On se doutait qu’il y aurait des coups fourrés et que la victoire de Trump n’empêcherait pas les démocrates encore au pouvoir pour 2 mois de pousser Poutine à passer à la guerre contre les soutiens de Zelensky. Contre nous, donc, puisque représentés par le fou furieux Macron.
Déjà, en juin, l’OTAN avait essayé de violer l’opposition à la guerre des pays européens comme la Hongrie ou la Slovaquie
Déjà, en juillet, Poutine avait prévenu, oeil pour oeil, dent pour dent, ils ne pourront pas dire qu’ils ne savaient pas.
Déjà, en septembre, les députés européens, assurés quant à eux de ne pas être mobilisés et d’avoir les moyens de survivre en temps de guerre, avaient voté la guerre comme un seul homme.
Il y a un mois, nous attirions l’attention de nos lecteurs sur l’escalade qui se mettait en place
Pendant que l’on braque les projecteurs sur la Palestine, l’OTAN vient d’autoriser, à la suite de l’Union Européenne, Zélensky à frapper le territoire russe avec les missiles longue portée que l’Occident lui a donnés.
Nous sommes à un mois de l’élection américaine qui n’est gagnée pour personne, les sondages étant contradictoires, avec deux candidats, dont l’un promet la guerre, Harris et l’autre la paix, Trump. En prenant la décision d’autoriser Zélensky à frapper la Russie en profondeur, c’est bien le risque d’une guerre nucléaire qui est pris et plus globalement, le choix de se dépêcher de la déclencher avant que Trump n’arrive éventuellement. Cela montre accessoirement que le gouvernement actuel a peur qu’il arrive et par conséquent, qu’il souhaite que la guerre continue. Ceci alors que l’armée Ukrainienne est exsangue, que les pertes son effroyables et que tout cela nous coûte un bras.
Et voici que le sénile Biden, téléguidé comme d’habitude, sans doute, par Obama vient de déclarer sous faux drapeau la guerre à Poutine.
Ces armes d’une portée maximale de plusieurs centaines de kilomètres permettraient à l’Ukraine d’atteindre des sites logistiques de l’armée russe et des aérodromes d’où décollent ses bombardiers. Les missiles ATACMS fournis par les Etats-Unis devraient initialement être utilisés dans la région frontalière russe de Koursk, où ont été déployés des soldats nord-coréens en appui des troupes russes, selon le New York Times, qui cite des responsables américains s’exprimant sous couvert de l’anonymat.
Joe Biden aurait donné son accord à l’Ukraine pour frapper la Russie en profondeur avec des armes américaines C’est ce que l’on redoutait. Ultimes grandes manoeuvres pour porter la guerre en Europe… et, peut-être, pour empêcher l’investiture de Trump pour cause de guerre en cours ? Cette décision, publiée par le New York Times, intervient deux mois avant la passation de pouvoir entre Joe Biden et Donald Trump, soupçonné de vouloir réduire le soutien à l’Ukraine. Selon le quotidien américain, la Maison-Blanche a levé son interdiction en riposte au déploiement de 10.000 soldats nord-coréens par la Russie. Une escalade dans le conflit, rendue nécessaire par les pertes élevées des deux belligérants. Joe Biden avait déjà autorisé, fin mai dernier, l’Ukraine à utiliser son lance-roquette multiple HIMARS contre le territoire russe, mais simplement pour défendre Kharkiv, la deuxième ville du pays, menacé par une intrusion importante de l’armée russe. Plusieurs observateurs voyaient dans la prudence américaine jusqu’à présent la crainte d’une escalade avec la Russie. Mais aussi des frappes sur des zones pétrolières qui auraient déstabilisé le marché mondial. Les frappes d’ATACAMS pourraient être utilisées pour repousser un assaut prochain d’au moins 50.000 soldats, dont des Nord-Coréens, dans la région russe de Koursk en partie occupée par l’armée ukrainienne. |
Evidemment, tous les regards se tournent vers Trump.
Cette ultime manoeuvre des salopards a-t-elle pour objectif de forcer la main de Trump qui arriverait au moment où la guerre serait déclarée et que les dégâts de tous côtés rendraient la paix difficileà négocier ?
Cette ultime manoeuvre des salopards a-t-elle pour objectif de rendre impossible de fait le passage de pouvoir et l’investiture de Trump parce que les USA seraient en guerre ou que, pour cause de guerre , la cérémonie d’investiture serait repoussée ? J’ignore si la constitution américaine a prévu la chose ou pas, mais on peut s’attendre au pire.
Bientôt, dans nos villes, le retour des sirènes de sinistre augure entendues entre 1940 et 1944 ?
Sauf que, là où nous en sommes une guerre nucléaire n’est pas à exclure…Et dans ce cas, les caves (le peu qui en reste) seront de peu d’utilité…
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Étrangement, cette décision américaine intervient au moment où le Zelensky déclare vouloir la fin de la guerre par des moyens diplomatiques.
Certains d’entre nous ont connu ça : la menace nucléaire venue de l’URSS. Ce sera pire. L’Histoire est un éternel recommencement. Un éternel retour (Nietzsche).