Lors de sa dernière session plénière, le Parlement européen a entériné la création de quatre nouvelles commissions, qui s’ajouteront à la vingtaine existante.Les domaines qui seront couverts par ces nouvelles commissions ne laissent pas de surprendre, puisqu’ils relevaient, jusqu’ici, de l’initiative nationale. Ainsi, la commission Santé sera en charge des produits pharmaceutiques, de la préparation et de la réponse aux crises sanitaires, de la santé mentale, des droits des patients et des aspects sanitaires du bioterrorisme. La commission Sécurité et Défense, qui sera dévolue aux menaces envers l’intégrité territoriale de l’Union, aux moyens nécessaires aux missions civiles et militaires en dehors de l’Union, à la mise en œuvre de décisions stratégiques et en charge de la définition progressive d’une politique de défense commune, finalise à elle-seule la fameuse Communauté européenne de défense, rejetée par le France en 1954. La commission spéciale temporaire sur “la crise du logement dans l’Union européenne” se fixe pour objectif de « proposer des solutions pour un logement décent, durable et abordable ».
Enfin, et ce n’est pas la moindre des nouveautés, la commission spéciale sur “le bouclier démocratique européen” devra évaluer les « législations et les politiques pertinentes afin de mieux détecter les éventuelles failles qui pourraient être exploitées à des fins d’ingérence malveillante dans les processus démocratiques » et d’élaborer « des propositions sur la manière de combler ces lacunes afin de renforcer la résilience de l’Union européenne ». Outil éminemment politique, ledit “bouclier” aura pour mission d’imposer la transparence dans la vie politique, de garantir « un cadre informationnel » et « d’encourager les programmes d’éducation aux médias ». Tout un programme.
Technostructure débridée
La création de ces nouvelles commissions pourrait n’être qu’un avatar supplémentaire de la longue liste des initiatives produites par une technostructure débridée ; elle est bien davantage, sans doute l’un des derniers actes de préemption sur les domaines de souveraineté encore dévolus aux États membres.
Sous l’impulsion des groupes européens de droite, du centre et de la gauche — qui s’en sont déjà réparti en catimini les présidences et vice-présidences —, les dites commissions couvriront donc des secteurs hors compétences juridiques de l’Union européenne. Sans alerte médiatique, les opinions publiques ne percevront pas qu’à compter de janvier 2025, ce sont parmi les dernières compétences nationales (à l’exception de la fiscalité, mais pour combien de temps ?) qui seront abandonnées à des structures supraétatiques non élues.
Cette sournoise initiative avait été dûment annoncée par Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, lors de sa déclaration du 18 juillet 2024, où elle rappelait avec une autosatisfaction gênante le rôle prétendument fondamental qu’aurait joué l’Union européenne dans les crises passées : « Nous sommes sortis plus forts du choc provoqué par les confinements et nous avons surmonté une crise énergétique sans précédent. » Les artisans, personnels médicaux et autres industriels apprécieront…
Sirène messianique
En chef d’orchestre du délitement des nations libres et persuadée d’être seule capable de reconstruire les services publics de la santé, d’endiguer la crise du logement ou de peser un quelconque poids dans les conflits internationaux, Ursula von der Leyen se vit donc naturellement en sirène messianique du bien, figure de proue d’une Commission omnipotente.
Elle rejette, dans une forme de déni du réel qui interroge sur la psyché des membres de la Commission, les constatations les plus évidentes : chute vertigineuse de l’industrie, crise agricole sans précédent, coût faramineux des énergies et flux migratoires torrentiels qui sont ravalés au simple rang des vues de l’esprit animant l’“extrême droite”. La création des quatre commissions susvisées est donc un pas supplémentaire vers la technocratisation, la fabrique de normes inconsidérées et naturellement le déni de toute possibilité pour les nations de gérer leurs particularités propres. Le tout, hors compétences de l’Union européenne, sauf à s’appuyer comme c’est toujours le cas pour justifier les écarts de compétence sur l’article 114 du Traité sur le fonctionnement de l’Union européenne relatif au fonctionnement du marché intérieur…
Ce dernier pas vers l’intégration forcée et vers une société du contrôle vient signer la complicité de l’ensemble des élus du Parlement européen supposés être du bon côté du fameux cordon sanitaire ; gageons que les peuples, eux, s’en souviendront.
Pascale Piera est magistrat, député français RN au Parlement européen et membre des Horaces, un cercle de hauts fonctionnaires, hommes politiques, universitaires, entrepreneurs et intellectuels apportant leur expertise à Marine Le Pen, fondé et présidé par André Rougé, député français au Parlement européen.
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Encore une énième saloperie totalitaire et orwellienne de plus, de la part de notre sinistre « Reichsführerin Ursula »!… Mais qui donc arrêtera enfin cette véritable chienne enragée??!!
Qu’attendre d’autre d’Adolphine der leyen ?
Le IV reich et le « 39-45 » économique de l’Allemagne sont en marche.
C’est fou, on peut craindre le pire.
Le domaine de la santé, on a déjà donné avec Pfizer et les stupides confinements, le pass sanitaire.
Le domaine de la défense, c’est les milliards versés à zelenski.
Le prix de l’électricité qui a bondi.
Y a-t-il quelqu’un pour stopper cette dangereuse foldingue ?
Petit à petit les partis politiques européistes poussent les citoyens Français à voter pour un Frexit, si, un jour, on leur propose un référendum. Et ce ne sera pas un vote Frexit à 55% mais bien d’avantage
À quoi servent les députés européens (Strasbourg) si cette bonne femme (Bruxelles) décide de tout ???
À quoi sert un parlement sans autre pouvoir que la tchatche ???
Non seulement on se fait baiser mais ça nous coûte cher !
Et je ne parle même pas de notre IDENTITÉ…
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◙ Oligarchie/Peuple français : l’affrontement est inévitable – Le Zoom – Nicolas Vidal – TVL | 30/12/2024
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Il ne faut surtout pas des commissions pour la santé,.la sécurité et la défense,il suffit de fermer les frontières – nous occidentaux,on sait se conduire- mais comme ils font .volontairement entrer des muzzs il faut les surveiller ! Quand sera t elle destituée.Oui c’est Hitler en jupons et même .pire !
Cette bonne femme est le diable en personne.
Elle met impunément en place le « gouvernement européen » ! Ce qui bafoue en fait et en droit notre légitimité nationale. Vivement la Révolution !
Elle est pire qu’Hitler dans les années 40.
Je ne comprends pas pourquoi la justice populaire ne la pas éliminée elle et Macron.
À quand un coup d’État contre cette führerine digne descendante du nazional socialismus et de Goebbels 👎 ? Élue par un tas de nervis à sa solde et ne représentant qu’elle même ! 1933 bis repetita.
« Der Leyen nous vole notre souveraineté, sans nous consulter » et beaucoup de français encore l’acceptent !
Très bientôt nous dirons: « La france, s’était quoi , »
Dictature même dans la logistique de transport, effarant :
La biscuiterie La Mère Poulard a dû acheter du beurre à des négociants internationaux. Plusieurs livraisons, qui ont transité par les Pays-Bas, provenaient d’une laiterie située à 90 km du site de fabrication.
https://www.leparisien.fr/economie/consommation/transporte-de-normandie-a-la-bretagne-via-les-pays-bas-le-beurre-francais-les-paradoxes-dun-marche-en-tension-28-12-2024-WCPY2AMMU5AXLCL4SU3YRK5P7E.php
Cette femme est une dictatrice. Un Führer en jupon. Je ne vois rien d’autre à dire.
Je propose une cinquième commission, celle du recensement des méfaits de la hyene et une sixième, celle de la dissolution de la communauté européenne! On en à deja marré de nos parasites politiciens il nous faut encore supporter ceux de l’étranger !