(…) « Notre débrayage d’une heure est organisé suite aux décisions prises lors des deux derniers conseils de disciplines, qui avaient pour objet de rendre des décisions sur deux dossiers où il est question d’apologie du terrorisme. Le premier impliquait un élève qui, le 11 septembre, s’est présenté avec un maillot de foot floqué du message « Neb Nedal », signifiant potentiellement Ben Laden à l’envers, et situé au-dessus du chiffre 11, faisant écho aux attentats du 11 septembre 2001. Le deuxième conseil de discipline concernait un lycéen qui, lors d’un cours de français sur la liberté d’expression, en hommage à Samuel Paty et Dominique Bernard, avait semble-t-il justifié son assassinat, le qualifiant d’« acte de charité ».
Les deux conseils de discipline ont prononcé des sanctions d’exclusion des deux élèves, mais avec sursis. Ils restent au sein du lycée « mais ont changé de classe », précisent des enseignants.
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Ils sont morts. On est morts.
Qui a prononcé ce verdict ahurissant ? Les représentants de profs et de parents d’élèves, souvent militants politisés ainsi que le proviseur qui préside le conseil de discipline.
Qui, au rectorat et/ou au Ministère, a donné ces consignes de dhimmis, constituant un encouragement à l’imposition de la charia à l’école et à la société ? Poser la question c’est y répondre. Acheter la paix sociale, acheter les voix des possibles djihadistes c’est bien ça la priorité de Macron, Barnier et du Ministre Genetet qui n’a pas pu ne pas être consulté avant le Conseil de Discipline.
Au fait, quid des pieds et vêtements des profs ?
Remarque qui n’a rien à voir, quoique... Que les profs de sport viennent au lycée en basket, ça peut s’entendre, encore que… Mais que les enseignants d’autres disciplines viennent travailler en basket, moi ça me choque. Traitez-moi de réac, de has been… C’est à mon sens un manque de respect pour l’institution, pour les élèves, pour soi. Et ça n’aide pas à se faire respecter et à faire respecter l’école, tout simplement… Je vois des jeans, des pantalons fatigués, des vestes informes… Aucun complet, aucun ensemble. Comment ? Je suis has been ? Je sais, j’assume, mais il me semble que pour être respecté il faut et respecter l’autre en s’habillant avec un certain soin et être respectable.
J’ai bien conscience du gouffre qu’il y a entre l’apologie du terrorisme et l’habillement des profs, mais mon petit doigt me dit que des membres d’une communauté éducative en colère, en révolte, qui s’habillent comme leurs élèves ou presque ne traduisent pas une exigence forte de tenue, de travail, de respect de la loi, de respect de la France qu’ils incarnent quelque part, d’une certaine façon.
A méditer…
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Dire que mes profs étaient en costumes cravates.Godasses cirées . Les femmes en robes ou en tailleurs. Sauf celui d’EPS, bien sûr. Pour votre info, le lycée Branly est situé juste à côté de quartiers difficiles et ses élèves sont issus de la diversité pour rester correct. Des quartiers aux noms évocateurs : Le Lièvre d’Or ( on n’y a jamais vu un lapin, même à poils), Les Chamards (repaire de tous les trafics) et bien d’autres. S’il n’y avait que le vestimentaire à déplorer. Et pour une dernière info, à Dreux, il y a eu des dégradations, des pillages lors de l’affaire Merzouk Naël et compagnie. Je peux vous dire que les visages pâles ne foutent jamais les pieds dans ces oasis… Les trafics de drogue pullulent. Sur des transfos EDF, j’ai vu le prix au gramme de la coke et des flèches indiquant la direction du point de deal. Au sortir de la seconde guerre mondiale, Dreux était une ville paisible, mais après avoir été déclarée ville ouverte, voilà le résultat : un coupe-gorge, un cloaque.
C’est bien la preuve que l’envahisseur est protégé
Tout à fait d’accord sur la tenue des profs.
Quand je regarde mes vieilles photos de classe je vois un autre monde, presqu’une autre planète.
Élèves comme enseignants avaient une allure respectable.
Un professeur, même le plus sympa, n’est pas un « pote ».