Quousque tandem abutere, Algéria, patientia nostra ?
Juvénal de Lyon
En plein conflit diplomatique, la dette de l’Algérie vis-à-vis des hôpitaux français ne fait qu’assombrir les relations entre Paris et Alger. Comme l’a appris l’Opinion d’une source proche du dossier, lundi 20 janvier, les factures impayées laissées par des patients algériens, détenteurs d’un simple visa touristique ou diplomatique, ont atteint les 44,9 millions d’euros en 2023 seulement pour l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP).
Tout en refusant de fournir l’information à l’Opinion, l’AP-HP compterait un déficit de 460 millions en 2024.
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Un rapport du Sénat datant de 2017 confirmait déjà la venue régulière de ces patients algériens. Pourtant, leurs maladies, parfois lourdes, « ne sont pas prises en charge par l’assurance exigée pour l’obtention de leur visa, celles-ci étant préexistantes à leur venue en France », confirmait le document relayé par l’Opinion.
Pour des raisons déontologiques, voire humanitaires, ils sont toutefois soignés en France malgré « des risques d’impayés ».
Des personnalités, détentrices d’un passeport diplomatique, laissent également des factures salées après leur rendez-vous avec de grands patrons de services hospitaliers français.
Un membre du consulat algérien avait par exemple laissé une facture impayée de 30 000 euros à Lille.
Des pourparlers difficiles entre Paris et Alger
Si un protocole lié aux soins de santé est en vigueur depuis 1982, le remboursement des créances est parfois laborieux.
Les assurances privées contractées refusent de rembourser certains traitements, alors que la jurisprudence administrative française est favorable à fournir des soins sans condition. Ces impayés font ainsi partie des sujets de discussions entre Paris et Alger.
« Les pourparlers ont été difficiles, Alger nous répondant qu’il appartenait à la France de refuser les patients qui ne sont pas pris en charge », a confié à l’Opinion Martin Hirsch, à l’époque directeur général de l’AP-HP.
L’ancien ambassadeur de France en Algérie, Xavier Driencourt, a confirmé ces négociations annuelles entre les deux pays. « Un diplomate algérien m’avait même dit : “Votre charité chrétienne vous perdra” », a-t-il soufflé auprès du quotidien.
Le sujet est « à mettre sur la table » pour l’entourage de Bruno Retailleau, même si les ministères de la Santé ou des Affaires étrangères ne semblent pas du même avis.
Juvénal de Lyon
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Faut couper les ponts avec ce pays de merde. Marre de se faire humilié. Fermer les frontières, et qu’ils restent chez eux, ils peuvent se soigner avec la pisse de chamelle si ils veulent. Mais pour ça faut des couilles et nos dirigeants en ont pas.
La meilleure: Rachida, enceinte jusqu’aux yeux, vient en vacances chez sa sœur ou sa belle-soeur Karima. Prise de douleurs, elle est hospitalisée et accouche d’un petit Farid: Bingo! Un nouveau citoyen français. Pas belle le vie en Francarabia?
Suffit d’aller faire un tour à Orly-sud. Ça débarque à plein Airbus pour accoucher à paris, et ça ne date pas d’hier !
Et nous on couche sur un brancard dans les couloirs faute de place et de moyen , merci a nos nuls pour avoir toléré ça , dehors de notre société tous ces vendus car c’est la seule explication si il en avait une autre ils nous l’auraient dit depuis longtemps .
Je précise: vous attendez le dimanche après-midi. Dont acte.
Chaque année, l’AP-HP appelle cela « créances irrécouvrables*. Qui, d’un trait de plumes, par décision politique, sont effacées.Je vous donne le truc pour être hospitalisé sans payer un euro: vous attendez après-midi, le moment où le personnel est moins nombreux. Vous êtes sûr d’être examine par un médecin, c’est la règle. Comme vous avez une pathologie contagieuse, comme le sida par exemple, l’on ne vous laissera pas repartir dans la nature because risque de contamination. Lundi matin, l’équipe médicale au complet, chef de service en tête, décidera de vous hospitaliser. Précision: le prix de journée en médecine, je dis bien prix pour une journée d’hospitalisation est de 1.700 euros. Oui, vous avez bien lu, 1700 euros pour une seule journée d’hospitalisation. Pour un mois, faites le compte. En revanche, le Français de France, qui, lui, a bossé toute sa vie et qui n’a pas de mutuelle, because ses revenus modestes, paiera plein pot le ticket modérateur. Bienvenue en Francarabia. Y’a bon les hôpitaux du colonisateur!
« Pour des raisons déontologiques, voire humanitaires, ils sont toutefois soignés en France malgré « des risques d’impayés ». »
Euh, c’est le médecin qui n’est pas payé…………..Ben, non, couillon, c’est toi, contribuable français, qui paye…..
Dites çà à certains médecins « pétris d’humanité », ils vous diront que vous n’êtes qu’un petit comptable.
Au US, c’est l’empreinte de la carte bleue d’abord.
Simple…l’aide au développement amputée de la facture à régler. Systéme applicable aux autres contentieux.
Il y a de l’argent à récupérer au lieu de taxer les Français. Je serais président je refuserais que ces salopards se fasse soigner chez nous. En plus des fausses cartes vitales dont on sait d’où elles proviennent.
En somme, les francais payent pour se faire cracher à la gueule un peu comme l’ Auguste dans le numero de cirque qui recoit des tartes à la creme ou des seaux de flotte mais qui n’est pas plus rancunier pour autant.
le pire est que nos compatriotes , de par leur vote ou absence de vote, semblent en redemander !