Et tirer la chasse…

C’est haineux que l’on voit ces algé…bons à rien

envahir la cité comme autant d’acariens…

A dieu ne plaise aurons nous

demain à nous mettre à genoux

et à finir un jour tel des déchétariens ?

PACO. NIKOUMOK !

12/01/2025.

https://www.fdesouche.com/2025/01/12/lyon-dans-un-contexte-tendu-entre-la-france-et-lalgerie-appel-a-une-manifestation-des-algeriens-de-france-pour-debaptiser-la-rue-bugeaud-et-la-renommer-rue-du-17-octobre-1961/

 127 total views,  127 views today

image_pdf

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*


6 Commentaires

  1. Abouzar Begag, ex ministre, le disait clairement: je cite de mémoire . il faut traverser le périphérique , aller chez les descendants de Vercingetorix et y aller comme une nuée de criquets pour que ça devienne irréversible. Ce sinistre sire a filé des jours heureux comme représentant de la France à Lisbonne tout en attisant la haine envers les français.

    • Bonjour Mantalo : appréciation sincère, étant moi-même parfaitement incapable de produire un tel bijou (à moins que j’aie négocié d’être payé à la ligne 😉)

  2. Vous voulez avoir la QUINTESSENCE sur un sujet? Lisez les limericks de Paco.
    La QUINTESSENCE est, dixit le dico, la « Substance subtile, l’aboutissement de tout un processus d’opérations alchimiques, le résultat de distillations successives ». Nécessite donc un sacré talent !

    Tout est là, dans ces quelques lignes. Quel cadeau à chaque fois, je me régale !

    • Je vis ton commentaire Jules, comme un adoubement. J’ai découvert l’existence du Haïku japonais il y a bien longtemps et je me souviens avoir été marqué par cette façon particulière d’exprimer avec force, pureté et simplicité. Mais mon âme étant bel et bien occidentale, c’est lors de la découverte du « Limerick » en 2015/2016, que j’eus la sensation formelle de trouver à enfourcher un cheval de bataille. Cette manière d’exprimer un fait, une situation, un sentiment, en quelques mots toute une histoire… Ce fut et je pèse mes mots une « révélation ». Mais dont j’avais seulement l’usufruit. Ce privilège de pouvoir dire les choses ainsi, m’est immédiatement apparu comme devant être partagé, le faisant appartenir alors à tous. Merci Jules.