis d’allah.
Donald Trump qui bouge d’un centimètre juste avant que la balle destinée à le tuer lui fasse exploser la tête… Ofek Miller qui met une casquette à l’envers juste avant que le couteau destiné à se planter dans son cou ne l’égorge… Comme dit (de mémoire) Casanova (qui a introduit le loto en France) : « Je connais les mathématiques des probabilités mais malgré cela il y a eu dans ma vie tant d’enchaînements d’événements si improbables que je suis parfois presque tenté de croire en dieu. »
voilà comment doivent vivre les descendants des rescapés de la shoah : auront-ils enfin la paix sur leurs ancestrales ?
Un américain de papier
Et alors ?
Une absolue Synchronicité !
Le destin n’est pas toujours cruel, la preuve.
Merci Jules pour cet article. Personne n’en a parlé. La vie ne tient parfois qu’à un fil ou une casquette.