Au fou ! Des élèves équipés de GPS pour lutter contre les inégalités sexuelles !!!

Pour lutter contre les inégalités sexuelles ou pour en faire de petits caniches sans personnalité, sans liberté  ?

Vomir, tout casser ? Ça ne servirait à rien. Une seule solution, virer tous ces tarés, les ridiculiser et faire comprendre aux électeurs des écolos-dingos qu’ils creusent la tombe de leurs enfants… et la nôtre.

Il paraît donc que, à Strasbourg, territoire auto-proclamé indépendant, on ne connaît pas la déclaration des droits de l’homme ni la Constitution qui proclame l’égalité de tous les hommes. Strasbourg, (par un coup des Martiens sans doute) vit à l’heure des temps obscurs où les femmes n’avaient pas de droits, seulement des devoirs et ne pouvaient prétendre être les égales des hommes.

Les élus de Strasbourg, pris d’un accès de folie collectif, ont donc entrepris de déceler et dénoncer cette inégalité hommes-femmes qui se cache jusqu’au fond de la cour de récréation…

Il paraît que des observateurs pas du tout objectifs auraient remarqué que les garçons occupaient bien plus de place que les filles, parce qu’ils ont l’outrecuidance de préférer  jouer au ballon (saletés de mecs ) pendant que les filles se concentrent dans les petites cabanes, sur les bancs, histoire de discuter. Il paraît que si les filles préfèrent rire, papoter, plutôt que de faire un foot, ce serait dû à l’héritage d’une société patriarcale et misogyne. ; bref, une abomination, due à la transmission des inégalités transmises par les parents, les cousins, la société…

Alors on va transformer les pauvres élèves qui, jusqu’alors attendaient avec impatience le moment de la récré pour vivre leurs envies en toute liberté en cobayes, oui, en cobayes, équipés de GPS pour les suivre dans toute la cour et en tirer les conclusions déjà faites de visu (et même sans « visu »)… tout ça pour ça ! Tout cela pour réduire au maximum les espaces de jeux de ballon et augmenter ceux réservés aux cabanes, aux jardins, aux bancs, aux espaces végétalisés (sic )… Quand je vous parle d’écolos-dingos, vous commencez à comprendre ?

Bref, les pauvres gosses, garçons ou fille squi ne tiennent déjà pas en place assis sans bouger 6 h par jour vont être contraints de se promener, de s’asseoir, de parloter… au lieu de courir, de se détendre, de faire de l’exercice…

Franchement, je rêve de déporter en Guyane tous ces abrutis, ces liberticides, ces tueurs d’enfants et de libertés. Mais le pire c’est qu’il y a des parents pour dire béni-oui-oui… Au moins 125 parents qui devraient être déchusde leur autorité parentale ; quand aux enseignants et aux élus du coin, c’est la camisole de force qu’il leur faudrait.

Fermement décidée à enrayer les inégalités entre les filles et les garçons, la mairie écologiste de Strasbourg a décidé de s’attaquer aux cours de récréation. Pour connaître l’occupation de cet espace par les enfants, elle les a dotés de vêtements équipés de GPS. 

Dans certaines écoles de la ville de Strasbourg, le rituel avant chaque récréation est désormais le suivant : les enfants doivent enfiler un gilet connecté capable de les localiser, comme le relate Le Parisien. L’objectif de cette expérimentation est d’arriver à une répartition de l’espace plus équitable entre les enfants des deux sexes, mais aussi de réaménager ces lieux en les végétalisant.

« Des filles qui évoluent dans un très petit espace »

Christelle Wieder, adjointe à la Ville de Strasbourg en charge des droits des femmes, a expliqué à nos confrères que depuis six mois, 125 élèves volontaires de primaire de tous les niveaux et de différentes écoles portent ces gilets connectés. Selon elle, « 80 % de l’espace d’une cour de récréation est occupé par seulement 20 % des enfants et majoritairement des garçons ».

Avec ces gilets connectés sur le dos, la géolocalisation des enfants se fait en temps réel. « Nous obtenons des données très précises », affirme encore Christelle Wieder. « On constate qu’il y a une discrimination de sexe avec des filles qui évoluent dans un très petit espace mais aussi d’âge puisque ce lieu est très largement occupé par les CM2 et CM1 au détriment des CP » souligne-t-elle.

Au sein de l’école élémentaire Paul Langevin, située dans la rue Lavoisier à Strasbourg, des élèves de CM1 expliquent à nos confrères de France Bleu que seulement les filles sont dans le bac à sable ou dans les cabanes. « Et nous les garçons, on prend tout cet endroit pour jouer à épervier tout ensemble. Ou au basket », ajoutent-ils.

Extraits tirés d’un article d’Epoch Times  à lire pour la suite de l’extrait ci-dessus

 

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6 Comments

  1. -« Vomir, tout casser ? Ça ne servirait à rien. Une seule solution, virer tous ces tarés, les ridiculiser et faire comprendre aux électeurs des écolos-dingos qu’ils creusent la tombe de leurs enfants… et la nôtre. »-

    J’adhère TO-TA-L’MENT à votre pensée et partage vos sentiments. C’est révoltant, répugnant, indignant… oui ! le seul terme pour résumer c’est : la NAUSÉE.

    Ce que je ne comprends pas, c’est commnt il peut y avoir une très grosse partie de la popultion qui soutienne çà au point de nous l’imposer! Nous mentirait-on sur l’importance de l’adhésion de la population française à toutes ces métamorphoses sociétales déviantes ?

    @Madame Tasin, que j’aime vos coups de gu.ule ! Merci pour eux. Merci mille et mille fois pour votre précieuse résistance salutaire pour la France et les Français ; nous en avons tellement besoin. Il faut que ça paie ! tenez bon, tenons bon et ne nous laissons pas bercer par des sirènes qui chantent si faux.

    • Merci MSDO je vais rougir ! Je transcris, je crois, les coups de gueule que la plupart de nos concitoyens ne peuvent pousser car sans moyen de les rendre publics… c’est très simple et très humble. Je vous embrasse

  2. A mon époque il y avait un grillage qui séparait la cour des filles de celle des garçons, les surfaces étaient identiques on se parlait à travers le grillage, les classes n’étaient pas mixtes pour éviter que l’on se laisse distraire par les dessous des jupes des filles
    Tout ça fonctionnait trop bien il a fallu foutre le bordel en mélangeant tout le monde et au ministère on s’interroge sur les notes pitoyables des élèves, en fait ils font semblant de s’interroger car tout ça est voulu pour faire des idiots faciles à manipuler

  3. Quand je pense que lorsque j’étais à l’école primaire, nous jouions tous ensemble, filles et garçons, dans toute la cour avant que le foot ne prenne le pas. Les garçons jouaient alors sous le préau (parce qu’il y avait les portes pour faire le but), et les filles jouaient dans toute la cour (ooh, les vilaines). Ah oui, je suis une fille et… Je jouais au foot avec mes copains.

  4. Il faudrait équiper les cons de cette espèce d’un GPS avec décharges électriques incorporées. À chaque connerie prononcée, une décharge. La société s’en porterait mieux.