Enfin, les écolos n’ont plus la cote… Serait-ce la chute finale ?

Petit à petit, peu à peu, ils chutent… Mais qui ? Nos chers, trop chers écolos !
Et de plus en plus nombreux sont ceux qui s’aperçoivent que les partisans d’une lutte écologique à tout va avec leur slogan ridicule « Sauvons la planète » sont néfastes à la vie des Terriens.

Et parmi ces anti-« écolos punitifs », Yasha Mounk, américano-allemand, politologue, journaliste indépendant (1), qui, dans une chronique au Point, vient de nous donner raison ! Nous qui nous opposons à ces « zécolozozos », ces gens qui nous pourrissent la vie pour prétendument « Sauver la planète » ! Alors que notre Terre, elle, vit sa vie avec ses humeurs, humeurs contre lesquelles -comme nos ancêtres hominidés- nous ne pouvons rien ! 
Ces écolos prennent prétexte que la Terre serait en danger et qu’il faudrait employer des mesures drastiques même si celles-ci sont perturbantes pour la vie quotidienne de vous et moi !

Notamment en réduisant l’utilisation du papier...(or la filière papier est le premier employeur de France : des planteurs au distributeur de prospectus qui, souvent est un émigré à qui ces écolos enlèvent un gain pour sa pitance !) mais comment font-ils ces écolos en réduisant leurs besoins en papier pour certaines obligations, vont-ils jusqu’à poser un confetti sur le bout de leur médium ??? Je fais, là, allusion à un besoin naturel : se moucher en cas de rhume…
La tyrannie des écolos me rappelle, au siècle dernier, la tyrannie des partisans de dictatures communistes et leurs méfaits qui furent néfastes à l’adresse de centaines de millions de Terriens ! Alors que ces derniers n’en avaient rien à faire de leurs idées fumeuses et néfastes pour implanter des soviets ! Comme aujourd’hui sont néfastes les « écologistes dictateurs » !
 Au XXe siècle, les communistes ont pris prétexte que la démocratie était en danger et qu’il fallait employer des mesures drastiques même si celles-ci étaient perturbantes pour la vie quotidienne des peuples vivant dans de telles « démocraties » n’ayant de démocraties que le nom !
 

L’URSS et autres satellites à travers le monde ont fini, dans leur grande majorité, par disparaître mais après quasiment un siècle de régime sanglant…
Et il semble que les partisans d’un régime écologique des plus invasifs, des plus durs, des plus répressifs, en soient arrivés à la phase d’extinction ! Et heureusement, sans être parvenus à imposer à toute la population leurs idées fumeuses allant du tri de nos ordures au comble du ridicule avec l’opération « pipi-sous-la-douche » (à quand, pour économiser de l’eau, le « lavage-des-mains-dans-la-cuvette-des-toilettes » ?).
Heureusement nous arrive un rayon de soleil dans un ciel obscurci par les conseils nébuleux de ces écologistes : de plus en plus de commentateurs, de chroniqueurs, de spécialistes osent avancer des idées critiquant les pontes de l’écologie.


À l’image de Yasha Mounk qui, samedi, s’est interrogé dans Le Point :
« Faut-il sacrifier la qualité de vie pour sauver la planète ? »
En prenant, en titre, deux exemples :
« Interdiction du chauffage extérieur ou des pailles en plastique… Ces mesures écologiques divisent, mais sont-elles seulement efficaces face à la crise climatique ? »
Et il s’explique :

« A Paris, la luminosité est à peine plus intense qu’à Londres, dont la grisaille est légendaire, et la rudesse des hivers peut surprendre ceux qui la découvrent pour la première fois. La ville parvient pourtant à entretenir une atmosphère de convivialité tout au long de l’année, notamment grâce à ses cafés qui savent comment garder leurs clients au chaud. Les froids jours d’automne où j’ai partagé un verre de vin rouge en terrasse avec des amis, réchauffés par des plaids et des lampes chauffantes, figurent parmi mes meilleurs souvenirs parisiens. »
Mais le chroniqueur se reprend et sort de sa torpeur, de ses rêves :

« Ou peut-être devrais-je dire : les cafés parisiens savaient comment garder leurs clients au chaud. Car lorsque je suis passé à Paris à la fin de l’automne, l’année dernière, à mon grand étonnement, j’ai constaté que les terrasses avaient quasiment disparu. Devant les bars, quelques Parisiens emmitouflés dans leurs écharpes grelottaient en grappes, cigarette au bec. Mais, en grande partie, Paris avait un air désert qui ne lui ressemblait pas. »

Et pour quelle raison ? Parce que…

…« le gouvernement d’Emmanuel Macron a interdit aux cafés et aux restaurants de gaspiller de l’énergie » !

Voilà un exemple de l’écologie punitive ! C’est, en effet, « une illustration typique des dysfonctionnements d’une sorte de réglementation environnementale de plus en plus répandue, dont l’impact est faible mais l’étalage de vertu, très fort. »
Après avoir égrené quelques mesures prises dans le monde telles que faire payer les sacs en plastique, l’interdiction des pailles en plastique ou des bouchons en plastique détachables, des ampoules à incandescence…

.
« Ces exemples (…) ont un point commun important : ils incarnent une forme d’intervention politique qui accomplit des progrès mineurs pour l’environnement, au coût d’une détérioration tangible de la qualité de vie ou d’une grosse perte de soutien politique. » Voilà des initiatives qui peuvent « tout à fait se révéler contre-productives. »
Selon lui… 
« Les politiques environnementales ne peuvent se contenter d’être bien intentionnées ou de donner l’impression d’être vertueuses ; il faut qu’elles soient efficaces et atteignent l’objectif visé. Il est temps d’adopter un nouveau paradigme. Appelons-le « l’environnementalisme efficace ».
Le malheur des écologistes est qu’ils pensent que tous leurs problèmes écologiques sont imbriqués dans tous les domaines de notre société :

« Pour beaucoup, les plaies sociales comme le racisme, le sexisme et même le capitalisme sont les facettes du même système d’oppression dans lequel ils sont tous interconnectés. Et pour vaincre une de ces facettes, il faut les vaincre toutes. »
« Les politiciens américains qui bannissent les pailles en plastique ou leurs homologues européens qui interdisent le chauffage extérieur (…) semblent convaincus que les souffrances engendrées par la lutte contre le changement climatique peuvent faire office de feu purificateur. »
Mais 
Yascha Mounk est formel :
« …cette stratégie ne semble pas payante. Ces dix dernières années, les médias généralistes ont accordé énormément d’attention à des militants très véhéments, comme Greta Thunberg, et à des mouvements extrémistes, comme Extinction Rebellion. L’impression que le climat était la préoccupation politique dominante des jeunes s’est largement répandue. Il était entendu que les partis écologistes, tel le Parti vert européen, gagnaient du terrain à mesure que les jeunes électeurs affluaient dans leurs rangs. »

Sauf que…
…« effrayer les gens et leur faire honte ne suffit pas à les pousser à agir pour modifier le changement climatique. » 
Bien au contraire…

…« Le moment politique actuel semblerait même plutôt caractérisé par un mélange d’apathie et de retour de bâton. » 
Et un retour de bâton des plus violents pour les écolos ! Un exemple -prometteur !- :
« Aux États-Unis, un récent sondage conduit auprès des jeunes électeurs révèle que seuls 6 % d’entre eux considèrent les « problèmes environnementaux » comme leur principale priorité, ce qui correspond au même pourcentage que ceux pour qui la principale priorité est l’immigration (les sujets économiques éclipsant les deux) », fait remarquer le chroniqueur du Point !

Même dégringolade en Europe :

« Il y a quatre ans à peine, le parti des Verts allemands collectait autour de 25 % des voix (…) Aujourd’hui, il est descendu autour de 10 %, avec une baisse particulièrement spectaculaire parmi les jeunes électeurs » ! Raison donnée à la sortie des bureaux de vote : « … 71 % des électeurs ont déploré que le parti « ne se préoccupe pas suffisamment de l’économie et de la création d’emplois » et « 70% se plaignaient que le parti « veuille dicter sa façon de vivre » !

.

Enfin !!! Si les plus jeunes sont en majorité contre les idées fumeuses des écolos, que mes confrères journalistes (2) cessent, surtout dans les bulletins « météo », de nous donner des conseils pour « sauver la planète », des conseils qui souvent… Trop souvent, prennent… l’eau !!!

Jacques MARTINEZ, journaliste, 
à RTL, de stagiaire à chef d’édition des informations de nuit (1967-2001), pigiste à l’AFP, le FIGARO, le PARISIEN…

(1) Présentation par Le Point de son chroniqueur :
« Yascha Mounk est professeur de politique internationale à l’université Johns-Hopkins, fondateur du site Persuasion et auteur sur Substack. Il est l’auteur du best-seller Le Peuple contre la démocratie (L’Observatoire, 2018 ; Le Livre de poche, 2019, traduit par Jean-Marie Souzeau). Dans son dernier livre publié en français, Le Piège de l’identité (L’Observatoire, 2023, traduit par Benjamin Peylet), il s’attelle à déconstruire le wokisme pour mieux camper la démocratie libérale sur ses appuis. »
Wikipdia précise :
« Yascha Mounk, né 6 octobre 1982 à Munich, fils d’une femme juive ashkénaze polonaise d’obédience socialiste, est un politologue allemand, naturalisé américain, directeur exécutif de l’équipe Renewing the Centre au Tony Blair Institute for Global Change1, chercheur postdoctoral et chargé de cours à l’université Harvard à Boston.
Journaliste indépendant, il écrit notamment pour The New York Times, The Wall Street Journal, Foreign Affairs, Slate et Die Zeit. Il entretient également un podcast, The Good Fight. »

(2) surtout ceux qui sont devenus « fonctionnaires » puisqu’ils travaillent pour des organes de presse de l’État et qu’ils perçoivent un salaire alimenté par nos impôts…

 640 total views,  21 views today

image_pdf

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*


15 Commentaires

  1. Il est temps que cette idéologie mortifère meurt de sa belle mort.
    Elle a causé assez de dégâts, et maintenant il faut réparer.

  2. « la tyrannie des partisans de dictatures communistes et leurs méfaits qui furent néfastes à l’adresse de centaines de millions de Terriens ! » aujourd’hui ils s’appellent ECOLOS !!! mais ce sont les mêmes bolcheviques de la fameuse STASI de l’Allemagne de l’est !!! ces écolos sont apparus à partir de 1990, chute du mur de Berlin !!!!la Merkel,n’était pas écolo mais du même cru !!ces saloperies décolos financés par les Soros, n’ont rien à voir avec les Wechter !!!!!

  3. Il y a bien une chose que les écolos n’ont pas pensé, ce sont les volcans. J’ai vu l’autre jour une émission sur les volcan, c’est très beau un volcan en éruption mais ça polllu grave. Alors il faut prévenir gratte la et tous les écolos pour faire quelques choses, je sais pas moi je suis pas écolos, mais fabriqué un couvercle géant, l’éteindre avec des seaux d’eau, ils sont nombreux les escrolos, pardon, écolos et pendant ce temps ils nous emmerderaient pas.

    • Oui Christian Jour, et il ne faut pas oublier les millions d’hectares de forets qui brulent un peu partout chaque année et personne ne parlent de ceux qui les allument pour nous remplacer plus facilement !

  4. Quelle que soit la pourriture, il y a un moment ou même toute seule elle disparait. Mais certaines sont des fois plus difficiles que d’autres et il faut les y aider un peu !

  5. enfin , certains s apercoivent que si on appliquait leurs idées , il y aurait des millions de chomeurs en plus et surtout la planete n arreterait pas de changer de climat tous les 100 000 ans environ !!
    menteurs , ces abru tis et tout ce qu ils veulent c est le pognon que ca rapporte !
    la suedoise peut dormir sur ces deux oreilles , si extinction de masse il y a elle en fera partie comme tout le monde !!

  6. La Greta Thunberg, s’est recyclée il y a bien deux ans ; ce n’est plus sauvons la planète mais sauvons la Palestine… Tout est dit… elle sait rebondir politiquement.

    Et pourtant… elle est bien jeune mais sa carrière est assurée.

    Pas besoin d’étudier, pas besoin de chanter, de gratouiller d’un instrument… pas même d’écrire… juste « s’casser la voix » et nos oreilles, pour le reste, des millions et des millions d’idiots pourvoiront à TOUS besoins.

  7. Grace aux écologistes j’ai découvert que ceux qui font un feu de bois dans la cheminée et ceux qui laissent péter leurs vaches sont des ASSASSINS !
    Put’1 j’en aurais appris des choses dans ma vie…

    • Devons-nous aussi renoncer au cassoulet, auteur de bruits incongrus et d’émanations de gaz mortifères . Je me souviens d’un cassoulet dégusté dans un restaurant à Castelnaudary. Un délice. Je ne savais pas alors que j’assassinais la planète et tout ce qui vit dessus.

  8. De toutes façons, en admettant leurs thèses, je dis bien en admettant, la France n’a qu’une part infime dans l’émission des gaz à effet de serre. Et dire qu’en décarbonant toute notre industrie, nous allons inverser la tendance est une vaste tromperie, puisque d’autres pays participent à ces émissions. Donc, en prenant leur postulat comme point de départ, nous allons subir les effets de ce réchauffement et être ruinés du même coup et ramenés à l’âge de pierre, époque bénie où l’on crevait à l’âge de trente-cinq ans, couverts de puces et de furoncles.

  9. Il est vrai que les prétendus ecolos font plus de mal à la planète que de bien! Ce ne sont la plupart du temps que des gauchistes ou socialopes déguisés et ils empêchent sérieusement d’agir pour une meilleure gestion de l’alimentation et des ressources naturelles par leurs propositions farfelues.