« Emmanuel Macron semble doté d’une énergie inépuisable. Sa lecture rapide des sujets et son habilité contrastent avec son incapacité à ressentir les aspirations concrètes et les souffrances silencieuses du peuple français. Dans la solitude de son palais, habitué des cénacles brillants où le peuple ne pénètre jamais, le quotidien des petits semble si loin de lui…
Emmanuel Macron a horreur de la vie réelle. Il n’aime que les rêves qui jaillissent de son cerveau bouillonnant. Pour trouver un successeur à Catherine Pégard, à la tête de l’établissement public du château de Versailles, il a réfléchi plus de trois ans…
La journaliste Corinne Lhaïk le surnommait le « Président Cambrioleur ». Le jeu de mots était séduisant. Mais il est d’abord un président procrastinateur. Il s’aime et s’adore plus que tout. Il se complaît dans des raisonnements infinis. Puis, il ne décide de rien. Ou si péniblement. Si lentement. Il y a eu ces petites phrases, blessantes, méprisantes, dès son accession au pouvoir.
Emmanuel Macron n’aime pas les Français modestes. Combien de fois aura-t-il montré une attitude supérieure qui démontrait son mépris pour tant de nos compatriotes ? Professoral et doctrinal, cet homme se perd dans les notes techniques de son secrétaire général, l’inamovible Alexis Kohler. Son absence d’affect m’a souvent laissé perplexe.
Il aime les grandes démonstrations économiques et statistiques ; mais il s’efface quand nous parlons des passions françaises, de l’âme et de la chair de notre Nation. Emmanuel Macron possède une maîtrise de ses dossiers ; mais les questions sociales et identitaires le laissent froid.
Dans Le Fil de l’épée, Charles de Gaulle, visionnaire, érige le caractère en vertu essentielle des temps difficiles. Il définit l’autorité et l’instinct comme les qualités premières d’un chef. Quand on abandonne l’autorité de l’État, quand ce supplément d’âme qui permet à l’homme d’État de faire siennes les douleurs des Français disparaît, alors la France n’est plus pleinement comprise et défendue. Peut-on présider sans épouser les sentiments profonds d’une Nation ?
Les errements pathétiques du « en même temps » furent en réalité une débâcle nationale. Emmanuel Macron est capable de dire tout et l’inverse de tout. Il a l’assurance de ceux qui sont certains d’avoir toujours raison. Sa prétention ne s’embarrasse pas de l’histoire séculaire du pays. Au fond, sa conviction européenne est son unique port d’attache.
Personne ne sait réellement ce que pense le chef de l’État. Il dit à son interlocuteur ce qu’il veut entendre. Emmanuel Macron veut plaire. Pour être aimé, il entend demeurer insaisissable. Son goût pour la séduction, la tergiversation et la parodie nous conduit à reproduire les pires errements de la IVe République. Il fait montre d’une incapacité à exprimer un cap clair, contredisant le général de Gaulle selon lequel un chef se doit de « dominer les événements, y imprimer une marque et d’en assumer les conséquences ».
Par sa volatilité idéologique et son goût de la disruption, il est l’architecte d’une société liquide, dans laquelle l’individu tout-puissant devrait nécessairement faire fi des grands récits, des enracinements, des attaches et des valeurs qui s’imposent à l’histoire. « Il n’y a pas de culture française », dira-t-il en 2017, lors de sa première élection présidentielle, pour signifier que la culture qu’on appelle française serait un corps abstrait construit exclusivement d’apports extérieurs. Comme un symbole, il enterrera cette culture française qui, pour lui, n’existait plus : les monstres sacrés de la littérature, de la chanson et du cinéma français, témoins d’une époque où la France semblait plus libre, confiante jusqu’à l’insolence, ne sont pas dupes. Alain Delon a voulu rester à l’écart de ce théâtre de pacotille. Il a refusé l’hommage national que l’Élysée voulait lui imposer. Ce pays ne s’aime plus assez. Il fut pourtant la patrie de légendes vivantes. Jeanne Moreau, Jean-Paul Belmondo, France Gall, Johnny Hallyday, Charles Aznavour : autant de représentants d’une France populaire qui échappe au président et qui n’est pas décidée à disparaître.
La France n’intéresse pas Emmanuel Macron. Il se sent tellement plus important… »
Ce que je cherche de Jordan Bardella
En complément :
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Moumoute, le frimeur, flambeur (avec le pognon des autres, comme tout bon socialope), et surtout, surtout, un tourne-casaque.
Je hais les gens ( comme ma tante ) qui ont voté pour lui en 2017 !!!
Votre article apporte, heureusement, un peu de justice à Jordan Bardella. En effet, j’ai trouvé ici même que certains étaient fort critiques envers lui, allant jusqu’à dire qu’il était « nul », j’en passe et des meilleures. Or, pendant la campagne il s’est s’exprimé parfaitement bien, notamment pendant ses discours ! Il sait se contrôler également face aux journalistes, il a une excellente répartie. Je le trouve prometteur, eu égard à son jeune âge. L’analyse qu’il fait de Macron dans son livre prouve sa grande lucidité. Qui dit mieux ?
Comme banquier combinard capable d’enjôler ses interlocuteurs, il et probablement une pointure, comme président de la République Française, il est un imposteur.
Un psychopathe mène par les financiers pour ruiner la France et qu’elle soit dépecée par les oligarques mondiaux.
Baldur von Schirach, un nazi repenti, avait déclaré que Hitler était arrivé au « bon moment », dans une Allemagne désemparée qui avait besoin d’un dictateur. « Si ce n’avait été Hitler, ça aurait été un autre, peut-être aussi fou que lui, » avait-il dit au procès de Nuremberg. Je pense que Micron aussi est arrivé au « bon moment » en France, dans une France décérébrée et déboussolée qui avait besoin d’un chef lui-même déboussolé et décérébré.
Faites savoir CONCRETEMENT au président que vous aussi vous trouvez savoureux le portrait de Micron dressé par Bardella :
IMPRIMER l’article et l’ENVOYER par La Poste à l’adresse postale du président.
Vu que ça ne coûte même pas un timbre puisque le courrier au président (SANS mention du nom) est dispensé d’affranchissement, y’a pas de raison de s’en priver !
L’ADRESSE POSTALE PUBLIQUE du président se trouve au paragraphe 2 sur la page
https://formalites-administratives.ooreka.fr/fiche/voir/632053/ecrire-au-president-de-la-republique
Pour imprimer l’article facilement, cliquer sur l’icone « + » blanc sur fond bleu en toute fin d’article puis sélectionner l’icône PrintFriendly.
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Mettre les feuilles dans une enveloppe, écrire l’adresse SANS le nom, NE PAS timbrer et poster.
« Jeanne Moreau, Jean-Paul Belmondo, France Gall, Johnny Hallyday, Charles Aznavour » tous anti-Front national acharnés. La famille d’Hallyday avait refusé la présence de MLP aux obsèques de Johnny. Quant à Alain Delon, gaulliste, il n’avait pas soutenu en 2020 la candidate LR ni le candidat RN. Il avait soutenu Samia Ghali PS. » Comprenne qui pourra ». https://www.la-croix.com/France/Politique/second-tour-municipales-2020-marseille-candidats-ville-arrondissement-2020-06-18-1201100463
Je remercie chaleureusement les cons qui l’ont porté par deux fois au pouvoir et qui s’en détournent aujourd’hui. La qualité essentielle des cons est de changer d’avis dès que le vent tourne et de nier leur responsabilité. Il faudrait des asiles pour cons, mais vous imaginez la surface nécessaire pour y ériger ces bâtiments ?
En parlant de cons Hanouna était un fervent soutien du micron.
Mais le vent tourne et le guignol nous fait croire qu’il est maintenant de notre tendance via C8 et Europe1.
Il reste malgré tout pote avec ségogole qu’il reçoit à bras ouverts chaque semaine.
Un con, un vrai, qui a malheureusement des défenseurs ici…
Il est défendable car il exprime nos idées et permet à ceux d’entre nous de les exprimer par une liberté d’antenne nulle part égale, ne vous en déplaise Mantalo. Il invite tous les bords politiques et qu’il puisse avoir des affinités affectives avec des personnalités politiques contraire à ses idées prouve au contraire que c’est quelqu’un de bien. J’ai des gens de gauche dans ma famille comme vous sans doute et pourtant je sais qui ils sont et reconnais leurs qualités humaines. Personne n’étant parfait, nous ne sommes que de passage, autant profiter du meilleur de chacun, voir ce qui nous rassemble plus que ce qui nous divise. J’avais un directeur commercial à une époque qui disait que la plupart des gens en France voyaient les défauts des autres avant de voir leurs qualités et que si l’inverse se produisait nous avancerions bien mieux. Ma foi, il avait tout à fait raison ce monsieur.
Non Jean Neth,
même avec la meilleure volonté du monde je ne vois dans ce type qu’un « escroc » intellectuel qui se fout de nous, le principal étant de « faire de l’ audience » donc du pognon (je n’ ai rien contre le pognon).
Ras le bol de ces pitreries de gamin de CM1.
Il nous ridiculise.
Argo, vous nous faites du EINSTEIN, lui qui hésitait beaucoup moins sur l’immensité sans limites de l’univers que sur la khonnerie des individus bipèdes!