Rappel : première partie https://resistancerepublicaine.com/2025/01/06/un-canari-dans-le-monde-de-la-covid-la-bombe-qui-decrypte-le-complot-mondial/
Deuxième partie
Un état de peur: Covid-19 et lockdowns/confinements. (Lord Sumption)
Aujourd’hui, les économies occidentales sont confrontées à des économies à bas salaires. Les possibilités techniques de la médecine moderne, financée par les pouvoirs publics donc nos impôts et par nos primes d’assurances, nous ont habitués à l’idée que, sauf dans les cas de vieillesse extrême, tout décès dû à une maladie est prématuré et que tout décès prématuré doit être évité. D’événement naturel, la mort est devenue le symptôme d’un échec sociétal.
L’avance technologique de l’Occident est devenue moins durable qu’elle ne l’était. Deux choses en particulier ont changé. D’une part, nous attendons désormais bien davantage de l’État et sommes moins enclins à accepter qu’il y ait des limites à ce qu’il peut faire. D’autre part, nous ne sommes plus disposés à accepter les risques qui ont toujours été inhérents à la vie elle-même. Nous n’acceptons même plus l’évolution de la terre et ses changements climatiques. Avec une folle arrogance la moitié ou d’avantage des Occidentaux croient que l’Etat va changer l’évolution de l’univers pour nous protéger, simplement en diminuant le vilain CO2 produit par les hommes et leurs vaches.
Le changement est en nous-mêmes, et non dans la nature ou l’ampleur des risques auxquels nous sommes confrontés. Les maladies épidémiques ne sont pas le seul péril contre lequel nous désirons la protection de l’État. Il y a de plus en plus d’autres risques qui sont inhérents à la vie elle-même et contre lesquels nous nous tournons vers l’État pour être sauvés. En conséquence, nous avons des attentes démesurées à l’égard de l’État et nous sommes de moins en moins enclins à accepter qu’il y ait des choses qu’il ne peut ou ne doit pas faire pour nous protéger.
Si nous tenons les gouvernements pour responsables de tout ce qui va mal, ils nous priveront de notre autonomie, de notre libre arbitre et de nos libertés, pour l’illusion stupide que rien ne puisse aller mal. La recherche de la sécurité au prix d’une intervention coercitive de l’État est une caractéristique de la politique démocratique actuelle qui a déjà été soulignée dans les années 1830 par le grand politologue Alexis de Toqueville La plupart des réglementations inventées sont conçues pour limiter les risques en limitant la liberté. Les gouvernements agissent ainsi non pas tant pour nous protéger des risques, mais surtout pour se protéger des critiques. Au XVI ème siècle, Thomas Hobbes avait déjà soutenu que les êtres humains abandonnaient complètement, inconditionnellement et irrévocablement leur liberté à un souverain absolu, en échange de la sécurité.
La plupart des despotismes n’apparaissent pas parce qu’un despote s’est emparé du pouvoir, mais parce que les gens abandonnent volontairement leurs libertés en échange de la sécurité qu’ils recherchent.
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Depuis la crise Covid chaque citoyen-contribuable doit bien réaliser qu’il existe deux types de solidarité : la solidarité du soutien mutuel et la solidarité du conformisme intolérant.
Ce qui était auparavant un droit inhérent à un peuple libre en est venu à dépendre d’une licence gouvernementale. Nous en sommes venus à considérer le droit de vivre une vie normale comme un don de l’État. C’est une approche qui traite tous les individus comme des stupides instruments de la politique collective. Tout cela a été rendu possible par la peur. Tout au long de l’histoire, la peur a été le principal instrument de tout État autoritaire.
La pandémie a suscité la méfiance, le ressentiment et l’hostilité mutuelle des citoyens dans la plupart des pays où des confinements et des interdictions ont été imposés. L’utilisation du pouvoir politique comme instrument de coercition de masse alimenté par la peur du public est corrosive et toxique, surtout, lorsqu’elle parvient à bénéficier du soutien de la majorité. Car elle tend à s’accompagner, comme cela a été le cas en Grande-Bretagne, d’une propagande gouvernementale manipulatrice et d’une intolérance véhémente à l’égard de la minorité qui n’est pas d’accord. Les gouvernements autoritaires fragmentent les sociétés dans lesquelles ils opèrent.
La première et la plus évidente observation de l’histoire est que les gouvernements renoncent rarement aux pouvoirs qu’ils ont acquis.
Note personnelle: en tant que Suisse je n’oublie pas que l’Impôt fédéral pour la défense nationale créé à juste titre pendant la deuxième guerre mondiale est toujours en vigueur, mais a changé de nom!
L’État-nounou est une salope. (Professeur Bruce Pardy)
Elus et autorités ont éviscéré les libertés civiles. La société s’est effondrée.
Pour vaincre le collectivisme Covid, nous devons rejeter l’État-nounou.
Aujourd’hui, l’oppression ne vient pas de l’étranger, mais de notre propre État, qui domine nos vies de toutes les manières possibles et imaginables. Au lieu de contester son autorité, nous critiquons ses politiques. Au lieu de nous attaquer aux causes nous discutons des conséquences. Les révolutionnaires américains et français du passé ne comprendraient pas à quel point l’État contrôle désormais nos vies.
Lentement mais inexorablement, le fondement juridique s’est déplacé sous nos pieds. La séparation des pouvoirs s’est érodée. Nous nous sommes éloignés de l’État de droit pour revenir à l’État par décret. Le contrôle ne revient plus à un monarque ou au peuple, mais à une « aristocratie » de gestionnaires professionnels qui se croient plus intelligents que le peuple, et dont de nombreux sont corrompus et/ou malsains.
Au lieu de l’État de droit, nous avons la trinité impie de l’État administratif: délégation de la part du législateur, déférence de la part des tribunaux et pouvoir discrétionnaire de l’administration pour décider de l’intérêt et du bien public. Au lieu de la séparation des pouvoirs, nous avons la concentration du pouvoir. Au lieu d’un équilibre des pouvoirs entre les trois branches, elles sont toutes sur la même longueur d’onde, coopérant entre elles pour renforcer la gestion de la société par l’État. Les fonctionnaires et les experts mettent de côté l’autonomie individuelle au nom du bien-être public et des principes progressistes. Un large pouvoir discrétionnaire entre les mains d’une classe de gestionnaires technocratiques est devenu le fondement de notre système de gouvernement dévoyé.
La discrétion est la prémisse. La prémisse dicte la conclusion. Le même raisonnement simpliste s’applique à l’État administratif. La prémisse: les fonctionnaires ont le pouvoir discrétionnaire de décider du bien public. Preuve: les fonctionnaires ont imposé un vaxin. Conclusion: l’obligation de vaxination est dans l’intérêt du public. La conclusion découle de la prémisse !
Les fonctionnaires ont le pouvoir discrétionnaire de décider du bien public. Aucun argument ne peut remettre en cause la conclusion sans s’attaquer à la prémisse. S’opposer aux politiques gouvernementales en apportant la preuve qu’elles ne sont pas dans l’intérêt du public est considéré une entreprise insensée. En d’autres termes, le « bien public » n’est plus une notion objective. Comme la beauté, il dépend de l’observateur. Étant donné que l’État administratif s’appuie sur son pouvoir discrétionnaire pour décider du bien public, il est le seul à pouvoir définir ce qu’est le bien public. Les politiques font des compromis. Les compromis reflètent des valeurs. Ces valeurs sont politiques et non factuelles.
En conclusion, aujourd’hui c’est à travers leur propre prisme idéologique que les gouvernements décident où se situe l’intérêt public.
L’État-nounou n’est ni neutre ni bienveillant. Il existe pour exister. Il contrôle pour contrôler. Le public a été persuadé que l’administration publique est indispensable. La vie moderne est trop complexe, pensent-ils, pour ne pas être gérée par une bureaucratie étendue affirmant être bien informée. On leur a appris à confondre autorité et substance. Comme l’a écrit le philosophe catholique Ivan Illich, les gens ont été éduqués à confondre l’existence des institutions avec les objectifs que ces institutions prétendent poursuivre. « Le traitement médical est confondu avec et remplacé par les soins de santé, le travail social avec l’amélioration de la vie communautaire et la diversité à tout prix… La santé, l’apprentissage, la dignité, l’indépendance et l’effort créatif sont définis comme n’étant pas aussi bons et efficients que la performance des institutions qui prétendent servir ces objectifs.
Ces politiques Covid ont été mauvaises en raison de la coercition qu’elles imposaient et non des objectifs qu’elles ne parvenaient pas à atteindre.
La violation la plus flagrante de l’éthique médicale dans l’histoire de la médecine. (Drs. James & Maggie Thorp)
Comment a-t-on pu persuader plus de 75 % du pays de recevoir des injections de thérapie génique expérimentale sans consentement libre et éclairé et sans aucune donnée de sécurité à long terme ?
Sachez que les mêmes techniques clandestines et totalitaires seront à nouveau déployées.
Combien il est douloureux d’écouter les témoignages sur la censure de Twitter. (Dr. Naomi Wolf)
Allons-nous laisser ces fonctionnaires culturels – qui opèrent exactement comme ces petits tyrans des cultures nazies de Berlin et de Munich il n’y a pas si longtemps – prendre place, en toute impunité, au cœur de notre Amérique ? Allons-nous ramener l’Amérique à la lumière du jour et du soleil et forcer ces misérables équivoques égarés à faire face à leurs propres crimes dégénérés contre la liberté d’expression et la Constitution ?
Sur la stupidité. (John Leake historien)
Lors de la crise Covid et des vaxins, nous observons également que les personnes isolées et solitaires ont présenté moins souvent ce défaut que les groupes de personnes qui se socialisent. Ainsi, la stupidité est peut-être moins un problème psychologique que sociologique. Elle est une manifestation particulière de l’influence des circonstances historiques sur l’homme, un effet psychologique secondaire de certaines conditions extérieures.
Comme l’a souligné le pasteur allemand Bonhoeffer, cette stupidité n’est pas l’expression d’un manque d’intelligence native de la victime, mais de son incapacité à penser lorsque le pouvoir politique ou religieux s’exerce sur sa société. D’autres auteurs, comme Carl Jung, ont décrit ce phénomène comme une psychose de masse (en allemand : Massenpsychose). Le psychologue belge Mattias Desmet a écrit dans la même veine sur le même phénomène, qu’il appelle Formation de masse. Le regretté professeur de Stanford, René Girard, a décrit un processus similaire combinant les phénomènes de Mimesistiet de Bouc émissaire. Les réflexions de Girard sont cohérentes avec l’observation de Bonhoeffer : « Nous observons également que les personnes isolées et solitaires présentent ce défaut moins fréquemment que les groupes de personnes qui se socialisent. »
Note: Dietrich Bonhoeffer est connu pour ce poème qui reste très d’actualité aujourd’hui où l’Europe est envahie par l’islam:
« Quand les nazis sont venus chercher les communistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas communiste.
Quand ils ont enfermé les sociaux-démocrates, je n’ai rien dit, je n’étais pas social-démocrate.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas syndicaliste.
Quand ils sont venus me chercher, il ne restait plus personne pour protester. »
En avril 1945, à 39 ans, il fut pendu par les nazis dans le camp bavarois de Flossenbürg.
Sa lettre concernant la stupidité aux pages 17-20 de son recueil Widerstand und Ergebung. Briefe und Aufzeichnung aus der Haft (Résistance et soumission. Lettres et notes de captivité) mérite d’être lue.
Mon message à l’Ordre des médecins et chirurgiens de l’Ontario. (Dr. Mary O’Connor)
Concernant le tribunal qui m’a jugé, il s’agissait d’un tribunal ZOOM, les personnes de l’autre partie, à l’exception des avocats, ont masqué leur visage. Parmi les visages caviardés devaient figurer ceux des journalistes Ashleigh Stewart de Global et Michele Mandel du Toronto Sun, qui ont tous deux immédiatement écrit des articles diffamatoires sur moi et sur mes « théories du complot ».
La plausibilité, mais pas la science, a dominé les discussions publiques sur la crise Covid. (Dr. Harvey Risch)
« Les attaques contre moi, très franchement, sont des attaques contre la science » a proclamé l’empereur autoproclamé de la science Anthony Fauci, 9 juin 2021 (MSNBC). C’est absurde.
Sans débat, la science n’est rien d’autre que de la propagande. Ce qui a été transmis au public par les médias traditionnels au cours de la soit-disant pandémie est en grande partie de la plausibilité, parfois appelée « scientisme », mais pas de la science.
La science commence par des théories, des hypothèses, qui ont des ramifications empiriques examinables. Néanmoins, ces théories et ces hypothèses ne sont pas de la science ; elles motivent la science. La science survient lorsque des individus font des expériences ou des observations bien contrôlées qui portent sur les implications ou les ramifications des théories et des hypothèses. Ces découvertes tendent à soutenir ou à réfuter les théories, qui sont alors modifiées ou mises à jour pour s’adapter aux nouvelles observations, ou rejetées si des preuves irréfutables montrent qu’elles ne décrivent pas la nature. Le cycle est ensuite répété par d’autres scientifiques. La science est la réalisation d’un travail empirique ou d’observation pour obtenir des preuves confirmant ou réfutant les théories.
La confusion en statistique est une circonstance épidémiologique trop méconnue dans laquelle la relation entre une exposition et un résultat n’est pas due à l’exposition à un facteur, mais à une troisième variable (le facteur de confusion), cela au moins en partie. Cette confusion a été très souvent présente dans les travaux pseudo-scientifiques concernant les mesures Covid, les attaques contre certains médicaments anciens comme l’ivermectine et les vaxxins.
La crise Covid a donné lieu à de nombreux autres exemples de baratins scientifiques plausibles et de mauvaises pratiques scientifiques.
La censure est l’outil de l’indéfendable, puisque la science valide se défend par elle-même.
La plausibilité ne remplace pas la science, et les individus; y compris les scientifiques eux-mêmes, peuvent avoir du mal à faire la différence entre plausibilité et science..
Les vrais vérificateurs de faits sont les gardiens du narratif, le consensus n’est pas la science et la propagande est une sacrée drogue.
Le scientisme est devenu la nouvelle religion.
S’agit-il davantage d’une « pandémie » de peur que d’un agent pathogène ?
Soyez conscient de l’utilisation du langage pour modifier les pensées et les perceptions. L’utilisation du langage est une technique très ancienne, caractéristique des régimes totalitaires, tout comme la censure et la persécution de ceux qui s’élèvent contre un récit erroné.
Un abécédaire pour les propagandistes. (Margaret Anna Alice auteur de blog)
« Le totalitarisme, s’il n’est pas combattu, peut triompher n’importe où » a écrit George Orwell. Il a aussi écrit:« En ce qui concerne la masse des gens, les extraordinaires changements d’opinion qui se produisent de nos jours, les émotions qui peuvent être activées et désactivées comme un robinet, sont le résultat de l’hypnose des journaux et de la radio ».
Toute psychose idéologique de masse est une religion, pas une science.
Cette citation apocryphe de Mark Twain s’applique très bien à la situation en 2024-2025 : « Il est plus facile de tromper les gens que de les convaincre qu’ils ont été trompés. » Twain a également (réellement) dit : « En religion et en politique, les croyances et les convictions des gens sont dans presque tous les cas obtenues de seconde main, et sans examen, par des autorités qui n’ont pas elles-mêmes examiné les questions en jeu, mais qui les ont obtenues de seconde main d’autres personnes qui n’ont pas examiné les questions, et dont les opinions à leur sujet ne valaient pas un sou. »
Le régime Covid et ses dissidents. (Dr. Michael Rectenwald)
C’est l’État, pas le virus qui nous ravagera.
Il n’y a pas eu de pandémie. (Professeur Denis Rancourt)
Dans une société stable, la mortalité est un paramètre statistique extrêmement robuste et n’est pas sujette à de grands changements rapides.
N’est-ce pas curieux que pendant la crise Covid dans la quasi-totalité du monde occidental, les prescriptions d’antibiotiques ont été réduites et maintenues à un niveau bas d’environ 50 % par rapport aux taux d’avant le Covid ?
Alors qu’ils ont voulu nous détruire, se pourrait-il que désormais les citoyens-contribuables européens ne veuillent plus du tout de libertés ?
Soyons vigilants.
Soyons libres.
Dominique Schwander
Janvier 2025
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Il paraitrait que le mot « franc » signifie libre.
Le peuple franc était le peuple libre.
Je dis était, car il ne doit pas rester beaucoup de Francs en France.
Celui qui mettra au point un virus qui éradiquera les écolos sera un bienfaiteur de l’humanité. Il méritera le prix Nobel.
■ Quand France Bleu censure un effet secondaire du vaccin Covid | 05/01/2025
► Première reconnaissance officielle pour une Moulinoise atteinte de la maladie de Charcot après un vaccin anti-Covid
○ GEOPOINTEL.fr : https://tinyurl.com/3temp8j9