Le dernier message de René Marchand : musulmans, rentrez chez vous comme Mahomet l’ordonne

Hubert Lemaire, auteur de  Musulmans,vous nous mentez, était présent aux obsèques de  René Marchand.  Il vient de nous  faire parvenir la préface écrite par René du livre que Hubert est en train de terminer.

La voici, venue d’outre-tombe, témoignant de la clarté d’esprit de notre René, parti à 89 ans obsédé par l’idée que l’islam est le danger majeur de notre pays, de notre civilisation. Il a passé sa vie à étudier l’islam et les textes coraniques, dans le texte, il avait fait Langues O,  avait travaillé dans des pays musulmans et avait lu d’innombrables livres en arabe.

Cette préface est d’autant plus émouvante qu’on y retrouve la malice, l’ironie, le goût du rire de René, même pour parler des choses les plus dangereuses qui soient. René est encore là, avec nous, avec son rire et sa tendresse pour nous.

Peut-être que ce « testament »de René nous fait courir le risque d’un procès supplémentaire, puisqu’il parle de la  remigration des musulmans en général, mais j’en assume le risque en tant que directeur de publication car il s’agit d’un testament, et on ne réécrit pas un  testament, on l’ouvre et on le partage.

Christine  Tasin

Préface

       Les deux volumes de « ÇA SUFFIT ! Musulmans, rentrez chez vous comme Allah et Mahomet vous l’ont ordonné. » constituent une excellente thérapie pour guérir les Français des maladies qui, de tout temps, ont débilité leurs facultés intellectuelles dans leurs relations avec l’islam, à savoir : l’ignorance, le mépris, l’ethnocentrisme, le chronocentrisme.

De nos jours, ces quatre malfaisances additionnent et multiplient leurs effets dans une parfaite synergie, et avec une efficacité telle que, en prolongeant simplement les courbes actuelles, on peut prévoir la fin de la nation France et de sa culture, « le Grand Remplacement », bien avant la fin du siècle.

L’ignorance : nous n’avons jamais manifesté la moindre curiosité pour les musulmans, ces voisins proches, aujourd’hui présents sur notre territoire. A l‘époque où notre empire comptait des dizaines de millions d’adorateurs d’Allah, nous n’avons jamais formé plus de cinq ou six professeurs agrégés en langue arabe chaque année. Notre ignorance était et demeure de la pire espèce : celle de qui ne sait pas qu’il est ignorant, qui croit n’avoir rien à apprendre. Or, la civilisation islamique a ses traits propres, uniques, qui la font radicalement différente de la nôtre et devraient nous appeler à un minimum de curiosité.

Pourquoi, pensions-nous – et pensons nous encore – nous préoccuper de peuples que nous avons souvent vaincus et, pour beaucoup, colonisés ; qui se révèlent incapables de s’agréger au monde technico-scientifique ; qui, selon toute vraisemblance, demeureront sous-développés à jamais ? Notre ignorance s’explique en partie par notre mépris.

Ignorance et mépris se conjuguent pour nous conduire aux pires défauts de l’intelligence dans les relations entre cultures.

L’ethnocentrisme nous fait croire que l’islam n’est rien d’autre qu’une variété du monothéisme, au même titre que le christianisme, et que nous pouvons quasiment superposer pièce à pièce leurs composantes. On néglige complètement que l’islam, s’il est une croyance, est aussi un système juridique, une Loi totalitaire, prétendant régir toutes les situations individuelles ; qu’il est expansionniste ; qu’il peut être guerrier… Toutes caractéristiques étrangères au christianisme…

… du moins au christianisme tel que nous le connaissons au vingt-et-unième siècle. Nous pensons que l’islam va nécessairement connaître la même évolution que le christianisme, qu’il renoncera à agir dans le champ civil et se limitera à n’être qu’une foi du domaine privé. Les « chronocentristes » citent volontiers les noms d’Atatürk, de Nasser, de Bourguiba, qui eurent, il est vrai, beaucoup de disciples hier, mais n’en n’ont plus aucun aujourd’hui. Les peuples de tradition musulmane ne vont plus chercher la fierté d’appartenance, dont ils ont un besoin vital comme tous les peuples, dans les valeurs et les comportements des Occidentaux, à leurs yeux, dévalués. Les imams qui évoquent la possibilité d’un islam modéré, limité à la sphère privée, ne prêchent que hors des cinquante-sept pays musulmans, où leurs paroles seraient vite et durement sanctionnées ; tous ne s’expriment qu’en Europe et, disons-le nettement, ils ne sont rien d’autre que des taupes de l’islam réel.

La stratégie actuelle de l’islam pour la conquête de l’Europe s’articule en quelques axes simples à exposer :

– faire venir sur le vieux continent le maximum de musulmans ou d’individus susceptibles de devenir musulmans (en priorité, des Africains subsahariens, en manque d’une culture à l’échelle mondiale) ;

– « réislamiser » les musulmans de la diaspora, plus ou moins occidentalisés, c’est-à-dire les soumettre rigoureusement à la Loi, à la charia ;

– « habituer les Européens au fait musulman » : mosquées, femmes voilées, cantines halal…

– créer des zones à peuplement majoritairement musulman ;

– faire reconnaître ces zones comme des « places de sûreté » (cf. les villes accordées aux protestants pendants nos guerres de religion) garantissant le plein exercice de la charia, et seulement de la charia ;

– à partir de là, dynamiser l’expansion, au besoin par la violence, par le djihad armé.

Les conquérants n’ont cessé de remporter victoire sur victoire dans une guerre – dont nous, leur adversaire, ignorions qu’elle nous était livrée. L’arme la plus puissante dont ils ont disposé, et disposent encore, c’est un mot. « L’islam est une religion », disent à l’unisson dirigeants, politiciens, intellectuels, citoyens ordinaires, catholiques, francs-maçons… Tous, par cette définition, nous enjoignent implicitement à une « tolérance absolue à l’égard de qui croit ou ne croit pas ».

Ainsi, nous avons laissé, et laissons encore, un totalitarisme guerrier prendre toutes ses aises chez nous pour avancer vers sa victoire définitive. Les historiens du futur riront, comme rient déjà les chefs de l’armée de conquête, en constatant que des Français ont cru à la capacité de la laïcité pour vaincre ce qu’ils appelaient « l’islam politique » : « Quels crétins, diront nos descendants, étiez-vous pour ne pas avoir compris que votre fameuse loi de 1905 déboucherait un jour sur votre asservissement ! »

Que peut-on faire ?

Le général américain MacArthur a dit un jour à son confrère Eisenhower : « L’explication de toutes les défaites dans toutes les guerres tient en deux mots : too late, trop tard. »

Dans la guerre actuelle, le temps joue terriblement contre nous. Nous devons lancer la contre-offensive au plus tôt.

Une première mesure s’impose à chacun d’entre nous : ne plus définir l’islam comme une « religion » dans nos propos. En même temps, nous devons faire pression sur nos élus pour qu’ils le requalifient par la loi au plan juridique.

Le simple examen de sa réalité montrera – plus : démontrera – qu’il est incompatible avec notre civilisation, et d’abord avec la devise de notre république. Pas de liberté pour un musulman ou un enfant de musulman, et notamment pas de liberté de conscience : quitter l’islam, c’est se condamner à mort. Pas d’égalité entre « croyants » et « mécréants » ; ceux-ci doivent accepter un statut de sous-hommes sociaux, d’Untermenschen, ou disparaître. Pas de fraternité, sinon entre membres de la Oumma, de la Maison de l’islam (Maison, non de la paix, mais de la soumission), tous les autres humains  étant cantonnés dans la Maison de la guerre.

Le peuple français est prêt à interdire l’islam chez lui. Tous les sondages laissent prévoir un résultat largement positif à un référendum proposant une loi en ce sens. Donc action !

L’ouvrage d’Hubert Lemaire doit aider à limiter le nombre des aveugles et rendre la position des lâches de plus en plus intenable. Véritable encyclopédie, il contient tous les arguments pour le combat.

Lisez : « ÇA SUFFIT ! Musulmans, rentrez chez vous comme Allah et Mahomet vous l’ont ordonné. » Relisez. Faites lire.

                                                                     René Marchand*

           *Ancien élève de l’École nationale des langues orientales vivantes, licencié en langue et littérature arabe (Sorbonne). A fait l’essentiel de sa carrière dans l’audiovisuel comme journaliste, producteur, cadre supérieur. Auteur de plusieurs livres sur l’islam, notamment : La France en danger d’islam (2002),  Mahomet, contre-enquête (2006), Reconquista ou mort de l’Europe (2013).  

 843 total views,  1 views today