Auteur Amy Mek journaliste d’investigation article original en anglais ici
Le Japon se trouve à la croisée des chemins : soit il défend son intégrité culturelle face à la menace islamique croissante, soit il est confronté à la même désintégration sociétale, au même effacement culturel et à la même domination d’idéologies étrangères que celles qui ont plongé la Suède dans le chaos.
Le Japon, nation réputée pour son homogénéité culturelle, ses traditions profondément ancrées et son harmonie historique, est aujourd’hui confronté à une menace existentielle croissante. L’augmentation de la population musulmane, alimentée par l’immigration et les mariages mixtes, marque le début de ce qui pourrait être une défaite culturelle. Les leçons tirées de l’expérience de la Suède, qui fut l’une des sociétés européennes les plus cohésives, les plus prospères, les plus civilisées et les plus sûres, constituent un avertissement majeur. La croissance rapide de l’islam au Japon menace de perturber le délicat tissu social qui maintient l’unité de ce pays depuis des siècles.
Un changement démographique radical
Au cours des vingt dernières années, la population musulmane du Japon est passée de 10 000 à 20 000 personnes en 2000 à plus de 200 000 aujourd’hui, soit une multiplication par dix en l’espace de vingt ans. Autrefois rares, les mosquées jonchent aujourd’hui le paysage des centres urbains, avec plus de 110 mosquées en activité dans tout le pays. Il ne s’agit pas d’une croissance organique, mais d’un phénomène importé, induit par des politiques d’immigration ouvertes, des établissements religieux financés par l’étranger et un nombre croissant de mariages mixtes. Alors que le Japon peut s’enorgueillir de sa garantie constitutionnelle de la liberté religieuse, cette croissance s’accompagne d’un certain nombre de restrictions.
L’effondrement de la Suède : un avertissement pour le Japon
La Suède est un exemple édifiant de ce qui se passe lorsque l’on laisse l’immigration islamique échapper à tout contrôle. Autrefois réputée pour sa société pacifique et cohésive, la Suède est aujourd’hui un pays aux prises avec des taux de criminalité en hausse vertigineuse, des zones d’exclusion, séparatisme, et la montée d’une culture islamique parallèle qui rejette activement l’intégration. Ce qui avait commencé comme une politique d’immigration apparemment compatissante s’est métastasé en un chaos sociétal – tribunaux de la charia, érosion des droits et de la sécurité des femmes et suppression constante des normes culturelles indigènes de la Suède.
Gunnar Sandelin, journaliste et auteur suédois respecté, a largement documenté la transformation démographique de son pays. Aujourd’hui, 30 % de la population suédoise est née à l’étranger, un changement sismique qui modifie fondamentalement l’identité de la nation. M. Sandelin prévient que la Suède est en passe de devenir le pays européen le plus peuplé de musulmans, une perspective effrayante pour une nation dont le tissu culturel s’effiloche sous les yeux de ses citoyens.
Entre 2000 et 2023, la Suède a vu sa population d’origine étrangère augmenter de près de 1,5 million de personnes, tandis que la population suédoise de souche a diminué de 25 000 personnes. L’écrasante majorité des immigrants sont originaires de pays à majorité musulmane tels que la Syrie, l’Irak, la Somalie, l’Afghanistan et l’Érythrée. Quant aux Suédois de souche qui quittent leur patrie, ils fuient un pays qui se sent de plus en plus étranger à son propre peuple.
En critiquant ouvertement ces évolutions, M. Sandelin a été ostracisé professionnellement, banni des grands médias pour avoir révélé la vérité sur l’échec des politiques migratoires de la Suède. Son expérience nous rappelle une fois de plus les conséquences de la dénonciation de l’islamisation d’un pays occidental.
Pour le Japon, la leçon est claire : l’effondrement de la Suède n’était pas inévitable, c’était un choix. En ignorant les incompatibilités entre les pratiques islamiques et les valeurs occidentales, la Suède a privilégié le multiculturalisme au détriment du bien-être de ses propres citoyens. Le Japon ne doit pas commettre la même erreur. L’afflux incontrôlé de migrants islamiques risque d’éroder l’unité culturelle et la stabilité sociétale du Japon, comme cela a été le cas en Suède.
Le choc des civilisations : islam contre shinto
Les principes fondamentaux de l’islam sont intrinsèquement incompatibles avec la religion indigène japonaise, le shinto. Le shintoïsme, qui vénère les kamis (esprits divins) et a une vision animiste du monde, se nourrit d’harmonie, de gratitude et d’ouverture. L’islam, en revanche, affirme l’exclusivité d’Allah et impose un monothéisme rigide de son Dieu, Allah, condamnant l’adoration de tout ce qui sort de son cadre comme de l’idolâtrie ou de l’hérésie. Ces différences théologiques ne sont pas académiques ; elles se manifestent dans la vie quotidienne, entraînant inévitablement des frictions et des violences.
La coexistence du shintoïsme et du bouddhisme pendant plus d’un millénaire témoigne de la nature tolérante et syncrétique de la spiritualité japonaise. En revanche, l’islam n’offre pas une telle flexibilité. Son histoire, depuis le prophète Mahomet jusqu’aux mouvements islamiques contemporains, regorge d’exemples de domination au détriment de la coexistence. Le Coran lui-même impose un cadre de soumission : La « paix » signifie l’acceptation de la loi islamique, et la « tolérance » n’est accordée qu’à ceux qui acceptent de vivre comme des citoyens de seconde zone sous le régime islamique.
Érosion culturelle et demandes de concessions
Comme on l’a vu en Europe, les communautés islamiques ne se contentent pas de coexister, elles remodèlent les sociétés qui les accueillent. En Suède, les musulmans ont exigé des menus exclusivement halal dans les écoles, l’abolition des célébrations de Noël et des mosquées financées par les contribuables. Le Japon voit déjà les premiers signes de cette tendance. Les mosquées japonaises, telles que la Masjid Istiqlal Osaka, sont financées par des dons étrangers, principalement en provenance d’Indonésie et du Moyen-Orient. Ce financement est souvent assorti de conditions, ce qui favorise les centres idéologiques qui privilégient l’identité islamique par rapport à l’intégration.
La stratégie de la Hijrah : La migration comme arme
La migration islamique, ou hijrah, n’est pas un phénomène passif. Il s’agit d’une stratégie calculée visant à répandre l’islam et à établir une domination, comme le souligne le Hadith : « Je vous charge de cinq des choses dont Allah m’a chargé : vous rassembler, écouter, obéir, émigrer et mener le djihad pour l’amour d’Allah ». Il ne s’agit pas d’une interprétation, mais d’une doctrine islamique. L’expérience de l’Europe en matière de hijrah a conduit à l’érosion des identités nationales et à la montée de sociétés parallèles. Avec sa population vieillissante et ses pénuries de main-d’œuvre, le Japon risque de tomber dans le même piège.
Que faut-il faire ?
Le Japon doit prendre des mesures décisives pour préserver son identité culturelle et sa sécurité nationale :
- Restreindre l’immigration en provenance des pays islamiques : Mettre en place des contrôles stricts de l’immigration pour freiner l’afflux de migrants musulmans.
- Interdire les mosquées financées par l’étranger : Empêcher les gouvernements et organisations étrangers de financer des institutions religieuses au Japon.
- Éduquer le public : Sensibiliser le public à l’incompatibilité des doctrines islamiques avec les valeurs japonaises.
- Assimilation forcée : Exiger que tous les migrants adhèrent aux lois, à la culture et aux traditions japonaises sans exception, sous peine d’être expulsés.
Conclusion : Le Japon à la croisée des chemins
Le Japon se trouve à un moment charnière. Il peut soit préserver son identité culturelle unique, soit subir le même sort que la Suède, une nation désormais méconnaissable en raison de son incapacité à faire face aux réalités de l’immigration islamique. Les enjeux sont importants et il est temps d’agir. L’arrivée de l’islam au Japon n’est pas seulement un phénomène religieux ; c’est un défi culturel et idéologique que la nation doit affronter de front. Sans une action rapide et décisive, la société harmonieuse du Japon risque d’être démantelée, mosquée après mosquée.
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Les Japonais?
Non se sont leur seigneurs qui sont victimes de trois crapaux comme bien des seigneurs sur la terre actuelle, les trois crapauds sont méchants et inspirent uniquement leurs victimes en particulier des autorités qui soumettent les humains par la force.
« 13 Je vois, hors de la bouche du dragon, hors de la bouche de la bête, et hors de la bouche du faux inspiré, trois souffles immondes comme des crapauds.
14 Oui, ce sont les souffles des démons, faiseurs de signes ; ils vont vers les rois de tout l’univers, pour les rassembler pour la guerre au grand jour d’Elohîms Sebaot ».
Apocalypse 16/13 à 15.
La pénétration de cette pseudo religion se fait probablement grâce à l’argent qui est versé à des responsables aussi corrompus qu’en occident. L’argent ça pourrit tout sauf que cette fois il risque de nous faire disparaître à jamais. Il y a probablement un plan de conquête élaboré dans les oligarchies pétrolières. C’est tellement grave ce qui se passe en ce moment sur toute la planète, tellement grave.
https://www.youtube.com/watch?v=atPttuTnyMo
Heureusement que Yhwh et Yeshoua refusent éternellement de se nommer Dieu, conformément à Exode 3/13 à 15 et Psaumes 89/34.
Le Japon va-t-il se faire Hara-Kiri ???
Quelle tristesse.
Et maintenant c’est le Japon qui est confronté à c’est islam qui est devenu en 20 ans un turbo cancer qui va de plus en plus vite. Allah est content, les cons les acceuillent au nom des droits de l’homme. Foutaise.
Quelle désolation que même le Japon se fasse avoir, qu’ils ne comprennent pas les volontés de conquête des musulmans initiés il y a 1500 ans qui à l’époque se faisaient à cheval et au sabre, et qui aujourd’hui se fait en s’installant dans les pays à conquérir, d’abord par quelques-uns pour travailler qui ramèneront leurs familles, puis d’autres, et d’autres encore qui vont tous se multiplier et se communautariser, ils demanderont à pouvoir pratiquer leur culte, faire construire une mosquée, puis une autre… Et c’est plié, la pieuvre islamiste s’installe dans le nouveau pays, et s’étend, puis prend le pouvoir progressivement sur la société à conquérir et sur les décisions politiques… etc… Dans 20 ans toute la planète sera islamisée, si l’on ne stoppe pas cette pieuvre de s’installer… Et nos gouvernants s’en fichent, ils ont leurs postes d’élus. Il faudrait interdire ce culte sectaire, communautariste et inquisiteur qui prive ses pratiquants de toute liberté de penser et d’agir depuis le 7 ème siècle, et cela risque fortement d’être notre avenir sur Terre.
C’est aussi foutu pour le Japon, hélas! 200 000 muzz et 110 mosquées ??? Bœuf de Kobé halal et shariah, que du bonheur ! Bravos les japonais.