(Illustration : le cratère du Piton de la Fournaise (île de la Réunion), vu d’hélicoptère. Image de votre serviteur qui cette fois n’a pas ajouté sa vignette personnelle !)
Ci-dessous, une capture d’écran qui situe « la bête » ! Résidant à Bois d’Olives (en bas à gauche), se rendre sur le site du volcan était relativement rapide.
Cet article est dans la continuité du précédent, maintenant toute similitude de titre avec la BD ci-dessous ne serait que pure coïncidence !
Je vais donc évoquer les noms de quelques chefs que j’ai pu applaudir ou même approcher quand je résidais encore en France hexagonale, je commence par Marc Soustrot :
En réalité, j’ai travaillé avec Marc Soustrot de 1982 à 1984, d’abord comme choriste amateur dans le chœur de l’Orchestre Philharmonique des Pays de Loire, puis comme choriste semi-professionnel au Théâtre Musical d’Angers, toujours avec le même orchestre et…le même chef. Durant toute cette période, j’aurai travaillé le Requiem de Fauré, La Faust Symphonie de Liszt, Les Carmina Burana de Carl Orff, La Damnation de Faust de Berlioz et sur scène, costumé ! Les cloches de Corneville de Robert Planquette, Manon de Massenet, La Traviata de Verdi. Excusez du peu ! Cette merveilleuse aventure a malheureusement pris fin en juin 1984. Pour des raisons indépendantes de ma volonté, j’ai été amené à quitter Angers, ma belle ville de naissance et ça reste un regret, même 40 ans après. Assez de lamentations ! Voici une ouverture très peu connue d’Offenbach, Le voyage dans la Lune :
Et voilà un autre chef avec lequel j’ai travaillé :
En tant que choriste, j’ai pu aborder les trois Requiem les plus célèbres : Mozart, Verdi, Fauré. À cela il faut ajouter Le Gloria de Vivaldi, Le Magnificat et La Messe en si de Bach. Voici l’orchestre Kuentz dans Water Music de Haendel :
Nous passons maintenant à un chef disparu il y a 10 ans :
Voici un jeune Abbado dans le Concerto pour piano K488 avec Friedrich Gulda :
Ce fut un grand privilège d’applaudir ce grand chef au Théâtre des Champs-Élysées en 1997 !
Voici le chef russe dans une œuvre peu jouée, Les Saisons de Tchaïkovski avec l’orchestre symphonique de l’URSS, devenu orchestre symphonique de Russie. Les Saisons ont été écrites pour le piano et ont été orchestrées par Alexander Gauk, né la même année que celle de la disparition de Tchaïkovski.
Et juste pour rire, on en a bien besoin depuis que l’on connaît le nom du nouveau premier ministre. Quelle maîtrise de la langue il fallait avoir !
Filoxe
126 total views, 126 views today
Merci Filoxe et comme on approche de Noël, je déclare tous ces chefs victorieux de ce combat Pacifique! Je voudrais aussi rendre hommage, du fait que l’on parle d’un chef injustement mal estimé, Marc Soustrot , à son frère, Bernard que j’ai toujours apprécié comme trompettiste mais que sa présence dans « dimanche Martin » a peut être fait sous estimé son talent, comme Alain Vanzo et Mady Mésple d’ailleurs. Bonne journée.
Pierre REPP !
Belle découverte, merci !