En octobre dernier, Robin Cotta, 22 ans, est égorgé par son codétenu à la prison des Baumettes. Un rapport d’enquête précise les circonstances de ce drame et met en lumière les dysfonctionnements de l’organisation carcérale dans l’établissement marseillais. Maritima a eu accès au document.
“Il avait prévenu les surveillants que si on le laissait avec quelqu’un, il ferait une dinguerie”. Quelques jours avant la mort du jeune homme de 22 ans, un ancien codétenu d’A.M, son meurtrier, avait alerté sur sa dangerosité. Pourtant, le 9 octobre 2024, en début de soirée, Robin Cotta est violenté puis égorgé dans sa cellule par A.M avec un tesson de bol en porcelaine.
Sinistre ironie de l’histoire l’égorgeur avait clairement prévenu les gardiens de prison : si vous mettez quelqu’un avec moi, je le tue.
Sinistre ironie de l’histoire, le malheureux Robin Cotta a appelé plusieurs fois au secours, demandant à être changé de cellule, prêt, même, dans sa détresse, à être à l’isolement. En vain… Que voulez-vous, on accepte en France et on garde dans ce qui fut NOTRE France, LA France, tous les salopards de la terre… Même en prison, les nôtres ne sont plus prioritaires. Au contraire, dedans ou dehors ils sont offerts en holocauste aux nouveaux conquérants.
L’enquête a révélé qu’à trois reprises, Robin Cotta a écrit pour demander à changer de cellule. Le 9 octobre au matin, il transmet sa dernière lettre où il formule son souhait d’être transféré dans la cellule d’en face.
Les demandes sont reçues, mais aucun rendez-vous avec la direction n’est organisé pour y répondre. Dans le rapport de l’administration pénitentiaire, on apprend que l’officier du quartier d’accueil et d’évaluation a expliqué à Robin qu’il ne pouvait pas être reçu le jour même, mais qu’il le serait le lendemain.
En plus des lettres, Robin va multiplier les demandes via l’interphone de la cellule qui lui permet d’être mis en relation avec les agents pénitentiaires. L’examen des relevés des appels effectués met en lumière un usage important de ce dispositif depuis la cellule 504 entre 16h43 et 19h00.
Des cris sont entendus à l’interphone, mais la personne en charge de les réceptionner estime que ce sont des cris semblables à ceux entendus continuellement et qu’ils ne correspondent pas à un cri au secours. De plus, la mauvaise qualité des échanges compliquerait l’interprétation des appels. Aucune intervention n’est déclenchée.
C’est une affaire abominable qui restera comme une tache indélibile de plus sur Macron, Dupond-Moretti, Darmanin et toute la clique, comme l’atroce mort de Lola, comme celle de Philippine et de tant d’autres malheureuses victimes de l’incurie française, de la préférence étrangère, de la dhimmitude élevée au rang de constitution cachée mais prééminente.
Pauvre Robin Cotta, il était blanc et français, ce qui, en notre pays fait de vous une victime expiatoire. Rien de moins.
Vous connaissez beaucoup de zozos issus de la diversité mis en prison pour avoir dealé, pour avoir empoisonné nos jeunes, pour avoir volé, assommé, brutalisé, menacé ? Par contre un jeune Français qui fait de fausses ordonnances pour se procuer du sirop à la codéine (nécessaire pour faire un cocktail euphorisant) c’est la victime expiatoire désignée pour faire croire qu’il y aurait une justice en France.
Non, il n’y a plus de justice en France. Non, il n’y a plus de France indépendante voulant le bien des siens. Il y a un système gouvernemental lié à Eurabia, vous savez, ce système expliqué par Bat Ye’or « la disparition programmée des peuples européens ». J’y reviendrai bientôt avec une video extraordinaire et claire qui met tout à plat.
En attendant lisez déjà cet article :
En voici un extrait
[…]
Née en 1933, dans son Egypte natale, dont l’armée et de nombreux dirigeants ne dissimulaient pas l’admiration qu’ils vouaient à Hitler, elle a connu les discriminations, les menaces, la déchéance de la nationalité, la spoliation, les humiliations et le départ honteux en 1957 pour Londres avec un passeport Nansen et un statut d’apatride.
Pendant des décennies, elle a fait des recherches dans les archives et les grandes bibliothèques de Londres, Genève, New-York, Paris, etc. pour comprendre ce qui était arrivé à sa famille et à deux millions d’êtres humains.
Elle a alors sorti de l’oubli le statut de dhimmi (officiellement un « protégé », en fait celui à qui la vie sauve est laissée à condition qu’il paie un tribut annuel et qu’il se fasse oublier) et la condition de dhimmi, nommée dhimmitude, qu’elle met en parallèle avec l’esclavage, énonçant ce principe scientifique admirable : « L’histoire des sociétés esclaves ne peut pas être analysée avec les mêmes paramètres que l’histoire des peuples libres ». C’est le djihad, c’est-à-dire la guerre que les musulmans doivent mener pour établir l’islam dans les pays où il n’existe pas et nommés pour cela dar-el-harb (mot à mot « maison de la guerre »), qui définit le dhimmi : ce vaincu, obligé, s’il veut rester en vie, ou de se convertir ou de payer le tribut annuel et de devenir un étranger dans son propre pays.
[…]
Notre destin c’est celui de Bat Ye’Or, c’est celui de tous les non musulmans conquis à l’insu de leur plein gré par les accords internationaux bien pratiques pour conquérir le monde sans armes… Et Robin Cotta est l’une des innombrables victimes de cette conquête qui ne dit pas son nom et que l’on nous interdit de dire, sauf à nous retrouver à la 17ème Chambre…
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Plus j’y pense et plus je crois que c’est un fait exprès par des matons de gauche, qui ont la haine de leurs concitoyens.
Même chose en GB avec Tommy Robinson, mis en prison avec des muzz qui ont bien failli le tuer.
**Les traitres sont parmi nous.
Sans les traitres , les muzz ne seraient rien.
Donc, pendant que les criminels courent, ce jeune Français a été emprisonné pour une bagatelle.
De plus, il a été mis dans la cellule d’un assassin, sans aucune précaution,
***ou pour le faire tuer ????
Il y a des gauchiasses parmi les matons également…
Toujours la même diversité celle qui recycle le pognon de la drogue.
français ont été arrêtés à Patong après une publication virale d’une vidéo les montrant agresser un homme.
La Police de Patong a indiqué que mardi 14 Janvier, deux français, M. Said, 41 ans, et M. Sofiane, 23 ans, se sont présentés au poste de police de Patong. Ils ont avoué être les auteurs de l’agression de la vidéo. Ils ont été inculpés pour agression ayant entraîné des blessures physiques et psychologiques.
M. Said avait engagé M. Aye, un birman de 37 ans, et trois autres birmans pour rénover un restaurant. Quand M. Aye est arrivé en retard au travail, M. Said l’a poursuivi et l’a frappé violemment dans la tête à coups de pieds alors qu’il était au sol.
M. Said a continué à parler agressivement à M. Aye pendant sa journée de travail. M. Aye a dit à ses collègues qu’il ne voulait plus travailler et qu’il voulait rentrer chez lui.
M. Said et son ami ont ensuite attaqué M. Aye avec un objet coupant alors qu’il tentait de fuir.
http://www.phuket.fr
Et voilà, maintenant on sait comment avoir une cellule individuelle et si c’est un Français de souche qui égorge, il est sûr de l’avoir pendant longtemps.
Encore un martyr des quartiers populaires,isole,aliene dans son propre pays,assassine dans cet autre territoire perdu de la republique qu’est la prison,ou regne un regime de type Hamas.Que les juges complices de la dictature progressiste par conviction, cynisme, lachete ou corruption soient juges.
Que Robin Cotta repose en paix.
un agneau parmi les loups et puis pourquoi met ton des non musulmans avec des musulmans dans les cellules ? pourquoi n ont ils pas été séparé ?👺
Sans doute que même les autres musulmans ne voulaient pas être en sa compagnie, parce qu’un caractère de cochon chez un musulman, c’est harâm.
Robin Cotta était condamné à de la prison et non celle de la mort, il a été tué.
L’assassin de Robin Cotta ne sera jamais condamné à mort alors qu’il la mérite.
Si nous ne vivons pas dans un pays de connards alors dans quel pays vivons-nous ???
EURABIA :TÉMOIGNAGE. « Il lui découpe les yeux, la bouche, la carotide », massacré en prison, Sonia se bat pour rendre justice à son fils :
https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/loire/saint-etienne/temoignage-il-lui-decoupe-les-yeux-la-bouche-la-carotide-massacre-en-prison-sonia-se-bat-pour-rendre-justice-a-son-fils-3091795.html
1) Le « codétenu » = Abdelhalim M.(= crime d’égorgement islamique)
2) Et voir article récent de Paco évoquant un Malien condamné à 10 ans de réclusion pour le viol de sa nièce de 13 ans, arrivé en France en 2019, libéré pour cause d’encombrement de la justice !!! https://resistancerepublicaine.com/2025/01/11/gracie-levez-vous/
NIKOUMOK !
Comme vous dites Christine Macron ne fait qu’ajouter de l’horreur à l’horreur .Récit glaçant d’horreur et de froideur !!! .honte à tout ces salopards qui nous livrent pieds et poings lier à la lie de l’humanité sous couvert de vivre ensemble .Repose en paix Robin pauvre martyr ,sacrifié sur l’autel du fric puant .