Elle a été sacrément mauvaise, la Marion, en lisant son beau texte devant la tombe de son grand-père

Aucun souffle, une façon étrange de couper les phrases, les groupes de mots, de ne pas marquer les fins de phrases… lamentable. A tel point que j’ai entendu plusieurs fois des parties de son discours en passant dans la pièce où Pierre travaillait sans la reconnaître ! Les références utilisées, figure imposée de rhétorique, étaient justes, mais comme elles sonnaient faux dans sa bouche…J’aurais pu imaginer que l’émotion, les larmes… hachaient son discours, mais non, ce n’était pas ça…

Certes je ne l’appréciais pas des masses, l’ayant prise plusieurs fois en défaut de travail des dossiers (rien à voir avec la brillante et travailleuse Sarah), au point de la surnommer la gourdasse, (à présent je parle de la traîtresse) mais j’aurais pu applaudir honnêtement si elle avait été bonne

Hélas !   Je crains bien qu’elle n’ait utilisé cette occasion pour  se rappeler aux bons soins des patriotes qui la boudent un peu après les crasses qu’elle a faites à Eric Zemmour. .. Et la maligne (on peut au moins lui accorder cela) de dire haut et fort qu’elle va relever le gant jeté par son grand-père.  Comme si  elle pouvait récupérer son héritage… Pauvre fille, elle fait vraiment pas le poids…

Gageons en plus que la feignasse n’a pas écrit le premier mot du discours… On parie ?

Pour ceux qui n’auraient pas entendu le discours (il faut juste entendre sans regarder), l’orateur est vraiment déplorable. Démosthène s’en retourne dans sa tombe qui avait passé des années à s’exercer avec des cailloux dans la bouche pour lutter contre son bégaiement… Et il est devenu l’un des plus brillants orateurs de toute l’histoire de l’humanité…Mais il bossait, lui…

 

 212 total views,  212 views today

image_pdf

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*


6 Commentaires

  1. Sûr que Sarah est d’une autre trempe ! D’ailleurs Soral, qui sait reconnaitre les personnes de valeur, ne s’y est pas trompé et l’a « tamponnée » bien avant Zemmour (mais sans doute après Louis Sarkozy quand même).

  2. Christine, vous me faites penser aux dégénérés qui dansaient place de la bastille à l’annonce de la mort de JM Le Pen.
    Votre haine vous aveugle.
    La décence et le respect pour la douleur de la famille commande de retenir son fiel.
    Pour cette fois chère Christine, je ne vous comprends pas.

    • Mais c’est votre droit ma chère Mauricette, il ne s’agit pas en l’occurence de haine en soi pour quelqu’un dans une situation douloureuse mais d’une prestation qui se veut politique et qui n’est pas bonne. Ce n’était pas le moment de se faire sa pub.

    • Christine n’a nul besoin d’avocat, c’est donc à mon propre titre que je vous réponds, Mauricette. L’absolu excès de votre commentaire, déjà, est choquant. Les dégénérés de la Bastille, la haine, je trouve que vous êtes vous même dans le débordement. Et pas le moindre ! Il n’y a pas le moindre fiel dans son analyse, mais une finesse pour la chose linguistique qui semble vous avoir échappé. Ressaisissez vous Mauricette, serrons nous plutôt les coudes.

  3. Sincèrement, je n’ai pas été convaincue non plus. Elle est peut-être forte au point de maîtriser parfaitement ses émotions et ne rien laisser transparaître. Pourtant, elle a simplement donné l’impression de vouloir impressionner l’auditeur avec un discours enflammé et ce n’était, ni le lieu, ni la circonstance. Je me suis sentie mal à l’aise, bien que non présente à la cérémoie.

    J’ai de loin été beaucoup plus touchée par celui de prêtre qui, de plus, ne connaissait pas personnellement Jean-Marie le PEN, mais partahe avec lui la fraternité des légionnaires. D’ailleurs, il était très ému.

  4. Bien d’accord avec vous Christine. Finalement qu’elle ait quitté R! est une bonne chose, l’éclairage se portant désormais vers Sarah Knafo qui est plus que brillante.