Comment Allemagne et Grünen ont saboté le Nucléaire Français » avec la collaboration des Verts français !

5 décembre 2024 Juvénal de Lyon Ecolos-dingos-sados 8
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Quand on creuse un peu le sujet de la déliquescence du nucléaire français  on trouve des choses pour le moins surprenantes et « éclairantes » (sic), à la lueur d’ une bougie (Cf : La Flamme d’une chandelle, la dernière œuvre  de Gaston Bachelard, publiée de son vivant, en 1961…in memoriam ☹️).

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 Comment l’Allemagne et les Grünen ont secrètement saboté le Nucléaire Français » avec la complicité et la collaboration des Verts français !
Incroyable ! Au plus fort de la crise énergétique, les Verts allemands ont commandé une étude tronquée sur l’énergie nucléaire. Et c’est le contribuable qui a dû payer cette expertise de complaisance..
L’histoire se déroule quelques mois après l’invasion russe de l’Ukraine en février 2022, au plus fort de la crise énergétique. Partout où c’était possible, les Allemands devaient limiter leur consommation. La poursuite de l’exploitation des centrales nucléaires fait l’objet d’un débat particulièrement animé. A l’époque, trois réacteurs étaient encore en service et trois autres avaient été mises hors service quelques mois auparavant. Ensemble, ces réacteurs auraient pu fournir 12 % de l’électricité allemande.
De nombreux experts étaient favorables à la poursuite de l’exploitation.
Pas les Grünen. Dans cette situation, l’Office fédéral de l’environnement, dirigé par les Verts, a commandé une étude financée par les contribuables à hauteur de 250 000 euros. Elle devait examiner à quel point les centrales nucléaires sont réellement respectueuses du climat. Le projet de recherche était donc avant tout politique. Cela devient d’autant plus clair si l’on regarde en quels termes l’Office fédéral de l’environnement l’a ensuite autorisé. Selon ce document, l’énergie nucléaire connaît une « prétendue renaissance » en tant que technologie « prétendument sûre, durable et à faibles émissions ». On avait déjà une opinion.
Les chercheurs devraient maintenant fournir des faits à ce sujet. C’est ce que suggère également le processus de candidature, ou plutôt le prétendu processus de candidature. En effet, un seul institut a posé sa candidature pour le projet lorsqu’il a été mis au concours à la mi-juin 2022 : l’Öko-Institut. Cette association est née à la fin des années 70 du mouvement antinucléaire. Comme personne d’autre ne s’est porté candidat, c’est elle qui a remporté le marché. La situation est cocasse: un institut anti-nucléaire devait donc vérifier dans quelle mesure l’énergie nucléaire était durable ! Le résultat était déjà clair bien avant que l’enquête n’ait commencé.
Des mois avant l’appel d’offres, des attentes claires à l’égard de l’étude ont été formulées. Elle devrait être accompagnée des messages suivants: « L’énergie atomique n’est pas durable et n’est pas respectueuse du climat ».
Le projet de recherche était essentiellement politique. L’objectif était d' »influencer le discours international », comme cela est signifié dans le document. Les résultats devraient être « ciblés dans les pays qui ont de solides plans d’expansion de l’énergie nucléaire », ainsi que dans les débats du GIEC. L’hypothèse centrale des auteurs est que les valeurs d’émission pour les centrales nucléaires ont été sous-estimées dans les rapports précédents du GIEC. Ils critiquent par exemple le fait que les centrales nucléaires restent généralement moins longtemps en service que prévu, à savoir non pas jusqu’à 65 ans, mais seulement 30 ans en moyenne. Seulement, cela est aussi lié à des décisions politiques et aux protestations des Verts. Les Verts veillent d’abord à ce que les centrales nucléaires soient arrêtées prématurément, puis ils veulent reprocher précisément cela à la technologie dans une étude. C’est pour le moins paradoxal. Si les auteurs supposent que le bilan des réacteurs nucléaires est beaucoup trop positif et doit être recalculé, ils ne veulent pas recalculer le bilan des énergies renouvelables. Alors que beaucoup d’experts soulignent que les études sur les énergies renouvelables fixent la durée de vie des installations à un niveau bien plus élevé que la durée de vie réelle actuelle. Par ailleurs, les autorités vertes n’hésitent pas à faire la leçon aux journalistes, voire à les intimider. Au plus fort de la crise énergétique, l’Office fédéral pour la sécurité de la gestion des déchets nucléaires a ainsi envoyé des e-mails à plusieurs rédacteurs cités par NZZ. Le constat est là, limpide. Non seulement les Verts allemands ont instrumentalisé la science à des fins militantes, contribué à la hausse généralisée des prix de l’électricité et à l’incertitude de l’approvisionnement, mais ils ont tout entrepris pour influer l’opinion mondiale. Le tout aboutit à un recul de la lutte contre le réchauffement climatique, à l’appauvrissement du continent et à un doute de plus en plus persistant sur les motivations réelles de ce parti et de ses alliés..
Juvénal de Lyon
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8 Commentaires

  2. J’ai entendu comme vous Mr Bouglé qui n’a eu de cesse de le répéter, et alors, et alors Macron est aux abonnés absents …AUJOURD’HUI ? Il s’agit du mercosur que Mme Von der Leyen est allée signer aujourd’hui même car il n’y a plus de gouvernement français pour s’y opposer !!! car je ne sais pas si vous le saviez, mais Barnier était contre !!! je vais mettre des points de suspension jusqu’à la fin, car de qui se moque t on ? ceci dit, cela expliquerait pourquoi la FNSEA, proche du gouvernement, a manifesté !! ou bien c’est de la comédie, et Mme V D Leyen n’en ferait qu’à sa tête ? et personne ne dit rien ?? les écolos , ils disent quoi, ils sont où ? Donc tout, absolument TOUT est comédie, sauf l’argent pour ceux qui organisent la mort de nos paysans, de l’industrie, de la France !! il faut une révolution

  4. Le but de l’Allemagne a toujours été d’affaiblir la France. Avec l’aide des collabos.

  5. J’ai à côté de chez moi un couplé « vert » qui est contre le nucléaire. Il a coupé le compteur et se chauffe et fait la cuisine avec un réchaud à pétrole. Sa femme lave le linge dans la baignoire. Quand on vous dit qu’il y a des cas.

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