Forcé de créer 250 logements sociaux, le maire de Châteauneuf-sur-Isère démissionne

« Je ne veux pas être le fossoyeur de ma commune », déclare Frédéric Vassy.

Cette décision a été prise pour exprimer sa lassitude et sa colère face à la législation qui oblige les communes de Valence Romans Agglo à atteindre la part de 25% de logements sociaux sur leur territoire en 2025 (pour Châteauneuf, l’échéance a été rallongée jusqu’en 2030). L’idée n’est pas de s’opposer à la création de logements sociaux mais de dénoncer l’impossibilité de les construire. « Nous avons 4000 habitants mais moins de la moitié réside dans le centre urbanisé, nous avons une population disséminée », détaille Frédéric Vassy.

250 logements en plus d’ici 2030

Selon lui, la proportion semble impossible à tenir dans certaines communes comme Châteauneuf-sur-Isère. La ville en possède déjà 190 mais si la municipalité veut respecter la loi, elle est censée en construire encore 250 d’ici 2030. « Comment voulez-vous que la mixité fonctionne ? Aujourd’hui, il y a 2000 habitants dans le bourg de Châteauneuf, demain il en faudrait 1000 de plus. C’est là que ça ne marche pas », poursuit le maire de la commune.

Frédéric Vassy souhaite une visite du futur ministre du logement, – pas encore nommé par Gabriel Attal-, pour lui présenter les spécificités de sa commune. S’il n’est pas entendu, il l’assure : « il démissionnera »L’association des maires de France soutient l’initiative dans un communiqué : « preuve de l’absurdité de cette règle, l’Etat estime lui-même que 90 % des communes qui sont aujourd’hui carencées en logements sociaux ne pourront pas tenir leurs objectifs pour 2025 ».

L’association des maires de France soutient l’initiative dans un communiqué : « preuve de l’absurdité de cette règle, l’Etat estime lui-même que 90 % des communes qui sont aujourd’hui carencées en logements sociaux ne pourront pas tenir leurs objectifs pour 2025 ».

https://www.francebleu.fr/infos/politique/logements-sociaux-le-maire-chateauneuf-sur-isere-met-sa-demission-dans-la-balance-3651270

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« On marche sur la tête dans ce pays », s’agace Frédéric Vassy, maire de la commune drômoise de Châteauneuf-sur-Isère. La cause de sa colère ? La loi SRU impose 25 % de logements sociaux dans son village. Et on est loin du compte. Frédéric Vassy l’avait annoncé il y a un an lors de ses vœux et a mis sa menace à exécution : il démissionne.

Frédéric Vassy démissionne. Le maire de Châteauneuf-sur-Isère l’avait annoncé il y a un an lors de ses vœux à la population. Si l’obligation de construire 250 logements sociaux sur sa commune pour atteindre le seuil imposé par la loi SRU n’était pas étudiée par l’État, il quitterait ses fonctions en janvier 2025.

Sa demande était la suivante : « Que le ministre du Logement vienne lui-même constater, sur le terrain, que cette obligation est aberrante du fait de nos spécificités. »

Frédéric Vassy démissionne. Le maire de Châteauneuf-sur-Isère l’avait annoncé il y a un an lors de ses vœux à la population. Si l’obligation de construire 250 logements sociaux sur sa commune pour atteindre le seuil imposé par la loi SRU n’était pas étudiée par l’État, il quitterait ses fonctions en janvier 2025.

Sa demande était la suivante : « Que le ministre du Logement vienne lui-même constater, sur le terrain, que cette obligation est aberrante du fait de nos spécificités. »

Les arguments du maire n’ont pas changé d’un iota depuis son élection en 2014. Châteauneuf-sur-Isère se situe entre Romans-sur-Isère, Valence et Tain…
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13 Commentaires

  1. Si tous les maires faisaient ça, certains salauds qui nous gouvernent réfléchiraient à deux fois.
    Le rôle de maire n’est pas facile, et la législation faite par des hors-sol incompétents, leur rend la tâche plus difficile.
    De plus, on a compris aujourd’hui que, quand la gauche dit « ‘logements sociaux », il faut interpréter « logements à nidification allogènes.

  2. Plus il y a de jeunes et de vieux cons incompétents, irresponsables et prétentieux dans les fonctions publique nationale et même locale, plus on s’enfonce dans une dictature irréversible ou seul un autres dictateur viendra prendre la place pour juger et détruire toute cette racaille qui glande sur les fonds publics. Et malheureusement on peut tourner le problème de la France dans tous les sens il ne reste pas vraiment d’autre issue que la destruction de cette République laïque gauchiste, fainéante et prétentieuse, bien que cela dure depuis la Révolution dans ce pays France.

    • Ah bon ? Il n’y avait pas de fainéants à Versaills vivant de réceptions, de spectacles de tables de jeux sans avoir mêrme jamais épousseté une commode ? Et ils n’étaient pas prétentieux ces petits marquis en carosse pissant derrière les portes, assurés que la plèbe nettoierant sens se révolter leurs ordures, payés, plus que chichement pour ça, sans même avoir l’espoir que leurs propres enfants pourraient sortir de leur condition et devenir à leur tour marquis ? Vous vous fichez du monde.Quant au rôle de l’Eglise qui empêchait tout changement de société et se contentait de dire que c’était la volonté de Dieu et que le paradis les attendrait après leur mort, énorme manipulation, monstrueuses ! Avant le protestantisme ils n’avaient même pas le droit de lire en français les textes sacrés… il faut dire que peu savaient lire, et on sait pourquoi. L’ignorance des uns permet la dictature des autres.

  3. C’est un remplacement délibéré de population par une autre. En d’autres termes un génocide.
    Le camp de concentration est le pays entier, le continent entier/.
    Les directeurs d camp : nos dirigeants. Au pouvoir et fausses oppositions incluses.
    Les matons : nos forces de l’ordre chargées d’appliquer cette lois concentrationnaire.
    Les kapos : l’extrême-gauche et les délinquants étrangers.
    Les pages de Fdesouche sont remplies de quelques uns de leurs exploits.
    Nos dirigeants connaissent, eux, l’étendue exacte de leur crime. Leur crime à eux.

  4. Ce monsieur a tout à fait raison.La construction de logements sociaux prouve que les gens qui nous envahissent viennent pour des aides sociales et que ce ne sont pas des REFUGIES au sens de la Convention de Genève de 1951 .Fermeture des frontières.

  5. Y aurait-il un T…Duc pour penser à faire des hôpitaux ,écoles ….pour accompagner ces nouveaux « français « ?

  6. A l’échelle du territoire national. Objectif avoué Un quart de la population sera extra européenne Et ce n’est qu’un début . Wouala

    • Et ça se reproduit vite ces petites bêtes. Y’a bon Francarabia! Merci les PPP*

      *PPP: Piètres Politicards Peureux.

  7. comme on le comprend, d’autant plus que l’on sait à qui et à quoi servent les « logements sociaux »

  8. Toutes les cités (ZUP) que j’ai vu se construire depuis les années soixante sont devenues des repères et des repaires pour nos envahisseurs muzz.
    Au départ ces cités étaient prévues pour offrir des logements à nos compatriotes mal logés, en partie à cause des destructions de la guerre.

    En 2 ou 3 générations ces lieux sont devenus des territoires extérieurs qui n’ont plus rien de français.
    Nos ennemis sont dans nos cuisines, dans nos salons. Et dans nos chambres parfois ( pour ne pas dire souvent).

  9. Ou comment islamiser toujours plus vite notre pays pour en faire un pays musulmans. On expulsé pas, on garde bien au chaud des adeptes d’une secte qui veut notre mort. Nos dirigeants tous des gauchos n’aiment pas leur peuple, ni leur pays et veulent le transformer par une population adepte d’un mode de vie à des années lumières de notre civilisation ou des femmes sont bâcher et où des hommes vivent le cul en l’air et la tête enfoncée dans un tapis en priant un dieu satanique qui veut la mort de tous ce qui n’est pas musulman. Quelle honte, nos dirigeants sont des traitres criminels qui ont les mains rouges jusqu’à l’épaule du sang de nos jeunes qui sont déjà tombé sous les coups de couteaux de cette secte maléfique. La destruction de la France s’accélère. Merci le clown psychopathe, pervers narcissique. Je te hais.

  10. Logements sociaux veut dire logements raciaux. On a compris. Francarabia et Francafrica, basta!

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